Séance de VENDREDI 24/01/2025

Au coeur d’un hiver alternant le (relativement) froid et le (très) humide, il y a belle affluence à la maison de quartier pour se réchauffer les neurones et les zygomatiques en disputant civilement quelques parties ludiques.

Table 1, dite « Triomphante » : Les habituels des Chroniques de Drunragor (Jérôme, Armand, F-R et OlivierB) sont fidèles au poste. Un boss de moins et la campagne continue, ils sont trop forts.

Table 2, dite « Synergisante » : Frank, Elie, Morgane et Julien font une partie de Forêt Mixte pas si courte que ça. C’est Elie qui est le maître de la combo, il est du bois dont on fait les joueurs velus.

Table 3, dite « Influençante » : Un Hansa Teutonica bien tendu à cinq (Mickaël, Tristan, Thomas, JérômeC et Clément). Cela fait plusieurs fois qu’ils jouent ensemble et cette fois ils savent qu’il ne faut pas laisser impunément déployer une stratégie forte, à chaque échappée le peloton a rattrapé le petit malin. Ceci explique des scores très resserés. L’événement de la soirée est que Tristan a enfin gagné. Grâce à son talent, bien sûr, mais aussi un peu sa rouerie, tout au long de la partie les joueurs ont partagé des « conseils d’ami », soulignant des actions possibles mais sans jamais perdre de vue leur propre intérêt. C’est ainsi que le barbu a convaincu en fin de partie Thomas d’aller placer un comptoir qui a pris 2 PV à Clément. Assez pour donner la victoire au viking avec 59 PV devant Clément 58, Thomas 55, Jérôme 52, Mickaël 51. Ensuite il y eu quelques parties de Odin.

Table 4, dite « Cygnifiante » : Marie-Anne, Paul & Virginie sont accueillis par Marc dans Castles of Mad King Ludwig. N’oubliez pas le guide, et constuisez au meilleur prix et le plus efficacement possible votre château. C’est Marie-Anne qui, n’ayant pas perdu de vue les bonus de fin de partie s’impose assez largement devant Paul puis Marc et Virginie.

Table 5, dite « Pétillante » : Eh oui, Troyes est l’anagramme de oyster et n’y en a-t-il pas qui dégustent des huitres au champagne ? Aucune importance, nous avions ce soir en lice dans la froidure champenoise Olive, Xel, Fred et VHN. Entre les lancers de dés et l’ordre d’arrivée (ou pas) des cartes Activités, les parties sont très variées et ce soir on vit des choses rares. Comme un joueur qui sature sur la piste d’influence. Ou un autre qui finit avec un unique meeple dans les trois bâtiments. Ou le lancer de 5 dés noirs à la phase d’événements tandis que les cartes Evénement débordent du plateau (et ce alors que Fred s’ingéniait à les combattre, on se doutait bien de son Personnage). Ou encore un joueur dont les quatre dés affichent « 1 ». Ce joueur scorant 18 PV en une seule action (activation triple du Capitaine qui rapporte 1 PV par cube placé sur un Evénement : 3 x 6 = 18, le compte est bon). Dom (car c’était lui) plia le match, bien que toujours en manque de deniers, de dés et d’influence, en activant deux fois ce Capitaine avant que Fred n’y mette le hola. Il l’emporte avec 56 PV devant Fred 39, Olive 36 et Xel 30. Histoire de se détendre cela joue ensuite à Mot Malin, avec 6 mots en échec les règles nous indiquent que c’est « raté ».

Table 6, dite « Enchantante » : Nolwenn, Pierre-Yves, Caroline et Younaël continuent l’exploration de Harry Potter : bataille à Poudlard. Cette fois elles/ils s’imposent sans coup férir face au plus méchant et puissant des sorciers (mais qu’il est convenu de ne pas nommer sauf peut-être par son anagramme Tom Elvis Jedusor).

Table 7, dite « Japonisante » : Olive et Dom finissent la soirée en tête à tête au Château Blanc. Olive a été meilleur sur les couples guerriers/courtisans et a construit une Lanterne puissante mais a toujours manqué d’un sceau pour avancer sur la piste du temps. Dom quant à lui a réussi à placer un jardinier à 9 PV qui lui donne la victoire, 26 à 23. On s’est fait la remarque, sans vraiment comprendre pourquoi, qu’on a eu l’impression de beaucoup moins avancer qu’à la partie de mardi, ce que les scores confirment.

Séance de VENDREDI 15/11/2024 à Servel

La traditionnelle baguette de pain, symbole de l’identité française, puise ses origines dans la Révolution, avec la première réglementation concernant le pain. Le 15 novembre 1793 (26 brumaire An II), un décret de la Convention stipule que tous les Français doivent manger le même pain : « La richesse et la pauvreté devant également disparaître du régime de l’égalité, il ne sera plus composé un pain de fleur de farine pour le riche et un pain de son pour le pauvre. Tous les boulangers seront tenus, sous peine d’incarcération, de faire une seule sorte de pain : Le Pain Égalité ». Mais le pain en question, à base de farine de froment, levain, sel et eau, a encore l’aspect d’une grosse boule ronde. En 1856, Napoléon III tentera d’en réglementer la taille et le poids, mais il n’y réussit guère. Sous la IIIe République, lors de la construction du métro parisien, l’ingénieur Fulgence Bienvenüe, inquiet des bagarres incessantes entre ouvriers « immigrés » (Bretons et Auvergnats), décide d’interdire les couteaux sur le chantier. Le couteau ayant aussi pour utilité de couper le pain, l’ingénieur commande à un boulanger des pains allongés qui se coupent à la main. C’est ainsi que nait, à la Belle Époque, la baguette parisienne.

Quelques années plus tard, à Lannion, une bande de copains étaient à table, et, grâce à nos chroniqueurs, vous n’en perdrez pas une miette.

Table 1, dite « Comme un jour sans pain » : La petite troupe des Chroniques de Drunagor – L’Âge des Ténèbres -OlivierB, François-René, Armand et Jérôme – continue sa campagne, avec une nouvelle victoire. Ont-ils jamais perdu, s’enquiert on ? La réponse est non, la trajectoire de notre vaillante troupe, lisse comme une pâte à pizza, a la longueur des jours sans pain.

Table 2, dite « Pièces montées » : Partie découverte pour Dom et François à Castles of Mad King Ludwig. Marc, possesseur du jeu, en expose les ressorts : il s’agit de construire, dans les pas de Louis II de Bavière, un château en assemblant des pièces de toutes tailles, reliés entre elles par des portes, couloirs, ou même un sous-sol. Ces pièces, tirées au sort à chaque tour, sont mises à prix de façon discrétionnaire par le premier joueur, à un prix variable entre 2 000 et 15 000. On y marque des points par des objectifs communs, vite la cible de toutes les attentions (mais qu’il est difficile de scruter l’avancement des adversaires !), des objectifs personnels secrets, et les nombreux effets de pose. Au final, le jeu qui peut faire peur du premier abord, se révèle fluide. Dom prend le meilleur départ, par ses agencements harmonieux, et caracole en tête. Il sera freiné au final, pénalisé par de faibles bonus de fin de partie, mais le levain a fait son effet depuis bien longtemps, et il termine confortablement en tête avec 135, et, pour la gloire, la construction la plus harmonieuse. Marc, à 112, et François, 96, n’ont pu que s’incliner.

Table 3, dite « Croustillante » : On en voit de toutes les couleurs à cette table, avec le retour de Pandémie, où Pierre-Yves, Faline, Caroline et Tristan ne résistent pas au croustillement du temps, puis Harmonies, où Pierre-Yves s’impose.

Table 4, dite « Un grumeau dans le bocal » : dans l’ambiance feutrée de l’aquarium, la fine équipe de ISS Vanguard s’impose. Samuel eut cependant son personnage de niveau 3 banni pour s’être fait un peu trop « tentaculer ». Un grumeau vite rattrapé, en somme.

Table 5, dite « A la baguette » : à Tiletum, un très bon jeu dont on salue le retour sur nos tables, la benjamine Morgane s’impose dès sa première partie, menant à la baguette Fred et JérômeC, médusés.

Table 6, dite « Transsubstantiation » : Younaël, Nolwenn et Xof cherchent à invoquer leur divinité à Culte. Le premier cité a le mieux rassemblé ses fanatiques, et avec eux rompu le pain, non levé, comme il se doit, un signe de frugalité, marquant la précarité des Juifs sortant d’Égypte. Mais c’est aussi un signe de renouvellement. Le levain était originellement fourni par du pain ancien, incorporé à la pâte du pain « neuf » pour le faire lever. Le pain non levé qui devient l’agneau pascal, c’est-à-dire l’agneau du passage, est un pain nouveau, pur de toute incorporation de pain ancien, signifiant le renouvellement dans l’Alliance nouvelle. Mais cet usage du pain non levé n’est pas partagé dans toutes les Églises. Les Églises catholiques de rite byzantin utilisent du pain levé, tradition qui trouve sa justification dans ce que le pain qui lève est comme animé d’un phénomène dynamique qui représente la vie du Christ ressuscité, ce que devient réellement ce pain lors de la transsubstantiation.

Table 7, dite « On sent le roussi » : en fond de salle, Marie-Anne, Thomas, Frank et Mickaël ont été aperçus à Burgle Bros – une partie perdue par la faute d’une escalade fatale. « La précipitation mène à la prison » est l’autre morale de ce forfait, avorté comme un pain roussi trop vite. Suite une partie d’Odin, adjugée à Mickaël.

Table 8, dite « Trois chouquettes et au lit » : Table haletante de Codenames pour finir, avec les Bleus (Nolwenn, Younaël, François-René) qui, comme on enquille les chouquettes, n’ont fait qu’une bouchée des Rouges (Dom, François, Caroline, Jérôme) :

  • Bleus 1-0 : implacables, les Bleus matent les Rouges qui n’ont rien manqué, mais avaient le handicap du neuvième mot et n’ont pas su relier à la fois Baleine, Livre et Lien. La maître espion aurait pu citer Starbuck, le seul officier à oser s’opposer au capitaine Achab dans sa quête sanguinaire de Moby Dick, et qui évoque aussi le lien social du café.
  • Bleus 2-0 : l’assassin Corde fait chuter les Rouges qui y ont vu un début de cordon pour un Embryon, pourtant plus proche du Noyau.
  • Bleus 2-1 : victoire des Rouges grâce aux indices Jeu, Vitrail, Assemblage et Cadre. Les bleus ne sont jamais allés sur Ecran, trompés par la duplicité des Rouges, qui le traitaient comme un des leurs.

Séance de VENDREDI 27/10/2023 à Servel

La torture de Michel Servet à Genève (Michel Servetus) (Michel de Villeneuve) médecin et théologien espagnol (1511-1553) - Le torice de Michel Servet (Miguel Serveto) (1511-1553) a Genève, médecin et théologien espagnol GravureMédecin et théologien espagnol, naturalisé français en 1548, Michel Servet comptait parmi les humanistes les plus érudits de son temps, s’intéressant à toutes les branches du savoir, de la géographie aux mathématiques, de l’alchimie à l’astrologie, de la médecine à la théologie. Il pressent que le réel tout entier est un et que ce sont toujours les mêmes principes fondamentaux qui se font jour dans chaque secteur de l’existence et des disciplines de l’esprit. Le médecin est l’un des premiers à décrire la petite circulation sanguine, dite circulation pulmonaire.
Épris de tolérance et de liberté, il prôna un retour à la pureté originelle de l’Évangile. En 1531, Des erreurs de la Trinité réfute comme sophisme le dogme de la Trinité et nie la divinité du Christ, ce qui entraîne l’accusation alors très grave d’arianisme. En 1553, La Restauration du christianisme lui attire coup sur coup deux condamnations à mort, par les catholiques puis par les protestants. Arrêté, évadé et jugé par contumace, il est brûlé en effigie à Vienne par l’Inquisition. En fuite pour l’Italie, il fait halte à Genève. Vite reconnu, il y est emprisonné puis jugé comme criminel par le Petit Conseil, à l’instigation de Jean Calvin. Convaincu d’hérésie mais refusant d’abjurer, il est brûlé vif le 27 octobre 1553, dans des circonstances particulièrement cruelles. Il compte au nombre des martyrs de la liberté de pensée.

470 ans plus tard, nul bûcher à Servel, sinon celui des vanités. Vanité des vanités, tout est vanité disait l’Ecclesiaste, et le jeu fait moins que d’autres exception à la règle.

Table 1, dite « Sainte trinité » : Fred apporte Tiletum, y attire sans peine François et Xel, et même Dom, qui, arrivé tardivement, s’éclipse bientôt pour former une autre table avec des arrivants plus encore tardifs que lui-même. De cette partie haletante, on retient la victoire de Fred (150), construite sur un multiplicateur colonne * maisons absolument divin. Xel, 137, qui a laissé passer sa chance à Londres, et François, 135, à qui il a juste manqué une action pour gagner, également à Londres, complètent cette sainte Trinité non consubstantielle, dans le droit fil de l’arianisme: Si le Fils témoigne de Dieu, il n’est donc pas Dieu lui-même.

Table 2, dite « Vaine poursuite » : à Iki, Mickaël, possesseur et maître du jeu, se joue de Louise, Olivier L., et Martin, qui l’ont poursuivi en vain.

Table 3, dite « Folie dans le calme » : Marc le calme l’emporte large au royaume de la folie qu’est Castle of mad King Ludwig, devançant Baptiste, Olive et Nico77.

Table 4, dite « Martyrs volontaires » : les habituels de Gloomhaven les mâchoires du lion (F-R, Armand, OlivierB et Jérôme) engrangent une victoire – le Guiness book n’est plus très loin pour ces martyrs volontaires de la plus longue campagne.

Table 5, dite « Pas de deux » : Profitant des vacances, on a la visite de Vincent accompagné de Yona. Reconfiguration des tables pour faire un Ark Nova à quatre avec Eve et Dom. Il a fallu revoir les règles mais cela s’est bien passé. 3 projets de conservation de base sont orientés « géographie », le seul orienté « animaux » nécessite des oiseaux. Les zoos se développent et Yona qui découvre le jeu prend un grand plaisir à planifier ses combos d’effets et à optimiser la force de ses actions. Dom finit par construire la volière et accumule patiemment les oiseaux. Juste avant de mettre en jeu son cinquième il pousse des cris d’orfraie quand Yona fait disparaître le projet de conservation correspondant (et les 5 points qui allaient avec). Il pivote vers un double relâchage de pensionnaires qui le propulse sur la piste de conservation jusqu’à croiser ses pions. Yona remonte bien au décompte final qui affiche +15 PV pour Dom, +2 pour Yona, -12 pour Eve et -16 pour Vincent.

Table 6, dite « Jugement dernier » : c’est une table haletante de Codenames qui clôt la soirée. Les bleus (François, Dom, Fred, Nico77) l’emportent 3-2 devant les rouges (Jérôme, Marc, Vincent, François-René, Xel) après un invraisemblable renversement de situation. Menés rapidement 2-0, plombés par une myopie incroyable (Tissu pas vu sur l’indice Couture), une confusion impardonnable (Bio-Origin au lieu de Bios Geneys, indice d’ailleurs inégal !) et un tirage impossible (comment faire trouver Requin + Rame contre Baleine et Courant ?), les bleus remontent la pente grâce à DSK  et Garou (Loup mais pas Disque !) qui perdent les rouges (1-2), puis une grande maîtrise de Dom avec un Saumur 2 inspiré (Noir, Manège) pour le 2-2, et enfin François qui arrive à faire deviner Piston au troisième essai, l’associant à Hiérarchie puis à Épave, puis à rien du tout sur un indice en 1 qui l’excluait, suscitant un raisonnement logique magistral de ses équipiers, avec Dom à la manœuvre (3-2).

Séance de MARDI 17/10/2023 à Servel

Le 17 octobre 1814 un foudre de bière flanche dans la brasserie londonienne Meux & Co’s Horse Shoe Brewery, provoquant en cascade la destruction d’autres fûts. Au total environ un million de litres de bière se déversent dans le quartier sous forme d’une vague de cinq mètres, provoquant la mort de 8 personnes. 209 années plus tard, régime sec et pas de vagues à Servel pour cinq joueurs qui, après quelques palabres et une visite amicale, se répartissent en deux tables.

Table 1, dite « Hefeweizen » : Marc fait découvrir Castles of Mad King Ludwig (assorti d’une paire d’extensions) à Xel et BenjaminF. Cela a duré longtemps et Marc s’est imposé avec 129 PV devant les deux autres regroupés juste avant la marque des 100 points.

Table 2, dite « Zythum » : Olive et Dom revisitent les Voyageurs du Tigre du Sud en mode deux-joueurs. Contrairement à la partie précédente les joueurs prennent le temps de développer leur tableau de cartes. Vers la fin Dom se retrouve coincé un bon moment sur la piste de voyage, il ne remplit aucune des deux conditions qui lui permettraient d’avancer dans la case suivante et transpire bien pour récupérer l’icône « bibliothèque » manquante. C’est Olive qui décide de mettre fin à la partie, il prend 13 PV d’avance avec son paysage de cartes mais Dom score bien plus avec ses cartes « Espace », certaines doublées par des cartes « Inspiration », il finit avec 111 PV contre 87.

Séance de VENDREDI 13/10/2023 à Servel

Dans les monts du Cantal et l’Aubrac, aux confins du Massif central, le jour de la saint-Géraud était la date de la transhumance d’automne avec la descente des troupeaux quittant les estives. En ce 13 octobre, on vit à Lannion des troupeaux de ludopathes rejoindre le haut plateau de Servel, prélude à la transhumance de plus grande ampleur d’un petit dragon ailé vers le festival Scorfel, qui réjouira petits et grands le week-end prochain !

Table 1, dite « Côtes fabuleuses » : à Amalfi on s’emploie à restaurer la splendeur passée des côtes fabuleuses de la ville portuaire, comme aux temps de la Renaissance. Une nouveauté, auréolée du trophée « pick up Essen 2023 » et donc fraîchement sortie sur les étals, trouve déjà sa place sur nos tables et ravit Mickaël, Olivier L, Xel et Fred. Ce dernier sera donc à jamais le premier vainqueur à ce jeu que tous ont trouvé très accessible, et au matériel très plaisant.

Table 2, dite « Châteaux légendaires » : Encore une nouveauté avec Castle of mad king Ludwig, où l’on campe un architecte au temps de Louis II de Bavière en construisant un de ses châteaux extravagants. C’est Armand qui l’emporte (86), un jet de pierre devant Baptiste et Marc (83 chacun), grâce à sa diversité supérieure.

Castles of Mad King Ludwig

Table 3, dite « Héros fantastiques » : les habitués de Marvel champions (F-R, Arakis, Nico77 et Olivier B) engrangent une nouvelle victoire.

Table 4, dite « Cité mythique » : Le trop souvent oublié Bruges fait son retour, et chacun suit sa stratégie: les canaux pour Xof, qui y enquille pas moins de 23 de ses 46 points, les personnages et bonus de fin pour François (54), un peu de tout pour Olive (32), et un peu de tout aussi mais en beaucoup mieux pour Dom, 62, qui l’emporte haut la main.

Table 5, dite « Voyage intersidéral » : une table de Terraforming Mars: expédition Arès réunit quatre explorateurs, qui terminent dans un mouchoir de poche. La victoire revient à Samuel (40) devant Thomas (36), Élie (36), et Jeff (31).

Table 6, dite « Canaux romantiques » : les tables tournent et l’escapade romantique à Bruges fait de nouveaux adeptes. Xof s’adjuge le gain de la partie avec 53, devant Olive, 49, et Élie, 47.

Table 7, dite « Rêve royal » : Thomas accueille Dom et François, qui poursuivent leur tour d’Europe, à une table de Londres (2e ed.) Édition qui se distingue surtout de la première par son visuel, les mécanismes changeant peu. La hiérarchie et respectée et Thomas l’emporte avec 56, sur un dernier coup de métro. François y a longtemps cru, engrangeant les gains avec la combo métro + hôpital, mais il a vu trop gros et se voit finir avec trop de pauvres et criblé d’emprunts, avec à la clé un malus de 29 ! Sans cela, avec 40, il aurait tenu le haut du pavé. Entre les deux, Dom a mené son bus à impériale avec sagesse et finit à un honorable 46.

Table 8, dite « Digestif inoubliable » : c’est une table de Codenames qui clôt la soirée, pour une manche unique. Les bleus (F.-R., Mickaël; Thomas) l’emportent 1-0 sans effort, les rouges (Dom, Xel, François) ayant touché l’assassin alors qu’ils touchaient au but après un départ maîtrisé (Pique-nique 3 : Pouce, Pomme, Oeuf), mais tapant sur Carré pour l’indice Tasseau, qui visait plutôt Colle et Pieux.