Séance de VENDREDI 01/11/2019 à Servel

Le premier novembre est dans nos contrées la Toussaint, la fête des Morts. Avec un grand M.

Table 1, dite « Miniatures » : Jack et Jeff déploient les figurines de A song of Ice and Fire sous le regard de Maxime.

Table 2, dite « Mixité » : Frank poursuit le développement de son prototype déjà vu, entretemps renommé My Dungeon Break. Ses testeurs d’un soir sont Olivier3, Kristell et Benoit. Toujours coopératif, toujours difficile : trois parties disputées, trois défaites même si l’une d’elles aurait pu être une victoire sans une inattention fatale.

A la mi-temps, Kristell est remplacée par Jeff et le quatuor se lance dans Race for the Galaxy (qui a fait un grand retour depuis quelques semaines). On sait que Jeff y est redoutable mais aucun résultat ne nous est parvenu.

Table 3, dite « Maladroit » : partie de A Study in Emerald (2e Ed.) pour Thomas, Tristan, Gérard, Christophe et VHN. Le démarrage est relativement paisible, chacun achète des cartes pour enrichir son deck sans trop gêner ses collègues. Tristan révèle rapidement ses penchants restorationnistes tout en perdant de la santé mentale. Alors qu’on pressent l’arrivée d’une vague d’attaques, Dom met fin à la partie en faisant perdre à Tristan sa 3e santé mentale. Mais il a a mal décodé l’allégeance de Thomas (loyaliste) qui, en faisant perdre 5 PV à son équipe, laisse Tristan et Christophe, l’autre restorationniste, à égalité sur le podium. Oups.

Après le départ de Gérard, les mêmes se lancent avec enthousiasme dans une partie de Meuterer (version dite Kingsroad rethémée à Westeros). La couronne de roi a souvent changé de tête au fil des rébellions, et la pioche, maladroitement brassée selon certains, aurait outrageusement favorisé Thomas (qui a reçu plusieurs fois les quatre seules cartes rouges du paquet) et puni Tristan (qui a beaucoup pesté). Au final VHN finit avec 35 PV, 2 points devant Thomas.

Table 4, dite « Maîtrise » : DocNico entraîne en compagnie de Vincent un couple de visiteurs, Charles et Julia, dans la découverte du riche univers du jeu de plateau. Ils choisissent Dead of Winter, jeu coopératif (sans traître ce soir) à l’atmosphère bien rendue. Le petit groupe de survivants résiste plutôt bien aux zombies qui tapent à la porte et parvient même à réaliser un second objectif.

Table 5, dite « Mégalomanie » : Paul-Jr est mis à la tête d’une multinationale spatiale et s’installe avec ses concurrents, Lucas, Nicolas-2 et Thibault, autour de Terraforming Mars. Lucas accumule les points de terraformation sans négliger sa présence sur la planète rouge et est couronné colon de l’année.

Une fois le jeune couché, les grands remettent le couvert avec une orgie de 7 Wonders où toutes les extensions (Leaders, Cities, Babel et Armada) sont étalées sur la table !

Table 6, dite « Morsures » : aventures militaires coopératives pour Neox, F-R, Jérôme, Axel et Olivier-L qui jouent à V-Commandos. Il était question de faire joujou avec un mini-char télécommandé mais de l’avis des protagonistes c’était plutôt mal parti.

Ils poursuivent avec Cerbère, une nouveauté qui a eu pas mal de succès au récent Festival Scorfel. Il s’agit de s’enfuir d’un souterrain avec à ses trousses un chien méchant, s’il vous rattrape vous passez dans son camp. Le genre de jeu riche en coups bas qui rappelle une histoire (« Comment échapper à un ours qui vous poursuit ? en courant plus vite que l’autre gars »). Il y a eu au moins 3 parties et au moins 2 victoires de Nicolas dans le rôle du toutou tricéphale.

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Séance de VENDREDI 25/10/2019 à Servel

Le 25 octobre 1415 se déroulait la bataille d’Azincourt. Les troupes françaises, fortes de 15 000 hommes, y tentent de barrer la route aux 8 000 de l’armée du roi d’Angleterre Henri V, qui veut regagner Calais, devenue anglaise depuis 1347, et donc, par là même, l’Angleterre.

La bataille se solde par une défaite importante pour le camp français : la cavalerie lourde, rendue moins efficace par un terrain boueux et les retranchements anglais, est transpercée par les archers anglais et gallois, équipés de grands arcs à très longue portée. Cette bataille, où la chevalerie française est mise en déroute par des soldats anglais inférieurs en nombre, est souvent considérée comme la fin de l’ère de la chevalerie et le début de la suprématie des armes à distance sur la mêlée, qui se renforcera avec l’invention des armes à feu. Elle est, en réaction, une cause majeure de l’épopée de Jeanne d’Arc, puis de l’investissement dans l’artillerie qui deviendra une spécialité française.

Les pertes des Anglais sont de 13 chevaliers et une centaine de simples soldats. Les Français perdent 6 000 chevaliers dont le connétable, et de nombreux grands seigneurs. La débâcle de la chevalerie française d’Azincourt, qui fait suite à celles de Crécy et de Poitiers, prive la France de cadres administratifs et militaires en grand nombre du fait des nombreux tués chez les baillis et les sénéchaux du roi. Elle met également en évidence la conception dépassée que se font de la guerre les armées françaises en particulier une partie de la chevalerie, alors qu’Anglais et Ottomans ont déjà organisé des armées unies et disciplinées : les Français, supérieurs en nombre, mais incapables d’obéir à un chef unique et placés dans l’impossibilité de faire manœuvrer les chevaux, comme à la bataille de Poitiers, soixante ans auparavant, auraient eu intérêt à négocier avec Henri V, qui avait abandonné son rêve de revendiquer la couronne de France.

Cette bataille marque un tournant dans l’art de la guerre en Europe : des armées plus maniables et plus articulées (comme l’était déjà celle d’Édouard III, dont la composition et le comportement permettaient de préfigurer le déroulement des batailles intervenant dès la fin du XIVe siècle) défont des masses hétéroclites pleines d’inutile bravoure. Enfin, cette bataille fait naître dans la population française un sentiment anti-anglais, qui nourrit un patriotisme préexistant en France depuis la bataille de Bouvines, et qui s’amplifiera au cours de la guerre de Cent Ans.

604 ans après Azincourt, la pluie tombait dru sur Lannion, et, si aucun cheval ne s’y embourba, la soirée fut peuplée de fantômes.

Table 1, dite « Planification défaillante » : sorti tout droit du moyen-âge, Hermagor, qui fait son retour après 3 ans de purgatoire sur nos tables, est le premier fantôme de cette soirée. Votre narrateur y initie Gérard, un homme d’expériences, et Benoît, nouveau venu chez nous. Une partie étrange que votre serviteur sembla dominer largement tandis que Gérard paraissait en perdition, peinant à établir ses citadelles. Mais tout se détraqua dans le dernier tour: ayant épuisé toutes mes citadelles, je me retrouvai à l’arrêt, et la machine s’enraya. Et Benoît s’impose largement avec 133, devant Gérard, 109, suite à une remontada de folie, et je termine dernier avec 95 !

Table 2, dite « Au champ d’honneur » : à l’issue de cette table de V Commandos les fantômes de Camille, Olivier, Jérôme, Nicolas II flottaient dans l’air. Les quatre terminent sur le carreau, malgré un premier objectif atteint.

Table 3, dite « Jaune canari » : à Wingspan c’est le jaune canari de Thomas, 86, qui sort en tête, un battement d’ailes devant Vincent, 82, et Julien, 81. Un vol d’hirondelles plus loin, Xel nous fait comprendre que son score lui rappelle l’Orne.

Table 4, dite « Maillot jaune » : à Shards of Infinity la table 3 refait le match, mais enregistre le même vainqueur !

Table 5, dite « Ghostbusters » : à Demeures de l’épouvante, les fantômes étaient omniprésents. La fin en fut déroutante Y a-t-il une vie dans l’au-delà se demandèrent Neox, François-René, Olivier et Thomas_2nd ? Une chose est sûre, Anthony, qui a collectionné les indices, ne s’y ennuiera pas.

Table 6, dite « Triangle isocèle » : un Mythic Battle à trois, c’est chacun pour soi. Mais comme dans tout bon triangle amoureux, il faut que deux s’y chamaillent: ce fut le cas d’Axel et Mickaël, permettant à Armand, le troisième larron qui jouait Artémis, de tirer les marrons du feu sans effort.

Table 7, dite « Ni grâce ni pardon » : on résumera cette partie de A song of ice and fire dans l’univers de GOT à l’équation suivante: Stark.Jack > Lannister.Jeff. Ni grâce ni pardon, comme l’a chanté Cabrel à propos d’Azincourt.

Table 8, dite « Lucas crâna » : Lucas était désireux de découvrir Race for the Galaxy, Dom l’initie en compagnie de Thibault. Le moins qu’on puisse dire, c’est que l’initié s’en est bien tiré ! A la première partie, il déroule une stratégie quasi-parfaite basée sur les ressources brunes et finit avec 62 PV (contre 34 et 21 respectivement). Tout le monde repart pour une seconde partie que Lucas, avec 4 mondes de production et 4 développements de valeur 6, remporte de nouveau avec 50 PV.

Table 9, dite « Fantômes de nuit » : comme la soirée ne finit toujours pas, nous abandonnons Camille, François-René et Neox à Greenville 1989 – un jeu narratif, où les joueurs incarnent une bande d’adolescents coincés dans un univers parallèle et cauchemardesque. Les fantômes de la nuit enveloppent l’issue de cette quête.

Table 10, dite « Ombres de nuit .» : c’est notre dernier revenant de la soirée: Shadow hunters n’était pas sorti sur nos tables depuis un an. Jérôme était bien sûr à la manœuvre ! Les ombres de la nuit enveloppent l’issue de cette joute.

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Séance de VENDREDI 30/11/2018 à Servel

Le 30 novembre est propice aux batailles. Ainsi en 1700 à Narva une armée suédoise bien plus petite attaque les forces de Pierre le Grand pendant une tempête de neige et les met en déroute. A la bataille navale de Sinop en 1853, c’est la flotte russe qui envoie par le fond une escadre ottomane. Et que dire de l’affrontement nocturne entres navires japonais et américains à Tassafaronga en 1942 ? Enfin ce jour est aussi celui de la victoire du houblon et de l’orge, seuls ingrédients autorisés dans la bière allemande par le Reinheitsgebot de 1487, toujours en vigueur.

Table 1, dite « Pew Pew » : Jack et Jeff s’affrontent à Star Wars Legion, seul le son des armes laser vient briser le silence.

Table 2, dite « Boum Boum » : deux tables de Warhammer 40k accueillent, dans des décors magnifiques, les paires Julien-Maxime et Baptiste/Vincent-3.

Table 3, dite « Un os dans le kebab » : Michal, Hélène, Paul-Jr, Elouan, VHN et Sébastien disputent 3 parties de CS Files. Un jeu d’enquête, de bluff et de tchatche où on tente d’identifier un meurtrier avec  l’arme du crime et un  indice laissé derrière lui. Seul un joueur, le médecin-légiste, sait qui il est, mais il ne peut communiquer que par des listes plus ou moins pertinentes. Pour la première manche (« le kebab fatal »), un empoisonnement au cours d’un pique-nique, Michal parvient habilement à aiguiller vers la bonne coupable que Dom démasque dès le premier essai. Ce dernier devient légiste mais ne parvient pas à extirper son groupe des manipulations du meurtrier polonais qui a choisi des indices opaques à souhait et les envoie sur des fausses pistes jusqu’à sa victoire ultime. L’histoire imaginée (une rivalité professionnelle parmi les cuistots de la cafétéria qui en voit un assommer mortellement l’autre avec un jambon à l’os qui est ensuite servi en sauce Madère) laissera de marbre. Enfin, avec Paul comme légiste, c’est VHN le meurtrier qui choisit l’efficace tronçonneuse comme arme du crime sur un fond de meurtre passionnel. Après avoir longtemps réussi à brouiller les pistes, un témoin ayant entendu un son prolongé rend difficile la dissimulation. Les autres joueurs essaient toutes les combinaisons et finissent par le démasquer.

Table 4, dite « Famiglia » : à Signorie, Gérard, Xel, Thibault et Lubin lancent des dés pour assurer la prééminence de leur famille italienne. Gérard l’emporte mais ce fut serré.

Table 5, dite « Rush spatial » : après avoir été ressorti à « Dimanche on joue ! », le classique qu’est Race for the Galaxy fait son grand retour avec dans le rôle des bâtisseurs d’empires galactiques Mickaël, Frank, Frédéric et Noé. C’est le premier qui triomphe.

Table 6, dite « Avec ou sans Vikings » : Tristan, Gabriel et Eric jouent à Raids, un jeu avec des Vikings. Il y a aussi du commerce, des combats et de l’aventure. La vie, quoi. Ce n’est pas un barbu blond qui a gagné, mais le brun Gabriel. On y joue ensuite à Kardinal und König, un jeu sans Vikings mais avec des émissaires qui voit une victoire du barbu blond (mais « tout le monde a été bon », m’assure-t-on)

Table 7, dite « Restée sur l’estomac » : du gros coopératif qui tache (de sang) avec une aventure de Aeon’s End embarquant Neox, ThomasC, Jérôme et François-René. Ils ont fait la connaissance du Prince Glouton et ont dû s’admettre vaincus après n’avoir réussi à lui soustraire qu’à peine la moitié de ses PV.

Table 8, dite « Flambeuse » : la table 3 joue à Las Vegas après le départ de Paul. A cinq, et sans les dés supplémentaires du DUC, il faut se priver de la mécanique habile des dés blancs neutres. La partie a été comme souvent pleine de rebondissements, même si comme disent certains on croit contrôler mais on subit les dés. Retenons qu’à la première manche, Sébastien s’empare d’un gros billet par un ultime lancer de trois « 1 », et qu’à la troisième manche Hélène tire les marrons du feu en profitant de l’annihilation mutuelle des deux autres joueurs qui ont chacun misé 4 dés sur le casino « 6 ». Les scores finaux (en k$) reflètent ces coups d’éclat : Héléne 440, Sébastien 360, Elouan 340, Dom 280 et Michal 40.

Table 9, dite « Bouche-trou » : petit Non Merci pour Jérôme, Gabriel, ThomasC et F-R. Nous n’en savons pas plus.

Table 10, dite « Malentendus » : pendant que la table 4 est en mode « papotage de fin de partie », cela repart pour deux parties de Shadow Hunters. A la première à 7 joueurs (Gabriel, Jérôme, ThomasC, Hélène, F-R, Neox, VHN), les Neutres sont décimés peu à peu, Hélène entretient la confusion sur qui est qui, Gabriel appliquant des méthodes déductives débusque les Shadows et inflige au Vampire/F-R des dommages qui font gagner les Hunters au tour suivant. La seconde partie a lieu après le (faux) départ du narrateur.

Table 11, dite « Du neuf avec du vieux » : la table 4 déballe King’s Road, un jeu récent (et apparemment pas inoubliable) du vénérable (et vénéré) R. Knizia. Les protagonistes pourront s’exprimer à son sujet sur le forum.

Table 12, dite « After hours » : il y eut semble-t-il encore une partie de Hanabi.

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Séance de VENDREDI 16/11/2018 à Servel

Au matin du , Missak Manouchian, commissaire technique des FTP-MOI de Paris, est arrêté. Son épouse, Mélinée, parvient à échapper à la police (en 1985, elle témoignera dans un documentaire pour accuser la direction de l’époque du PCF d’avoir lâché, voire vendu, le groupe Manouchian pour des raisons tactiques) mais pas son second, Arménak Manoukian.

Missak Manouchian, torturé, et vingt-trois de ses camarades sont livrés aux Allemands de la GFP, qui exploitent l’affaire à des fins de propagande. Le tribunal militaire allemand du Grand-Paris juge 24 des résistants arrêtés. Une parodie de procès est menée de façon expéditive à l’hôtel Continental en présence des journalistes. À leurs cris de haine racistes, Manouchian se tourne vers eux et leur jette « Vous avez hérité la nationalité française, nous l’avons méritée ». La presse collaborationniste dénoncera le « cynisme » d’accusés qui assument pleinement les attentats qu’ils ont commis.

Dix des prévenus sont sélectionnés pour la composition de l’Affiche rouge, sur laquelle apparaît l’expression « l’armée du crime ». Le tribunal prononce vingt-trois condamnations à mort. Le 21 février 1944, les 22 hommes du groupe des condamnés à mort sont fusillés au Mont-Valérien, en refusant d’avoir les yeux bandés.

Résultat de recherche d'images pour "affiche rouge cartoon"Dans la foulée de ces exécutions, la propagande allemande placarde 15 000 exemplaires de ces fameuses affiches rouges portant en médaillons noirs les visages de dix fusillés. Au centre, la photo de Manouchian, avec cette inscription : « Arménien, chef de bande, 56 attentats, 150 morts, 600 blessés ».

Mais l’Affiche rouge, placardée sur les murs de Paris par l’ennemi, produit l’effet contraire à celui escompté : pour toute la Résistance, elle devient l’emblème du martyre. Elle transformera un obscur en héros.

De cette nouvelle soirée de Parties Civiles, on retiendra une historique déculottée à Codenames pour les Rouges, et pour le coup, en ce triste soixante-quinzième anniversaire, ça l’affiche mal.

Table 1, dite « Franc-tireurs » : Dom propose à quelques cobayes de service de s’embarquer dans un voyage initnérant au long cours sur le thème du train. Les francs-tireurs de cette épopée s’attelent à un premier opus ludique: Paris connection, où il s’agit de rallier Marseille depuis Paris en construisant diverses lignes ferroviares, avec cette particularité qu’un joueur ne possède pas de ligne mais seulement des actions de la compagnie qui l’exploite. Autrement dit, sur le mécanisme d’Impérial, il s’agit ici de parier sur les lignes qui vont relier le plus de métropoles, avec en plus un mécanisme assez retors: à chaque tour, il faut choisir entre développer le réseau ou échanger ses actions (1 pour 1 ou 2). Résultat de recherche d'images pour "paris connection jeu"Le déroulement final est difficile à prévoir, surtout à 6, car le décompte des points dépend non seulement de la valeur des actions mais aussi du nombre qu’on en possède, qui n’est pas fixe (on part avec 5 et on peut grimper à 10). Si Tristan a survolé la première partie avec 123 (devant Maël, 101, Dom, 98, VHS, 93, Xel, 86, Mickaël, 75), il dut s’incliner dans la deuxième où tous avaient bien compris qu’il faut posséder 10 actions pour avoir une chance de gagner (Maël vainqueur avec 106, devant Dom, 101, VHS, 99, Xel, 96, Tristan, 91, Mickaël, 88).

Table 2, dite « Justice expéditive » : il y a déjà 4 ans que l’excellent Age of steam n’était pas ressorti sur nos tables ! Pour relancer la machine, des poids lourds tels que Neox, Jack, et Jeff ont invité le courageux Benjamain à assister à leur plaidoyer pour ce jeu injustement oublié ! Sans autre forme de procès, Jack, avec 104, administra une justice expéditive en pulvérisant ses adversaires Neox (90), Jeff (74), condamnés aux dépens. Quant à Benjamin (49), il limita ses effets de manche à retrousser les siennes pour la prochaine fois.

Table 3, dite « Résistance sans conscience » : Race for the galaxy voit Guillaume et Paul résister vaillamment à Franck (38). Ce dernier eut-il conscience d’avoir perdu ? On en doute car Thomas-le-barbu clamera la victoire avec 40 !

Table 4, dite « Main d’Oeuvre Imagée » : à Olive et Tom – François-René et Nourdine ont fait travailler une main d’oeuvre imagée, sans résultat connu.

Table 5, dite « Frères d’armes » : dans l’empire rouge de Gugong deux frères d’armes, Tristan et Mickaël, terminent à égalité avec le beau score de 42. Mais la règle les départagea en faveur de Tristan: dans l’empire intergalactique de Parties Civiles, tous les voyageurs sont égaux, mais certains sont plus égaux que les autres….

Table 6, dite « La friche rouge » : en fin de soirée, une vibrante partie de Codenames laissa les Rouges (Xel, Nourdine, François-René, Maïwen, petit Paul) en friche face au bulldozer des Bleus (Dom, VHS, Maël, Franck, Thomas-le-barbu):

  • Bleus 1-0: manche sabordée par les Rouges, tandis que les Bleus déroulent: ils mobilisent imprudemment l’indice Guerre, qui oriente les espions vers l’assassine Colonie
  • Bleus 2-0: manche offerte par les Rouges qui se délestent d’un joli bouquet de mots de la couleur adverse
  • Bleus 3-0: manche sacrifiée par les Rouges: ils lancent imprudemment l’indice Valmont 4 (Mouche, Culture, Reine, Aube), qui incite les espions à faire une dangereuse liaison avec l’assassin Lien !!
  • Bleus 4-0: manche en mode escargot, un mot après l’autre, et qui tourne à la déroute des Rouges symbolisée par l’énigmatique Tortue 2 (Poste, Rome). On s’en moque sur le coup mais pourtant la référence historique est incontestable: dans Astérix, chaque légionnaire romain est à son poste pour attaquer en formation tortue !
  • Bleus 5-0: dans cette manche finale, les trois couleurs du drapeau tricolore étaient sur la grille ! Bleu était Rouge, Blanc était Rouge, et Rouge était Bleu ! Et c’est justement cet indice Bleu qui paracheva la déconfiture des Rouges: l’indice Multicolore 2 fut bien compris pour Cirque, mais pas pour Bleu. En effet, Bleu est….monocolore !

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Séance de VENDREDI 13/01/2017 à St-Elivet

Tenter le sort un vendredi 13, est-ce bien raisonnable ? Il faut croire que la paraskevidékatriaphobie ne sévit pas parmi les adhérents de Parties Civiles. Il y a pourtant de sérieuses raisons d’en être inquiet, comme nous allons le voir.

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Table 1, dite « La déposition du missionaire » : Axel, Nourdine et Guillaume investissent l’univers de Mage Knight: des orques y rodent, des villages de paysans apeurés se regroupent sous l’ombre de châteaux fortifiés, des magiciens construisent des tours plus hautes les unes que les autres, des monastères abritent des moines inquiétants, craints et respectés. Savaient-ils que c’est le vendredi 13 précédant le dimanche de la Résurrection, que selon l’évangile attribué à Jean et les sources hébraïques, a été crucifié Jésus de Nazareth ?

Table 2, dite « Sous le gui » : la mythologie nordique raconte comment le dieu Odin a invité onze de ses amis les plus proches à un dîner à son domicile de Valhalla juste pour le voir maudit par un treizième convive, Loki, le dieu du mal et de la tourmente. La légende raconte que Baldr, fils d’Odin et de Frigg et l’un des dieux les plus aimés, a tenté d’expulser Loki, déclenchant une bagarre et finalement sa mort avec une flèche à pointe de gui. Le fait de s’embrasser sous le gui provient de cette légende sur Baldr. En effet, Frigg décida de ne plus jamais ignorer le gui, et, pour ne plus penser que le gui était une arme, elle décida d’embrasser toute personne passant sous un bouquet de gui.
Beaucoup plus convivial, Neox, nouveau et heureux possesseur de Ave Roma, fait découvrir ce jeu à Xel, Thomas, votre humble serviteur, mais aussi à lui-même. Nous sommes en présence d’un jeu typique de la famille des jeux de placements d’ouvriers, où l’on va investir différents lieux qui permettent de réaliser des actions, engranger des ressources, et bien sûr utiliser lesdites ressources ad nauseam. Outre l’univers de la Rome antique, ce jeu se distingue par quelques mécanismes originaux, notamment le fait de reprendre la poignée de dés présents par poste à la fin du tour de jeu. Pour gagner, il faut, comme souvent à ce type de jeu, insister sur ses points forts quitte à négliger un poste ou deux. Règle suivie ad litteram par Thomas, qui, grâce au score canon de 30 points sur la piste de la « roue de la fortune », remporte la couronne de gui de la victoire avec 78, devançant VHS (69), Neox (66), et Xel (65).

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Table 3, dite « Fauve qui peut » : c’est le vendredi 13 septembre 1996 que fut assassiné à Las Vegas Tupac Amaru Shakur, plus connu sous les noms de scène de 2Pac et Makaveli. Ce rappeur, poète et acteur américain, issu d’une famille ayant milité dans les rangs des Black Panthers, a écoulé plus de 75 millions d’albums et se classe, selon le magazine Rolling Stone, à la 86e place du classement des plus grands artistes musicaux de tous les temps.Description de l'image Tupac Shakur drawing.jpg.

Ignorant ce signe funeste, Tristan convie Paul, David et JiBee sous les mânes des Dieux ancestraux peuplant l’univers de The great Zimbabwe. Il faut croire qu’une panthère noire un vendredi 13, c’était trop pour notre ami, qui échoua à confirmer son leadership sur le jeu, étant même relégué à la dernière place d’un combat de fauves que domina Paul en rugissant jusqu’au fin fond de la savane.

Table 4, dite « Des cœurs en hiver » : le vendredi 13 novembre 2015, une série d’attentats meurtriers ensanglantait Paris, faisant 130 morts et 413 blessés. Un bilan aussi triste que celui de cette table de Dead of winter, où périrent Olivier, Mks et son invité, et Nicolas II.

Table 5, dite « La croisière s’amuse » : le vendredi 13 janvier 2012, le navire de croisière Costa Concordia faisait naufrage à l’entrée du port de l’île de Giglio, au large de la Toscane. Sur les 4 229 personnes à bord ce soir-là, 32 morts seront à déplorer. Beaucoup plus aguerri, captain’ Julien mena une croisière plus tranquille vers Jamaica, emmenant Joan et Mickaël à bon port.

Table 6, dite « Le temps suspendu » : Le vendredi 13 octobre 1972, le vol 571 Fuerza Aérea Uruguaya s’écrasait dans les Andes. Sur les 45 passagers et membres d’équipage, 12 meurent lors de l’écrasement et 17 de leurs blessures dans les jours qui suivent. Les 16 survivants n’ont été retrouvés que deux mois plus tard, après que deux d’entre eux ont donné l’alerte après dix jours de marche dans les conditions extrêmes de la haute montagne, sauvant ainsi le reste du groupe resté dans l’épave. Les opérations de recherche avaient été arrêtées huit jours après sa disparition. Ayant appris grâce à une radio que les recherches avaient été abandonnées, isolés sans nourriture à 3 600 m d’altitude dans des conditions climatiques difficiles, les survivants furent réduits à manger les corps des morts, préservés par le froid.

C’est dans le huis clos presque aussi angoissant de T.I.M.E Stories que François-René, Dom, Sophie et Nicolas III furent reclus toute la soirée. Il leur a fallu trois tentatives pour sortir de l’aventure, dont tous sortirent sains et saufs. Dom, notre reporter spécial sur les lieux, nous relate les faits par le menu dans ce qui suit, merci à lui !

« Sophie, Nicolas-3, François-René et Dom se lancent dans le premier scénario de T.I.M.E Stories, « Asylum ». Ce jeu coopératif a été (aidé par la force marketing du groupe Asmodée) l’un des plus remarqués de 2015. Parfois présenté comme un hybride entre jeu de plateau et jeu de rôle, c’est plutôt un croisement entre jeu d’enquête (sur le modèle de l’indépassable Sherlock Holmes Détective Conseil) et le jeu d’aventure (où l’on incarne un personnage qui a des forces et faiblesses, peut récolter des objets et doit parfois combattre).
L’enquête doit être résolue en un nombre de tours limités (le run) et en général il faudra à l’équipe 2, voire 3 runs pour réussir, les itérations permettant de tirer parti des informations apprises et d’optimiser le parcours de l’équipe. Il est même possible de changer de personnage entre chaque run. Mentionnons que d’un point de vue conception ludique, l’utilisation d’un deck unique de cartes (qui servent à la fois de scènes illustrées, de plan des lieux, d’objets/armes et de support à la narration) est une solution à la fois élégante et habile commercialement (puisqu’un nouveau scénario se résume à publier un nouveau deck).
Ce soir il aura fallu trois runs pour parvenir à résoudre l’enquête, avec une solide contribution de tous (le détail-clé relevé par F-R, l’optimisation du parcours de N3, les jets de dés miraculeux de Sophie et le labyrinthe résolu par Dom). »
Table 7, dite « Le sillage du premier homme » : selon le récit biblique de la création du monde, le vendredi, veille de Chabbat, le sixième jour, est celui où Adam puis Ève furent créés, puis qu’ils ont croqué dans le fruit interdit. Le treizième jour est donc également un vendredi. Olivier et Nicolas III incarnèrent quant à eux les personnages de la gigantesque armada de Sillage à la recherche des planètes pouvant accueillir des aliens en mal de terres pour vivre… L’histoire ne dit pas le fruit de leur quête.
Table 8, dite « Loi martiale » : c’est le vendredi 13 décembre 1968 fut rédigée l’Ato Institucional Número Cinco, qui se substitue à la Constitution du 24 janvier 1967 et renforce la Dictature militaire au Brésil. De leur côté, à X-Wings, Jeff, Laurent et Franck ont pour mission d’arraisoner les pirates qui ont interrcepté leur cargo. Ont-ils réussi ? Le forum devrait le dire…
Table 9, dite « Maître du temple solaire » : le vendredi 13 octobre 1307, le roi Philippe le Bel fait arrêter les membres de l’ordre du Temple (Templiers) dont Jacques de Molay leur grand-maître et les fait torturer afin qu’ils avouent des crimes qu’ils assurent ne pas avoir commis ; ceux qui reviennent sur leurs affirmations sont condamnés au bûcher. L’ordre du Temple est ainsi dissous, laissant tout le pouvoir au roi. Certains font démarrer la superstition de ce jour funeste qui vit chuter à jamais les plus grands financiers d’Europe, mais l’association du vendredi 13 à cet événement serait en fait une invention moderne, reprise entre autres dans le roman Da Vinci Code. Cela n’a en tout cas pas impressionné, le grand maître Jibee, qui corrige Tristan, Neox et Nicolas II à Race for the galaxy.
Table 10, dite « La dernière tablée » : dans la religion chrétienne, la Cène se serait tenue la veille d’un vendredi 13 et comportait 13 membres, dont Judas, l’apôtre qui trahit le Christ (la treizième personne). Dans cette légende, le nombre treize est associé au malheur qui mènera le Christ au martyre, et Judas au suicide. A la table de Codenames, en comptant les renforts successifs et les spectateurs, il me semble bien qu’on est parvenus à treize, avec pour les Rouges Xel, VHS, Thomas, Nourdine, et pour les Bleus Axel, Paul, Olivier, Guillaume (puis Dom).  Il y eut pas mal de Judas parmi les Rouges qui se sont pris une jolie déculottée:
  • 1-0 avec une entame fatale à 6-0 pour les Bleus , inaugurée par un Or 3 (Règle, Mine, Suisse)
  • 2-0 avec de jolies associations sur Colle (Retenue, Couche) et Monokini (Plage, Raie)
  • 3-0 sur un Erudit 3 (Docteur, Livre, Rayon) alors que les Bleus se prennent les pieds dans un Camelot indéchiffrable
  • Enfin un point pour les Bleus , les Rouges étant refoulés à l’entrée d’une Discothèque indécryptable (Manège, Chasse, Plante)
  • 4-1 sur un Banquet royal (Astérix, Assiette, Table, Croute) alors que les Bleus se perdent en montagne, à l’image de Dom, leur guide égaré : « une montagne, c’est pas le truc avec des chamois et des sapins ? »
  • Et enfin 5-1 pour les Rouges alors que les Bleus ont persisté dans un Blanc insondable, navigant à vue entre le mot assassin et le dernier mot Rouge (Fer, qui allait très bien avec Blanc, mais peut-être pas pour les moins de trente ans…)

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Séance de MARDI 12/07/2016 à Ti-Koad

Il y a déjà 18 ans, Zidane avait les clés du paradis. Comme le temps passe vite… En ce 12 juillet, à peine ravalée la fin cruelle de la finale de l’Euro 2016, Parties Civiles se remettait à l’ouvrage, et il y avait du monde au balcon de Ti Koad.

zidane

Table 1, dite « galactique »
…où, un Roll for the galaxy vit deux accouplements sr la table de marque, Baptiste et Paul dominant avec 27 PV, devant Nicolas-Neox et Olivier, 25 PV, Jérôme fermant la marche seul avec 19 PV.

Table 2, dite « sur le toît du monde »
…où Thomas l’emporte sans discussion (50 PV) à Mythotopia dans une partie où Nicolas II entretint un semblant de suspense (46 PV). Xel (35 PV) complète le podium pendant que VHS, un certain temps en tête, ferme le ban (32 PV). Thomas reste donc invaincu à ce jeu, mais, revers de la médaille, sa stratégie à été mise au grand jour: il suffit de se procurer au premier tour la carte qui fait gagner. Quant au jeu, si vous voulez mon avis, c’est un Wallace grand cru.

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Table 3, dite « présidentielle »
…où Tristan, déchaîné, enquille deux victoires de suite à une table présidentielle de Kardinal und Kônig honorée de la présence de Jibee, Cécile et du doyen Bruno.

Table 4, dite « et 1, et 2, et 3-0 »
…où la table 3 se reconfigure avce les mêmes joueurs pour un opus de Lords of Scotland gratifié du même résultat: victoire de Tristan.

Table 5, dite « materraziée »
…..où la Tristan et Bruno se défient à un 7 wonders (Duel), un duel où l’un des deux aura forcément pris un coup de boule. L’issue, postérieure au bouclage, sera dévoilée sur le forum.

Table 6, dite « aux chevaliers blancs »
…où Paul et Olivier, chevaliers de l’ombre, remportent un Shadow hunters face à Jérôme, Baptiste, François-René et Nicolas-Neox.

Table 7, dite « carton rouge »
…..où Jérôme, Olivier, François-René et Paul enchaînent sur un Dungeon raiders trop tardif pour être narré dans cette chronique.

Table 8, dite « tenue de soirée »
…..où la table 7 rejointe par Xel finit sur un Ghost stories en attendant le bouclage de Ti Koad, qui tarda à se manifester, Zizou étant parti avec la clé.

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Séance de MARDI 19/01/2016 à St-Elivet

Ce compte-rendu vous est rédigé d’une main de maître par Dominique. Merci à lui !

7 joueurs se retrouvent ce mardi soir d’hiver. Il se séparent en première partie de soirée après avoir émis des souhaits de prompt rétablissement pour le serveur OuiMite.

hopital

Table 1, dite « Glouton cosmique » : Jeff ressort un classique, Race for the Galaxy, pour Jérôme et Nicolas et leur montre comment gagner (dans cet ordre, avec 43, 21 et 20 points).

Table 2, dite « Tranchées amères » : François-René, Xel, Maud et VHN se retrouvent par deux fois en  première ligne dans Les Poilus. Dans la seconde vague d’assaut, l’escouade faillit bien gagner mais un dernier soutien raté la condamne à finir une nouvelle fois sur le monument aux morts. A noter, la tentative de Dom de faire un discours vitupérant … le beau temps.

Ces deux tables ayant terminé en même temps, tout le monde se regroupe.

Table 3, dite « Cube mortel » : Pour un Room 25 à 7 joueurs, il y a 2 gardiens et 5 prisonniers (et les salles de l’extension, et même des robots !). La Room25 (salle de sortie) a été révélée relativement rapidement mais les infâmes gardiens (Maud et Neox) ont réussi à la promener en tous sens, empêchant les prisonniers de s’y regrouper et de s’enfuir victorieusement. Cela n’a pas non plus aidé que F-R ressuscite un gardien !

Table 4, dite « Lièvre et tortue » : les mêmes moins Jeff (Maud et F-R découvrant le jeu) étrennent la nouvelle mouture du Codenames francisé. Les Bleus (Xel, F-R et un Neox qui n’a pas pu résister à l’envie de jouer), usant de méthodes improbables pour décoder les indices du maître-espion et progressant fréquemment d’1 mot à la fois, démontrent que rien ne sert de courir et l’emportent 2 manches à 1 face à des Rouges (Maud, Jérôme et VHN) créatifs mais inégaux.  

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Séance de VENDREDI à St Elivet 05/06

Bourse aux jeux suivie des tables de jeux. Jeff raconte :

Les adhérents de PC ont commencé par jouer à la marchande. C’était en effet le Grand Troc de PC et de très nombreux jeux étaient à la vente ou à l’échange. Un franc succès qui sera à réitérer.

Côté jeu, Michal, Jeremy, Franck, Jeremy et Jeff ont jouer à Munchkin Quest. Partie qui n’est pas allé jusqu’au bout, les joueurs ayant jetés l’éponge a minuit. On retiendra que Franck est un tueur de monstre, que Michal les attire plus vite que le temps de faire 1 sur un d10 et que Jeremy fuit devant une plante verte, certes armuré et intelligente.

Ensuite, Jeff est resté pour expliquer Race For The Galaxy à Neox et FR avec l’assistance de Jérôme. Fr gagne avec 34 points et 6 cartes en main, Jeff est second avec 34 points et 4 cartes en main suivi de Neox avec 27 puis Jérôme avec 19.

A noté qu’en ce vendredi 5 juin, dans la matinée, le même Jeff a fait 76 points à « Race » en ligne.

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Séance de VENDREDI à Ti Koad 05/09

2 tables :

Table n°1 dite « baffes et aliens »…

… avec Jeff, Franck, Xel et Grégoire qui ont successivement fait un  King of Tokyo et un Race for the Galaxy.

Table n°2 dite « optimum local » …

… avec JB, Sly The Old et Votre Humble Serviteur autour d’un Five Tribes qui comme  sont nom ne l’indique pas est une création française et se joue à 4 maximum. Pour optimisateurs opportunistes ou chevronnés voir les deux.

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Séance de VENDREDI à St-Elivet 21/03

Tellement de tablées ce soir qu’on en perd le compte…
Nul doute que ce post sera remis à jour, amendé, corrigé et augmenté au fil des jours prochains.

Table 1, racontée par François :

Xel et VHS invitent Thomas à une table baladeuse, qui fait d’abord escale à Goa. Dans cette partie serrée, Thomas l’emporte d’une courte tête avec 40 PV, devançant Xel (37) et VHS (33). Il doit son salut à la dernière manche où ses compétiteurs se neutralisèrent alors qu’il était sans le sou, lui offrant la possibilité d’une action gratuite salvatrice. Nous traversons ensuite l’Atlantique pour aboutir dans l’industrieuse Angleterre de Brass. Ici, ce sont les chantiers navals qui firent la décision, à la faveur d’une lutte à mort entre Xel et Thomas, que je pourvoyais à grand renfort de mines et d’aciéries. Le podium ne change pas mais, Thomas (176 PV) fut menacé sur ses terres de prédilection par Xel (167), qui construisit un réseau ferré impressionnant, et un peu aussi par VHS (152), industriel et armateur, dans une partie experte richement dotée en points.

Table 2, racontée par Baptiste « Notre Trésorier » :

Michal, Audrey, Virginie et moi-même nous sommes lancés dans une partie de Quarriors grâce à l’explication préalable de Julien, son détenteur. Après un départ sur les chapeaux de roues, Michal fut peu à peu rattrapé par Virginie et moi tandis qu’Audrey peinait un peu. Sur un manque de clairvoyance, Virginie laissa passer un combo qui lui aurait garanti la victoire. Etant sans pitié, j’en profitai honteusement pour, à mon tour, atteindre les 12pts me garantissant la première place.

J’initiai ensuite la tablée à Mundus Novus. Virginie se constitua rapidement une escadre redoutable. Audrey, pour sa part, s’orienta vers les personnages. Michal et moi misâmes sur le long terme en construisant des entrepôts. Je remporte la partie selon l’option « 75 doublons ou plus à la fin d’un tour » en dévoilant 93 piécettes au nez et à la barbe de mes adversaires.

Table 3, « oldies but goodies » (le jeu, pas les joueurs) avec Marie-Anne, Frank, David et moi-même (Marvin) :

Nous enchaînâmes deux parties de Race For The Galaxy, un jeu qui a connu son heure de gloire à PC et qui était un peu retombé dans l’oubli. Erreur réparée.

Ce jeu sans aucune interaction mériterait de sortir plus souvent. Pour peu qu’on aime les jeux sans interaction, ce qui est totalement mon cas. J’en profite pour gagner les deux parties devant Marie-Anne, puis David et Frank.

Table 4 dite « dédé » ou « double découverte » …

… où Juilen aména Dominique, François-Réné et Jack à découvrir comment il gagne tout d’abord à Expedition: Northwest Passage puis à Quarriors!. Les deux jeux sont sympathiques et bien faits, mention spéciale pour le premier dont le thème colle admirablement à la mécanique.

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