Le 18 novembre 2006 à Opglabbeek, petite commune située près de la frontière avec les Pays-Bas, Els Van Doren, épouse de Jan De Wilde, bijoutier d’Anvers et mère de trois enfants, meurt lors d’un saut en parachute Ses deux parachutes, le principal et celui de réserve, n’ont pas réussi à se déployer et elle finit sa chute dans un jardin. Le drame est filmé par une caméra vidéo montée sur son casque. Lors des analyses, la police constate que les cordons reliant l’extracteur des parachutes ont été coupés. L’entourage de la victime est auditionné. Els Clottemans, une institutrice flamande de 22 ans et parachutiste, devient suspecte quand elle tente de se suicider juste avant une nouvelle déclaration à la police un mois après le drame, alors que son amant l’a quittée. La police apprend l’existence d’un triangle amoureux, entre Van Doren, Clottemans et leur amant commun Marcel Somers, hollandais d’Eindhoven également parachutiste du même club et instructeur des deux femmes. Clottemans aurait eu l’occasion de saboter le parachute de Van Doren une semaine avant le saut fatal quand le trio avait passé une nuit dans le même appartement et qu’elle avait été contrainte de dormir sur un matelas dans le salon, alors que Somers et Els Van Doren faisaient l’amour dans la chambre à côté.
Au procès, alors que la jeune femme clame son innocence, les douze jurés la condamnent, le 21 octobre 2010, à une peine d’emprisonnement de trente ans. En l’absence de preuve matérielle la confondant, il s’est fondé sur un faisceau de présomptions et a retenu comme circonstance atténuante la personnalité fortement perturbée de l’accusée. Ce « meurtre au parachute », nécessitant un dispositif spécial de sécurité à l’audience, fut le procès de l’année pour la presse belge.
19 ans après, à Parties Civiles, duos, trios et quatuors se formaient, sans faire de victime.
Table 1, dite « Serial winner » : on n’a pas l’issue de ce duel à Ark Nova smais on met notre billet que Mickaël, gagnant en série à ce jeu en l’absence du GOAT Steven, s’est imposé face à Benjamin.
Table 2, dite « Au septième ciel » : Très haut dans le ciel, une explortaion spatiale regroupe Corentin, François, et Lionel, un nouvel adepte, récent trégorrois mais joueur chevronné, bienvenue à lui ! Pour sa première partie, sur un jeu inconnu, Luna Capital, il ne s’en laisse pas conter et avec, le score brillant de 114 (non loin de la meilleur performance de tous les temps, qui ressort à 131 selon le carnet de jeu), assomme la concurrence (Corentin, 100, François, 78).
Table 3, dite « Envoyés en l’air » : à Terraforming Mars, on tentait de coloniser la planète rouge. C’est Dom qui s’impose avec 89, devant Bérenger 69, CarolineTh 66, et Sébastien 62. Avec la corporation « qui plante des arbres », il réussit à avoir 3x 5 PV sur les objectifs en arrivant à prendre tout le monde de vitesse, et bien aidé par l’inattention de Bérenger qui aurait pu en revendiquer un avant lui.
Table 4, dite « Entre amis » : Petite table entre amis, avec Thomas, Marie-Anne, Olive et Jibee, qui honore nos table d’un retour après une longue absence. A Londres, on parierait, sans certitude aucune, que l’expérience de Thomas a payé.
Le 11 juin 1924, le Président de la République Alexandre Millerand démissionnait. À l’issue des élections du 11 mai, le cartel des gauches est minoritaire en voix mais le mode de scrutin lui permet d’emporter la majorité absolue. La nouvelle majorité reproche au chef de l’État ses prises de position hostiles à son égard et réclame sa démission, invoquant la défense des institutions et craignant qu’il ne soit une entrave à son action gouvernementale. La première formation à se prononcer en ce sens est le Parti radical, suivi par les républicains-socialistes et la plupart des conseils généraux à majorité radicale
Dans les monts du Cantal et l’Aubrac, aux confins du Massif central, le jour de la saint-Géraud était la date de la transhumance d’automne avec la descente des troupeaux quittant les estives. En ce 13 octobre, on vit à Lannion des troupeaux de ludopathes rejoindre le haut plateau de Servel, prélude à la transhumance de plus grande ampleur d’un petit dragon ailé vers le festival Scorfel, qui réjouira petits et grands le week-end prochain !
Aussi surprenant que cela paraisse aujourd’hui, ce n’est pas comme peintre que Léonard est en son temps célèbre, mais comme organisateur de fêtes. Il déploie son génie d’inventeur pour développer des machines et mettre en place des spectacles inédits. Disparu le 2 mai 1519, par son génie, il symbolise la Renaissance italienne sans avoir reçu de formation poussée et connaissant mal les œuvres antiques. Le nombre de tableaux qui lui sont attribués avec certitude se compte sur les doigts des deux mains. Il a projeté de rédiger 120 traités sur les sujets les plus divers, sans jamais en écrire un seul.