Un incident d’organisation nous privant de notre salle habituelle, la mairie nous a relogés au Rusquet où tout était parfait pour accueillir une meute de mangeu[r|se]s de galettes. Avec les multiples recrutements récents, l’affluence atteint des niveaux records le vendredi comme le mardi.
Table 1, dite « Cthuloïdes effrayants » : Thomas, JérômeC, Xof et Marie-Anne jouent à A Study in Emerald. Les deux premiers étaient restorationnistes et le second s’est débarassé du premier pour l’emporter. Ils jouent ensuite à Odin avec des transfuges de la table 2.
Table 2, dite « Mammifères volants » : Xel, Samuel, Fabrice, Stéven et OlivierL ont joué à Batman.
Table 3, dite « Félins ronronnants » : Tristan et Mickaël rugissent pour s’intimider puis s’affrontent à Ark Nova. Ils sont longtemps restés groupés sur la piste de score mais Tristan s’est imposé d’un puissant bond final.
Table 4, dite « Virus contaminants » : Claire, Marie, Virginie (tiens, encore une nouvelle !) et Morgane enchaînent deux parties de Pandémie. Les deux fois l’humanité a succombé à un ennemi petit mais redoutablement contagieux.
Table 5, dite « Décongelés survivants » : Table de deux pour Olive et Marc qui s’affrontent à Revive (avec extension semble-t-il). Olive repart avec la satisfaction du travail bien fait, 107 PV à 83.
Table 6, dite « Echaudés s’enfuyant » : Après la recolonisation d’une planète glacée, place à l’abandon d’une planète en voie d’ébullition pour aller coloniser un monde alternatif. Non il ne s’agit pas de Terraforming Mars mais de Evacuation, le dernier jeu de Vladimir Suchy. Fred et Dom le défrichent avec les inévitables petites erreurs de règles bientôt corrigées par le courriel tant redouté. C’est une course en 4 manches pour transférer le plus efficacement possible sa population et ses infrastructures de la planète A vers la planète B. L’interaction est faible, un peu de concurrence sur les achats de cartes et la possibilité de bloquer en plaçant ses pions. Par contre il y a un vrai enjeu sur l’ordre du tour. Pour cette découverte Dom a développé plus vite sa production à l’arrivée mais a souffert toute la partie d’une pénurie d’énergie et a dû déployer trois vaisseaux spatiaux à la dernière manche pour réussir à tout évacuer. Bien qu’ayant pris une pénalité sur les Stades, son développement plus régulier et sa domination sur les smileys (??) lui permettent de l’emporter.
Table 7, dite « Equipiers combattants » : Nos souvenirs se brouillent mais il semble bien que Nolwenn, Younaël et Adélie aient joué à Shards of Infinity en mode coopératif, qu’ils aient eu raison de leurs adversaires mais que pour le dernier il ait fallu s’y reprendre à trois fois.
Table 8, dite « Chroniqueurs voyageant » : Nouvel épisode pour les habitués des Chroniques de Drunagor (Jérôme, Armand, F-R et OlivierB). Toujours une espèce de retour dans le passé mais la victoire n’a été qu’une formalité.
Table 9, dite « Hellènes civilisant » : Stéven, Mickaël et Tristan finissent la soirée par deux parties de Peloponnes. Tristan gagne la première mais est dévasté par la famine à la seconde, la faute à deux événements tirés au mauvais moment, c’est Stéven qui prend la seconde couronne.
Table 10, dite « Espions tâtonnant » : Le Codenames final et du petit matin accueille progressivement des Bleus (F-R, Fred, Nolwenn) et des Rouges (Younaël, Dom, Jérôme). A la première partie les Bleus, égarés par un Vin un peu trop polysémique, révèlent des mots Rouges. Ils finissent par faire une belle remontada mais échouent sur leur « Tirer 3 » final (But, Poule et ???). A la deuxième partie un Jérôme particulièrement inspiré double la mise des Rouges avec Orage (Eclair, Grain, Temps), Faim (Loup, Talon) et Craie (Tableau, Main) tandis que les Bleus se brûlent avec Soleil 2 (Noyau, Feu… mais il y avait aussi Etoile).