Séance de VENDREDI 11/10/2024 à Servel

Fondée le 11 octobre 1440 par le roi Henri VI, le collège d’Eton, en face de la ville de Windsor, à quarante kilomètres de Londres, est considéré comme la « pouponnière » attitrée de la famille royale d’Angleterre et de l’aristocratie du monde entier. L’ancienneté de l’établissement est reflétée par de nombreuses traditions, dont l’uniforme spécifique porté par les élèves. Le pensionnat, qui accueille environ 1 325 élèves, envoie chaque année un nombre important de ses Etoniens aux prestigieuses universités d’Oxford et Cambridge, 33 % pour l’année 2019.  Les frais de scolarité pour une année dépassent 50 000 €, mais soixante-dix étudiants par an, les King’s Scholars, bénéficient d’une bourse d’études d’un montant d’au moins un dixième du prix de la scolarité et sont logés dans le collège même. Ces élèves réussissent un examen, et ont des résultats académiques remarquables — Boris Johnson fut l’un deux (mais il n’est pas sûr qu’il soit aujourd’hui érigé en modèle de cette réussite). Un tiers des autres élèves, les Oppidans, eux, reçoivent une aide financière. Issus de familles aisées, ils ont des résultats académiques moins prestigieux, paient l’essentiel de leur scolarité et résident hors des murs de la partie historique de l’établissement. David Cameron était un Oppidan (mais on peut douter que le splendide isolement européen auquel il a conduit le royaume lui vale une postérité parmi les alumni). À l’époque de Keynes, les professeurs mettaient en garde les boursiers, dont ils attendaient de meilleurs résultats, leur demandant de ne pas prendre exemple sur les Oppidans qui, par la suite, auraient moins besoin de travailler qu’eux.

Près de six siècles plus tard, aucune discrimination financière à la grande école de jeux de Lannion, qui met même un point d’honneur à consentir un rabais substantiel à sa cotisation déjà fort modeste à ceux dont le statut le justifie. Ici, on ne survit que par son mérite et son entraînement inlassable contre nos plus grands champions.

Table 1, dite : « Réussite académique » : à la table d’Irish Gauge on ressent tout le poids de l’isolement irlandais, cette mesure inhabituellement large de l’écartement des rails (1600 mm) n’étant partagée aujourd’hui que pars certains états australiens (où elle fut introduite par un ingénieur irlandais) et au Brésil. Le jeu consiste à miser sur la réussite de compagnies de chemins de fer du pays dont on acquiert les actions aux enchères, et à construire ses réseaux, en espérant de futurs et juteux dividendes. Ces dividendes sont partagés entre les actionnaires, il faut donc à la fois en compter quelques-uns pour espérer une contribution à la construction du réseau, mais pas trop pour ne pas diluer les bénéfices…
Les actions sont offertes à un prix minimal croissant, remboursé au final au nominal : il convient donc de ne pas trop s’écarter de ce prix de référence sous peine de voir la rentabilité de son investissement virer au négatif ! Face à une concurrence redoutable, François l’emporte haut la main avec 121, fruit d’une stratégie académique mais évolutive, au début de judicieux achats précoces qui lui ont longtemps permis d’encaisser seul de jolies distributions, puis une alliance stratégique avec Mickaël, un peu délaissé et qui finit à 86, sans oublier un achat très opportuniste dans la compagnie rouge qui lui valut de jolis coupons et le tiers du super-dividende qu’elle réussit à établir en reliant trois cités. A l’inverse, Gérard (102), et Tristan (111) ont été timorés sur leurs achats, craignant toujours de surpayer, stratégie de protection du cash qui manqua d’audace pour disputer la victoire.

Les mêmes enchaînent sur un Non Merci où Tristan prend une belle revanche, enchaînant deux victoires (-27 puis -28) qui couronnèrent une stratégie audacieuse, voire casse-cou (parier sur l’arrivé du 31 en dernière carte quand on a la 30 et la 32…). Dans les profondeurs on aperçut Gérard avec -95 dans la première partie et François, -86 dans la seconde.

Table 2, dite « Silence, on étudie » : dans l’ambiance feutrée de l’aquarium, la fine équipe de ISS Vanguard déroule un scénario à rallonge, avant d’être troublée par l’arrivée inopinée de la table 1, qui vient fuir l’ambiance bruyante d’un bâtiment inhabituellement surpeuplé.

Table 3, dite « Ambiance concours » : Deuxième partie de Bora-Bora regroupant trois des précédents protagonistes (Marc, Olive & Dom) et Pierre-Yves, toujours curieux de découvrir des jeux. C’est ce dernier qui prend le meilleur départ avec une bonne quinzaine de points d’avance. Mais à ce jeu il faut savoir construire et conclure. Plus que la première fois la lutte a été intense au temple que Marc a souvent dominé, en tirant PV et tuiles Dieu. Inversement la lutte pour les meilleurs emplacements sur la carte a été moins vive, même au dernier tour où on essaie de se positionner sur les poissons de plus forte valeur. Olive et Dom se sont distingués par quelques lancers de dés pas fameux mais à la fin des 6 tours tout le monde était regroupé sur une douzaine de points. Au terme du décompte final c’est Dom qui coiffe Marc 133 PV à 130 (grâce à un second bonus de 6 PV) devant Olive 118 et Pierre-Yves 109.

Table 4, dite « Contrôle continu » : La petite troupe des Chroniques de Drunagor – L’Âge des Ténèbres -OlivierB, François-René, Armand et Jérôme- continue son aventure et réussissent leur scénario brillamment.

Table 5, dite « Méthodes expérimentales » : ambiance expérimentale à cette table avec les prototypes An Drouiz Meur (de Younaël) et Levels of darkness (de Frank). Avec Nolwenn et Paul, ils terminent avec le plus classique Shards of Infinity.

Table 6, dite « Back to basics » : délestée de Gérard, la table 1 enchaîne avec Azul et Tristan déroule (86, devant Mickaël, 70, et François, 46), sans oublier un inévitable hommage à  l’Irlande avec le populaire So clover.

Table 7, dite « La quille » : les rescapés de diverses tables terminées se retrouvent à Crack List pour une fin de soirée en pente douce, qui a montré à Nolwenn toute l’étendue de la culture et de l’humour de nos adhérents. Nous espérons qu’elle aura apprécié l’expérience et reviendra fréquenter nos tables.

Séance de MARDI 20/08/2019 à Servel

Par la circulaire du 20 août 1866, Victor Duruy, ministre de l’Instruction publique de Napoléon III, institue un certificat d’études primaires destiné aux « élèves qui auraient subi avec succès un examen portant au moins sur l’enseignement obligatoire », c’est-à-dire la lecture, l’écriture, l’orthographe, le calcul et le système métrique.

L’organisation de l’examen est laissé à la libre discrétion des conseils généraux qui administrent les départements et il faudra attendre un arrêté de Jules Ferry, ministre de l’Instruction publique sous la IIIe République, le 28 mars 1882, pour qu’enfin l’examen soit organisé sur une base nationale.

Le « certif » va très vite devenir le sésame des jeunes paysans méritants vers les emplois de la fonction publique et un moteur puissant d’ascension sociale. Il va aussi contribuer à la sanctification de l’école et de la culture classique (souci de l’orthographe et de la calligraphie, passion pour l’Histoire…). Pourtant, même après la Seconde Guerre mondiale, il ne sera octroyé qu’à la moitié de chaque classe d’âge, les instituteurs ne présentant à l’examen que leurs meilleurs éléments….

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A Parties Civiles aussi, la rentrée approche. L’occasion rêvée de féliciter nos pensionnaires les plus méritants !

Table 1, dite « Hors délais » : un Terraforming Mars accueille Benjamin, Olivier-3, Jack et deux visiteurs, avec qui il fit affaire. Les candidats ont planché tellement fort qu’ils n’ont pu rendre leur copie à temps et ne seront pas notés.

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Pax Pamir, I et II

Table 2, dite « Composition d’histoire » : un ancien disciple, Gérard, retrouve, à l’instant de quitter le chemin des écoliers, celui de Parties Civiles. Il amène un sujet d’étude familier, dans la grande famille des Pax qu’il suit avec assiduité: Pax Pamir, seconde édition – mais il a aussi la première ! Nous voici plongés dans l’Afghanistan compliqué et ses ingérences étrangères (Russie et Grande Bretagne), les alliances formant une part intégrante du jeu. Une partie découverte que votre narrateur remporte avec 6 points, devant Dom, 1, et Gérard, 0. Les scores sont peu significatifs, reflétant surtout une alliance British qui me permit de forcer le destin, et une analyse à voix haute de Gérard qui énonça le mouvement gagnant pour une partie écourtée du fait des règles. On y rejouera avec plaisir, mais sans communiquer !

Table 3, dite « L’école des marris » : à Mythotopia, nous enregistrons la victoire d’un étudiant prometteur, Axel. Camille, Thomas et Vincent en ont été fort marris, ce dernier ayant été la victime d’une attaque-surprise….

Table 4, dite « Buissonnière » : Le seigneur des anneaux a vu une victoire facile de LN, Neox, F.-R., Vincent-3 et Baptiste, victoire qui a pris la forme d’un pèlerinage par les chemins de Compostelle.

Table 5, dite « Copiés collés » : à Non merci il faut parfois copier ce que fait son voisin, mais aussi éviter de rester collés avec les grosses cartes faute de moyens. Votre narrateur remporte une première partie juste devant LN, avec 15 (en une seule carte !), imité ensuite par Dom qui rafle deux autres manches en copiant (en mieux) la stratégie de ses voisins. Au total des trois manches c’est encore lui qui s’impose, talonné par F.-R (66 à 59). Au fond du classement, Baptiste a mangé des cartes à n’en plus finir, s’infligeant 196 points en trois manches !

Table 6, dite « Oral de rattrapage » : à Shards of Infinity Camille et Thomas essaient de se racheter de leur échec antérieur dans un tête-à-tête aux allures d’oral de rattrapage. L’un des deux y réussit, mais on se saurait vous dire qui.

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Séance de MARDI 18/06/2019 à Servel

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L’épopée napoléonienne s’achève le 18 juin 1815, au sud de Bruxelles, entre les villages de Waterloo et Mont-Saint-Jean. L’empereur est vaincu par une coalition anglo-prussienne conduite avec brio par le duc de Wellington, et le feld-maréchal prussien Gebhardt von Blücher.

Sa défaite va clore la période révolutionnaire et inaugurer en Europe près d’un siècle de prospérité et de paix relative, sous l’égide de monarchies conservatrices. Waterloo marque la fin de l’épopée napoléonienne. C’est aussi la dernière grande bataille « façon XVIIIe siècle » et, aujourd’hui le seul site napoléonien à peu près préservé en l’état, devenu un théâtre de reconstitutions homériques.

204 années ont passé, et, à Parties Civiles, même s’il a, comme le grand Louis, essuyé une cuisante défaite en ce triste anniversaire, le règne de Neox Ier n’est pas près de s’éteindre. Ce blog non plus d’ailleurs: vous en lisez le 999-ième épisode !

Table 1, dite « La débandade » : sur le champ de bataille de Aeon’s end, les soldats n’ont pu défendre la ville, leur aventure se soldant par une débandade. La Vieille Garde impériale, Xel, Neox, Thomas et F.-R., corps d’élite de l’armée civilienne, couvre leur retraite.

Table 2, dite « Stratèges d’élite » : juste à côté se disputait un Mission Planète rouge avec de jolis spationautes (même s’il y en a qui trouvent que ça serait quand même mieux avec des cubes…). Il a été question de légumes pas bons mais on ne sait plus très bien à propos de quoi, pas de Mars en tous cas où ils doivent être rares. Cette table donna lieu à un final homérique entre 3 stratèges. Avec une stratégie diabolique au dernier tour (emporter une zone à 9 PV grâce à une carte Action cachée), qui fut à moitié contrée (à l’intuition) par Nicolas II, votre serviteur l’emporte avec 36 PV, devant Olivier-3, même score grâce à des missions fort juteuses (notamment la mission globale des points de glace, 9 PV d’un coup), mais battu au nombre de récompenses, et Nicolas II, 34 PV et que beaucoup voyaient vainqueur. Jérôme, 26 PV, et Dom, 21 PV, n’ont pas démérité.

Table 3, dite « Ombres tutélaires » : quelques survivants entament alors un Non merci dont l’issue se perd dans les ombres tutélaires de la nuit…

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Séance de MARDI 08/01/2019 à Servel

Le 8 janvier 1950, disparaissait l’économiste autrichien Schumpeter.
L’innovation est à la fois source de croissance et facteur de crise. C’est ce que Schumpeter résume par sa célèbre formule « destruction créatrice ». Les crises ne sont pas de simples ratés de la machine économique: inhérentes à la logique interne du capitalisme, elles sont salutaires et nécessaires au progrès économique. Les innovations arrivent en grappes au creux de la vague dépressionniste: la crise bouscule les positions acquises, rend possible l’exploration d’idées nouvelles et ouvre des opportunités. Au contraire, en phase de croissance, l’ordre économique et social bloque les initiatives, ce qui freine le flux des innovations et prépare le terrain pour une phase de récession, puis de crise.

Il aimait dire qu’il avait eu trois objectifs dans sa vie : être le meilleur amant du monde, le meilleur cavalier du monde et, bien entendu, le meilleur économiste du monde. Et, poursuivant, dans un geste de fausse modestie, il ajoutait que de ces trois objectifs, il n’en avait atteint que deux. Jamais il ne voulut dire desquels ils s’agissaient. Nous continuons à nous demander lequel de ses trois plans échoua !

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Schumpeter

68 ans après, à Lannion, amants, cavaliers et économistes étaient en lice. Qui a été le meilleur ? Lisez ce qui suit pour le savoir !

Table 1, dite « Aux cavaliers » : sous la plume de Dom, voici le récit de cette partie de découverte de Western Legends pour Neox, DocNico, Dom et François-René. C’est un jeu situé dans l’ouest américain mythique où on peut mener des activités diverses allant de l’orpaillage au commerce de bétail, en passant par l’attaque de banques et le fait d’aller au saloon admirer des danseuses à la cuisse légère. Très ouvert et bien thématique, il permet de choisir des vies très calmes (je pioche dans la mine-je vends) mais aussi de devenir un hors la loi (je détrousse-je flambe) ou un justicier (je flingue-j’arrête). Parmi le matériel, un jeu de 52 cartes classiques qui peuvent être utilisées pour des mains de poker, pour les combats au revolver (le joueur avec la plus forte carte blesse l’autre) mais aussi pour un pouvoir spécial. Pour cette première visite, quelques inévitables tâtonnements de règles (et un plateau mal lisible). F-R part à fond dans une vie de mauvais garçon à laquelle le Doc met fin en le coffrant, ce qui le déleste de ses biens mal acquis. Mais c’est le Dom qui, incarnant l’ordre comme marshall et arrêtant quelques bandits sans oublier d’aller se distraire au saloon, prend le large sur la piste des Points de Légende et l’emporte.

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La voie des pandas

Table 2, dite « Aux amants » : sur La voie des pandas,  Kree’nox a été laissé tout seul tranquille dans son coin par Olive et Nicolas II. Tant et si bien qu’il a fait fructifier ce plaisir solitaire jusqu’à l’issue prévisible. Puis, à Dice forge, Nicolas II, le pourtant malchanceux aux dès, a emporté la mise – il sera donc heureux en amour.

Table 3, dite « Aux économistes » : à cette table de petits jeux de gestion en mode « no new rules », on a d’abord vu Camille s’imposer à King of Tokyo puis Xel à Non merci ! et encore à Level Up. Dans le premier cas, votre serviteur fut tué, puis ressucita, en vain. Dans les deux autres, il sombra corps et biens.

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Séance de VENDREDI 30/11/2018 à Servel

Le 30 novembre est propice aux batailles. Ainsi en 1700 à Narva une armée suédoise bien plus petite attaque les forces de Pierre le Grand pendant une tempête de neige et les met en déroute. A la bataille navale de Sinop en 1853, c’est la flotte russe qui envoie par le fond une escadre ottomane. Et que dire de l’affrontement nocturne entres navires japonais et américains à Tassafaronga en 1942 ? Enfin ce jour est aussi celui de la victoire du houblon et de l’orge, seuls ingrédients autorisés dans la bière allemande par le Reinheitsgebot de 1487, toujours en vigueur.

Table 1, dite « Pew Pew » : Jack et Jeff s’affrontent à Star Wars Legion, seul le son des armes laser vient briser le silence.

Table 2, dite « Boum Boum » : deux tables de Warhammer 40k accueillent, dans des décors magnifiques, les paires Julien-Maxime et Baptiste/Vincent-3.

Table 3, dite « Un os dans le kebab » : Michal, Hélène, Paul-Jr, Elouan, VHN et Sébastien disputent 3 parties de CS Files. Un jeu d’enquête, de bluff et de tchatche où on tente d’identifier un meurtrier avec  l’arme du crime et un  indice laissé derrière lui. Seul un joueur, le médecin-légiste, sait qui il est, mais il ne peut communiquer que par des listes plus ou moins pertinentes. Pour la première manche (« le kebab fatal »), un empoisonnement au cours d’un pique-nique, Michal parvient habilement à aiguiller vers la bonne coupable que Dom démasque dès le premier essai. Ce dernier devient légiste mais ne parvient pas à extirper son groupe des manipulations du meurtrier polonais qui a choisi des indices opaques à souhait et les envoie sur des fausses pistes jusqu’à sa victoire ultime. L’histoire imaginée (une rivalité professionnelle parmi les cuistots de la cafétéria qui en voit un assommer mortellement l’autre avec un jambon à l’os qui est ensuite servi en sauce Madère) laissera de marbre. Enfin, avec Paul comme légiste, c’est VHN le meurtrier qui choisit l’efficace tronçonneuse comme arme du crime sur un fond de meurtre passionnel. Après avoir longtemps réussi à brouiller les pistes, un témoin ayant entendu un son prolongé rend difficile la dissimulation. Les autres joueurs essaient toutes les combinaisons et finissent par le démasquer.

Table 4, dite « Famiglia » : à Signorie, Gérard, Xel, Thibault et Lubin lancent des dés pour assurer la prééminence de leur famille italienne. Gérard l’emporte mais ce fut serré.

Table 5, dite « Rush spatial » : après avoir été ressorti à « Dimanche on joue ! », le classique qu’est Race for the Galaxy fait son grand retour avec dans le rôle des bâtisseurs d’empires galactiques Mickaël, Frank, Frédéric et Noé. C’est le premier qui triomphe.

Table 6, dite « Avec ou sans Vikings » : Tristan, Gabriel et Eric jouent à Raids, un jeu avec des Vikings. Il y a aussi du commerce, des combats et de l’aventure. La vie, quoi. Ce n’est pas un barbu blond qui a gagné, mais le brun Gabriel. On y joue ensuite à Kardinal und König, un jeu sans Vikings mais avec des émissaires qui voit une victoire du barbu blond (mais « tout le monde a été bon », m’assure-t-on)

Table 7, dite « Restée sur l’estomac » : du gros coopératif qui tache (de sang) avec une aventure de Aeon’s End embarquant Neox, ThomasC, Jérôme et François-René. Ils ont fait la connaissance du Prince Glouton et ont dû s’admettre vaincus après n’avoir réussi à lui soustraire qu’à peine la moitié de ses PV.

Table 8, dite « Flambeuse » : la table 3 joue à Las Vegas après le départ de Paul. A cinq, et sans les dés supplémentaires du DUC, il faut se priver de la mécanique habile des dés blancs neutres. La partie a été comme souvent pleine de rebondissements, même si comme disent certains on croit contrôler mais on subit les dés. Retenons qu’à la première manche, Sébastien s’empare d’un gros billet par un ultime lancer de trois « 1 », et qu’à la troisième manche Hélène tire les marrons du feu en profitant de l’annihilation mutuelle des deux autres joueurs qui ont chacun misé 4 dés sur le casino « 6 ». Les scores finaux (en k$) reflètent ces coups d’éclat : Héléne 440, Sébastien 360, Elouan 340, Dom 280 et Michal 40.

Table 9, dite « Bouche-trou » : petit Non Merci pour Jérôme, Gabriel, ThomasC et F-R. Nous n’en savons pas plus.

Table 10, dite « Malentendus » : pendant que la table 4 est en mode « papotage de fin de partie », cela repart pour deux parties de Shadow Hunters. A la première à 7 joueurs (Gabriel, Jérôme, ThomasC, Hélène, F-R, Neox, VHN), les Neutres sont décimés peu à peu, Hélène entretient la confusion sur qui est qui, Gabriel appliquant des méthodes déductives débusque les Shadows et inflige au Vampire/F-R des dommages qui font gagner les Hunters au tour suivant. La seconde partie a lieu après le (faux) départ du narrateur.

Table 11, dite « Du neuf avec du vieux » : la table 4 déballe King’s Road, un jeu récent (et apparemment pas inoubliable) du vénérable (et vénéré) R. Knizia. Les protagonistes pourront s’exprimer à son sujet sur le forum.

Table 12, dite « After hours » : il y eut semble-t-il encore une partie de Hanabi.

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Séance de MARDI 20/11/2018 à Servel

Le 20 novembre est le 324e jour de l’année 2018. Or 324 = 4 * 81. Vous aurez reconnu deux carrés car 4 = 2 * 2  et 81 = 9 * 9. Oui mais 9 est lui même un carré car 9 = 3 * 3. Incroyable ! ce ne peut être un hasard et le 20 novembre est manifestement le jour des carrés. Et quel meilleur représentant des carrés que le 4 car c’est le plus petit nombre carré du monde et chacun sait qu’un carré a quatre côtés.

Il y eut donc quatre parties à quatre joueurs, la perfection régnait ce soir là à Servel, j’en ai les larmes aux yeux.

Table 1, dite « Atteintes sur mineures » : un quarteron d’expérience (Xel, F-R, Jérôme et Thibault) joue à Miskatonic Lycée de Jeunes Filles. Un jeu à élimination avec de vrais morceaux de tentacules où on vit partir avec regrets Jérôme et F-R, mais où la principale victime fut le respect des règles du jeu. Le représentant de l’Education Nationale surnagea.

Table 2, dite « 4 éléphants et 1 tortue » : Kree’Nox attire dans ses filets maléfiques Tristan, Benjamin et Dom et leur fait découvrir l’univers corrompu du Disque-Monde:Ankh-Morpork. Un jeu à la patte bien Wallacienne et à l’univers fort (la planète plate repose sur le dos de quatre éléphants. Quatre !!) où chacun doit atteindre un but secret à coups de contrôle de territoire, de bluffs et de coups bas. Bien sûr cela aide d’avoir bien en tête les différents buts possibles pour tenter d’y voir clair dans le jeu des autres. Tristan trompa son monde et parvint à semer le chaos à son profit.

Table 3, dite « Oui s’il vous plait » : la table 1 poursuit avec Non Merci, toujours un bon choix parmi les petits jeux.

Table 4, dite « Lave et villages » : la table 2 poursuit avec Taluva. Jeu d’une grande beauté et de réflexion profonde où il faut  bien choisir qui on va aider un peu et qui on va embêter beaucoup. KreeNox par sa dernière action tranche entre Tristan et Benjamin, départagés au nombre de huttes. Le dernier, qui s’était levé à 4h (Quatre !!!)  et commençait à décrocher, remporte la partie en avouant n’avoir toujours pas saisi les règles de placement des différents types de pièces.

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Séance de MARDI 24/07/2018 à Servel

Un 24 juillet sous le signe du Canada.

Table 1, dite « 1848 » (première mise en service d’une locomotive, importée d’Angleterre): Xel initie à Brass Neox et DocNico, Julien-2 s’avérant déjà connaître. C’est la version 2018 montée en gamme (mais on me souffle qu’en fait il y avait déjà eu une édition deluxe de la v1) qui est utilisée, avec un plateau aux dessins soignés mais fort sombres. Partie serrée et appréciée que Xel (citation : « le charbon, c’est bon ») a bien failli gagner mais le Doc-capitaliste la coiffe à la fin.

Table 2, dite « 1967 » (le général de Gaulle s’écrie : « Vive le Québec libre ! ») : F-R, Jérôme, , Olivier (eux), Olive, Vincent et VHN (nous) composent les deux blocs qui s’affrontent à Quartermaster. Malgré un camp russe disposant dès le début de cartes Statut puissantes, les alliés l’emportent sur le fil, d’un unique point. En effet les italiens se battent comme de beaux diables, allant jusqu’à conquérir l’Ukraine, tandis que les japonais se déploient largement, sans toutefois accumuler des quantités de points. Les américains ont affaibli l’Axe par leurs bombardements mais n’ont pas aligné les cartes Statut et, après une poussée initiale dans le Pacifique, sont restés discrets sur les théâtres d’opérations. Et le Japon ne serait pas aventuré en Inde, on aurait vu une flotte soviétique déployée en Méditerranée et canonnant la France occupée !

Table 3, dite « 1534 » (Jacques Cartier prend possession du Canada au nom du roi de France) :  la table 2 se coupe en deux et F-R, Jérôme et Olivier essaient Raids. Jérôme gagne et déclare « les pierres c’est bien ». Ensuite, un petit round de Non merci !

Table 4, dite « 1862 » (ruée vers l’or en Colombie Britannique) : Dom tente de convaincre Olive de l’attrait (au sens où un tour de montagne russes peut avoir de l’attrait) d’Innovation. L’inexpérience du second a rendu l’expérience cuisante, espérons qu’il y reviendra quand même.

Table 5, dite « 2015 » (pour la première fois, un canadien court le 200 m en moins de 20″) : paradoxalement, c’est après le départ du cycliste de service qu’on (Neox, Xel, DocNico et F-R ?) a joué à Flamme Rouge. Nous ignorons qui a agité le lion en peluche à l’arrivée de l’étape.

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Séance de VENDREDI 3/03/2017 à la Ludothèque

Le 3 mars 2002, le peuple suisse et les cantons acceptaient l’initiative populaire pour l’adhésion de la Suisse à l’Organisation des Nations Unies. Le pays devint, à l’automne, le 190e membre des Nations Unies, et le petit Suisse devint grand… Mais alors, avant, la Suisse c’était quoi ? Voilà une question qui n’a pas manqué de trotter dans la tête des parti-civiliens, réunis pour l’occasion en un terrain neutre idéal : la Ludothèque.

Pour ce compte-rendu à 4 mains, dirigeons-nous d’abord vers l’aile Ouest, où nous retrouvons la patte de Dom (avertissement: ce récit est susceptible de contenir des faits alternatifs – il paraît que c’est la mode désormais).

Une soirée de découvertes pour cette table réunissant Tristan, VHN, Christophe, Thomas et Anne-Sophie, une locale venue découvrir nos activités. On peut dire qu’elle n’a pas été déçue. Deux parties de Kardinal und König pour commencer, qui finiront identiquement par une victoire du barbu blond (la première fois de justesse et sauvé par une route providentielle). Du plus léger pour continuer la soirée, avec le toujours plaisant Non Merci. Au terme de deux parties, le score est de 2 victoires pour Christophe, à chaque fois avec un score négatif. Histoire de ne pas en rester là, une troisième partie a lieu, remportée par Dom.

Anne-Sophie ayant pris congé après sa rencontre avec un responsable de PC, nos amies ludothècaires nous confient Pyramids, une nouveauté tout juste reçue de chez Iello. Un jeu de collection de cartes avec quelques contraintes sur leur pose, un élément de mémoire et des règles de scoring compliquées juste ce qu’il faut pour lasser. Unanimité de la table pour se déclarer peu convaincue (autant jouer à un classique comme Coloretto, plus simple et plus sympa NDLA) au terme d’une partie au score serré.

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La table, rejointe par Neox et 4 autres, se lance dans un tournoi de Win !, aimablement confié par l’éditeur Funforge. Un party-game de tchatche et d’improvisation qui voit la victoire d’un Paul ravi de repartir avec une boite !

L’imagination ne manquant pas à Parties Civiles, la soirée se poursuit au delà de minuit par un Codenames improvisé utilisant les cartes portant des noms de personnages connus prélevées du jeu précédent. En deux manches gagnantes, et avec un échec total des Rouges dont les choix se fracasseront par deux fois sur l’assassin (Al Capone à la dernière tentative, puis Charlot) !

Depuis l’aile Est, votre modeste narrateur enregistra les faits suivants.

Du gros, du lourd, du brutal: voilà ce qui se tramait entre François-René, Jack, Jeff, Nourdine et VMN à la table de Trone de fer. L’invité surprise était Jérôme, un nouveau sympathisant, qui découvrait le jeu. et qui découvrait à ses dépends la difficulté de gérer des ordres non étoilés. Je peux en témoigner, jouer sans étoile c’est ardu. Le vote tant attendu sur les pistes permettant de modifier les précieux paramètres étant sans cesse différé, notamment par les votes « suisses » de Jack, longtemps détenteur du trône de fer, je passai le plus clair de mon temps à caboter non loin de l’île de Fer. Quand enfin ce vote intervint, je mis le paquet pour me retrouver haut gradé, avec trois étoiles. Mais entretemps la maison Greyjoy, que je conduisais, se trouva prise en tenaille entre les Stark au Nord (Jeff), qui cadenassaient le passage avec trois navires de soutien en mer, et les Lannister à l’Ouest, qui faisaient de même en patrouillant autour de l’île de Fer. Pour moi, au bout de huit tours, la messe était dite et la partie aurait bien pu prendre fin, mais la condition de fin prématurée de partie n’était pas remplie. Jeff était en tête et semblait promis à la victoire, mais il y avait encore deux interminables tours, que je suivis en mode distrait, pour apprendre à la fin que c’est Jack qui avait gagné. Selon les spécialistes, jouer à 6 est idéal pour la répartition des familles et l’équilibre du jeu, mais attendez-vous à ce que la partie aille au bout des 10 tours, armez-vous de patience et d’un barril de mousse…

Non loin de là, une partie de Five Tribes vit deux ax-aequo Camille et Axel, un duel que suivit Paul à son détriment. Un peu plus loin, Mickaël était venu avec son fils affronter Nicolas II, successivement à Titan Race, Rampage et Différence. Trois parties qui, étonnamment, virent le même résultat: la victoire de Nicolas II !

Dans l’aile centrale, on notera qu’Axel, Camille, Paul et Nicolas II s’adonnaient au Poker des cafards, et qu’une longue partie de Cuba réunit Xel, Baptiste au poil ras entouré d’un Doc’ Nicolas et d’un Vet’ Florian. Enfin, tandis que nous quittions les lieux entre complies et matines, une table de Mafia de Cuba emmenée par François-René se transforma subrepticement en Nosferatu. Il n’y a point d’heure pour partir dirent nos amis ludothècaires, fermez juste la porte derrière vous….

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Séance de MARDI 29/12/2015 à St-Elivet

Le 29 décembre 1170, Thomas Becket,  Archevêque de Cantorbéry, était assassiné, dans sa cathédrale même, par des partisans du roi Henri II d’Angleterre, pour avoir engagé un conflit avec le roi sur les droits et privilèges de l’Église. Sur le site même, au-dessus de l’autel placé dans la chapelle, sont représentées trois épées évoquant ce forfait.

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Henri désirait être le maître absolu, de son royaume et de l’Église, et se débarrasser des privilèges du clergé anglais qu’il voyait comme autant d’entraves à son autorité. Becket lui parut tout d’abord comme l’instrument adapté à ses desseins et le jeune homme se montra dévoué aux intérêts de son maître et agréable ami, de sorte que personne n’aurait pu douter de lui. Mais dès qu’il fut nommé archevêque, en 1162, une transformation radicale du caractère du nouveau primat s’opéra à la stupéfaction générale de tout le royaume. Le courtisan gai et amant des plaisirs fit place à un prélat ascétique en robe de moine, prêt à soutenir jusqu’au bout la cause de la hiérarchie.

Becket mit à exécution le projet qu’il avait préparé de libérer l’Église d’Angleterre des limitations mêmes qu’il avait contribué à faire appliquer. Son but était double : l’exemption complète de l’Église de toute juridiction civile, avec un contrôle exclusif de sa propre juridiction par le clergé, et l’acquisition et la sécurité de la propriété. Le roi comprit rapidement le résultat inévitable de l’attitude de Thomas et convoqua le clergé, demandant l’abrogation de toute demande d’exemption des juridictions civiles, et que soit reconnue l’égalité de tous les sujets devant la loi. Le haut clergé consentit à la demande du roi, que refusa l’archevêque. Thomas accepta un compromis, mais rien ne fut résolu au fond.

Henri convoqua une autre assemblée à Clarendon en 1164, entendant placer tous les sujets du roi, y compris les clercs, sur un pied d’égalité judiciaire, tous ne relevant que des tribunaux royaux. Le roi s’employa à obtenir l’accord du clergé et apparemment l’obtint, sauf celui du primat. Becket chercha encore à parvenir à ses fins par la discussion, puis refusa définitivement de signer, signifiant la guerre entre les deux pouvoirs en place. Henri essaya de se débarrasser de Becket par voie judiciaire et le convoqua devant un grand conseil pour répondre de l’accusation de contestation de l’autorité royale et malfaisance dans son emploi de chancelier.

La tension était désormais trop grande pour trouver une issue autre que la catastrophe, qui ne fut pas longue à venir. Une phrase du roi exaspéré : « n’y aura-t-il personne pour me débarrasser de ce prêtre turbulent ? » fut interprétée comme ordre par quatre chevaliers anglo-normands, qui projetèrent  immédiatement le meurtre de l’archevêque, et le perpétrèrent près de l’autel de la cathédrale de Canterbury.

Henri II se résolut alors à revenir sur les décisions entérinées dans les Constitutions de Clarendon. Becket fut révéré par les fidèles dans toute l’Europe comme martyr: l’église de Bénodet (Finistère) a pour saint patron Thomas Becket et Pleuven possède une chapelle Saint-Thomas. Le roi dut faire pénitence publiquement sur la tombe de son ennemi, qui resta un des lieux de pèlerinage les plus populaires en Angleterre, jusqu’à sa destruction lors de l’anéantissement des monastères. Un reliquaire fut cependant conservé, encore visité par de nombreux touristes de nos jours.

Table 1, dite « réunie »

845 longues années ont passé, et six preux chevalier(ère)s se réunirent en concile à St-Elivet: Xel, Dom, Jeff, Jack, Mickaël entourant votre humble serviteur. On chercha donc un jeu à six, et l’inépuisable DUC nous fournit Codenames. Les rouges (Jack, Jeff, VHS) prirent l’avantage sur les bleus deux manches à une. Si je parvins à faire sortir boîte et Paris avec un Régine 2 furieusement eighties, Dom échoua à faire trouver Rivière et Écran sur un Délivrance 2 subtilement cinéphile, et le match était scellé. Heureusement, car nous ne décelâmes point le Col caché sous le lipstick de Jack, où pourtant la littérature abonde:

lipstick

Table 2, dite « un seul être vous manque »

Mickaël alors s’éclipsa. On chercha donc un jeu à cinq, consulta le DUC qui, à l’instar de Claude MC, nous répondit: Non, merci ! Il s’agissait bien sûr du jeu consistant à acheter des cartes (ou pas) avec des pièces pour en avoir le moins possible à la fin. Trois manches furent jouées et Jeff poussa la politesse à laisser chacun de ses opposants s’en adjuger une.

Table 3, dite « tout est dépeuplé »

Jeff quitta alors les lieux, exfiltré par Jack, et porteur de l’anneau, où se trouvait la clé.  On chercha donc un jeu à trois, et on demanda au DUC un jeu rapide pour finir la soirée. Ce dernier  nous répondit logiquement Quick?? En fait, il voulait dire Qwixx, un jeu consistant à lancer des dés et à cocher des cases sur une grille, une sorte de Bingo amélioré en fait,  Trois manches furent jouées et je poussai la politesse à laisser à Dom la troisième.

Sur le point de sortir, une angoisse nous étreignit: y aura-t-il quelqu’un pour fermer cette porte ? Sur le constat que le loquet n’était pas locké, une intense activité communicationnelle s’empara de nous, pour débusquer l’ami Jeff de la lointaine villégiature où sa Mustang bleu pétrole l’entraînait à vive allure. Puis nous entendîmes des pas: le message avait fait son office et Jeff revenait vers nous, sourire aux lèvres et clés en main. Nous rangeâmes nos épées dans leurs fourreaux. Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères, Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé !

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Séance de MARDI 22/09/2015 à St Elivet

Séance rapportée par Dom aka << celui qui a le pseudo ‘Bonjour’ >> :

En guise d’accueil, nous tenterons sans succès de résoudre le mystère « mais où sont passées les couturières ? » avec pour tout indice un jean ensanglanté abandonné.

 La Table 1 choisit Zombicide auquel s’attellent Hélène, Baptiste, Neox, Yann et F-R. Des rumeurs –que le Forum pourra démentir- suggèrent que Neox et Hélène se sont échappés, laissant les autres à leur triste sort.

 La Table 2 accueille Jean-Yves qui a découvert l’association au Forum éponyme. Flanqué de Xel, Jérôme, David, Thomas et VHN, le groupe se lance dans un Libertalia qui tient ses promesses de coups bas. A ce petit jeu, c’est le pirate le plus barbu (Jérôme) qui prend le large. Pour se remettre de ses émotions, le groupe sort un Dixit qui voit la victoire, d’un court museau de lapin, du conteur le plus chevelu (David). Avec des joueurs en moins (les plus raisonnables étant partis se coucher) et en plus (F-R réchappé de la fosse aux zombies), il y eut encore quelques rounds de Non Merci et de l’inévitable For Sale (dont c’était là le dernier match de préparation avant le fameux Festival Scorfel, dans moins d’une semaine qu’on se le dise !)

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