Séance de DIMANCHE 12/05/2024 à Servel

Certains êtres humains, pendant la période la plus active de leur vie, tentent de s’associer dans des micro-regroupements, qualifiés de famille, ayant pour but la reproduction de l’espèce. Parties Civiles est à sa façon une petite famille de particules élémentaires, s’y reproduit l’atavisme ludique, comme une partie de Golem le montra, le père prenant le pas sur le fils de fort belle manière. Ailleurs, on sortit Ora et Labora, s’activant à prier et travailler. Ce n’est pas étonnant : en vieillissant,  l’athéisme est difficile à tenir, et c’est sa place dans le processus de production qui définit avant tout l’homme occidental.

Un peu plus loin sur le champ de bataille s’étendait le domaine de la lutte : Mythic battle, Quartermaster et Les piliers de la terre livraient leurs lots de jeune chair à canon. Il paraît invraisemblable qu’une vie humaine se réduise à si peu de chose ; on s’imagine malgré soi que quelque chose va, tôt ou tard, advenir. Profonde erreur. Une vie peut fort bien être à la fois vide et brève. La Fiesta de los muertos, en fin de soirée, leur rendit hommage, avec cette séquence incongrue pour camper Hitchcock : (Oiseau, Hirondelle, Gendarme, Policier).

Le buffet faisait dans le partage, avec les cookies maison et les douceurs. Ce sont choses qui se partagent, mais le café n’était point à l’appel, splendeurs et misères de l’autogestion. Un cookie sans café, en solitaire, c’est une expérience ultime, même Françoise Sagan n’aurait pas pu décrire cela. Les rires aussi furent partagés à Insider, où par deux fois les traîtres lurent mal le mot à deviner (motocycle au lieu de monocycle, sous-main pour sous-marin), source de fou-rires enfantins. Je ne crois pas à cette théorie selon laquelle on devient réellement adulte à la mort de ses parents; on ne devient jamais « réellement adulte », se disaient-ils.
Etais-je capable d’être heureux dans la solitude ? Je ne le pensais pas, se dirent deux âmes en quête de soeur. Un Splendor duel régla l’affaire.

Les vétérans étaient revenus, pour le rituel, et ils furent embarqués trés loin, à Faraway, mais dans un jeu très court. Les regards complices et les voix familières ne trompaient pas : au milieu de l’effondrement physique généralisé à quoi se résume la vieillesse, la voix et le regard apportent le témoignage douloureusement irrécusable de la persistance du caractère, des aspirations, des désirs, de tout ce qui constitue une personnalité humaine.

Certaines solitudes semblent sans remède. Pourtant, il en existe : ainsi se passent les dimanches heureux de Parties Civiles, de génération en génération et jusqu’à la nuit des temps.

Nous voulons retourner dans l’ancienne demeure
Où nos pères ont vécu sous l’aile d’un archange,
Nous voulons retrouver cette morale étrange
Qui sanctifiait la vie jusqu’à la dernière heure.

Séance de VENDREDI 18/11/2022 à Servel

Quatre tables dans deux salles et de nombreuses averses pour cette soirée de jeux qui dura fort tard en cette première nuit froide. La température dépassa rapidement 19°C mais juré, ce n’était pas le chauffage mais les cervelles overclockées de participant(e)s joyeux et concentrés.

Rappelons enfin que Dimanche on joue, au même endroit à partir de 14h.

Table 1, dite « moyenâgeuse » : Il avait été beaucoup joué en 2011-2012 mais après une apparition en 2015 n’avait plus fréquenté les tables de Parties Civiles. Revoici Ora & Labora, jeu habile de gestion du maître Uwe Rosenberg où on développe son territoire au moyen-âge, avec une abbaye et toutes sortes de bâtiments qui produisent et transforment une quizaine de ressources différentes. Le jeu présente des aspects originaux : la roue de ressources comme dans la Route du Verre mais fonctionne différemment, la possibilité d’activer moyennant paiement un bâtiment adverse avec un meeple adverse.

Pour cette redécouverte on choisit le mode France (tout est biface, il y a aussi  l’Irlande) et la partie courte en 12 tours où les ressources tombent généreusement du ciel (d’ailleurs à la fin tout le monde nageait dans les tuiles). Les règles sont simples mais on ne peut pas tout faire, il faut choisir et bien planifier ses productions ainsi que ses achats et placements de bâtiments, il y a un aspect spatial dans son développement territorial.

Les axes stratégiques choisis par chacun(e) se reflètent dans le décompte des points : Marie-Anne a maximisé l’effet de ses 5 agglomérations  (85 PV), Dom a acheté les bâtiments les plus riches en PV (84 PV malgré l’art de la redoutable M-A de lui chiper sous le nez ceux qu’il convoitait) et Xel qui a fait produire une merveille à 30 points par M-A domine sur les tuiles ressources (50 PV). Quand on fait les sommes le résultat final donne Dom vainqueur (164), Marie-Anne (153), Xel (136) et François (126). Maintenant que tout est bien calé dans les têtes, nous sommes prêts pour la version longue avec 24 tours, plus de meeples et des ressources qu’il faudra se fatiguer à aller chercher. Finie l’abondance, quoi.

Table 2, dite « looongue » : Olive, Samuel, Mickaël et Arakis découvrent Boonlake, un jeu d’Alexander Pfister qui rappelle (peut-être) son Great Western. Très longue partie dont pour l’instant nous ne savons rien.

Table 3, dite « baffable » : Frank et Evan s’affrontent à coup de dés et de monstres dans King of Tokyo. Partie probablement courte dont pour l’instant nous ne savons rien.

Table 4, dite « semi-héroïque » : Massive Darkness mérite son nom, une grosse boite avec du matos dedans. Ce soir c’est la Saison 2 qui est inaugurée par OlivierB, F-R, Neox et Gilles, la première avait été vue en 2017. Ils ont eu le temps de jouer deux scénarios de ce dungeon crawler coopératif, tous deux s’achevant par une victoire des aventuriers. Bon, on me dit que pour le second la tactique gagnante a consisté à s’enfuir au bon moment. Ce qui compte, c’est le résultat, non ?

Table 5, dite « vertueuse » : Début de soirée avec un quasi-classique, Architectes du Royaume de l’Ouest, pour Baptiste (grand fan de la trilogie), Tristan et Steven. Déroulant une stratégie le conduisant au sommet de la cathédrale en cumulant les points de vertu, c’est Steven qui s’impose. Tristan et Steven remettent ça avec un duel de Twisted Fables. A ce deckbuilder très asymétrique, Tristan (Belle au bois dormant à catogan) l’emporte de peu sur Steven (Petite fille aux allumettes apparemment mouillées).

Table 6, dite « apothéotique » : Les tables 1 et 4 fusionnent pour le Codenames final. Faute de la version maison c’est avec la boîte Iello qu’on jouera. Les trois manches des Bleus (F-R, M-A et V-H-N) et des Rouges (François, Gilles et Xel) ont été serrées, avec de belles remontées et parfois une tendance à trouver un mot adverse par tour. A un partout c’est la paire Xel/Dom qui va trancher la partie. La première égare son équipe avec Empereur 3 (pour Pingouin, Guide et Classe), elle avait négligé Palais. Le second voit juste avec Pupille 3 (Iris, Vision et Noir). On se retrouve cependant à 7-6 , il reste deux mots à trouver pour chaque équipe ; le Démasqué 2 bleu révèle Espion puis Prise (au lieu de Tuile). Les rouges ont leur chance : leur Gambas 2 les mène à Orange puis, suite à de longs conciliabules, à Licorne (en partie pour une sombre histoire de Kim Jong Un) au lieu de Classe (peut-être que Metro 2 aurait mieux fonctionné). Les Bleus peuvent alors conclure.

Séance de VENDREDI 23/10/2015 à St-Elivet

Albert Camus disait « Ce que je sais de plus sûr à propos de la moralité et des obligations des hommes, c’est au football que je le dois ». Il y a exactement 75 ans, naissait Pelé, roi du jeu le plus populaire au monde. Fait citoyen du monde par l’ONU dès sa retraite en 1977, Pelé incarne à jamais une certaine idée du football, et en nous résonne l’écho de gestes mémorables, dont ce but de la tête au style intemporel inscrit lors de la mythique finale Brésil-Italie du Mondial 1970. Puissions-nous être des joueurs aussi civils qu’il le fût.

BRESIL-ITALIE (4-1)

 

Table 1, dite « joyeuse comme un rire»

Une joyeuse bande de déploie autour de Mysterium. Michał est à la manoeuvre. On ne sait pas s’ils ont gagné, mais ils ont beaucoup ri, les portes s’en souviennent.

Table 2, dite « silencieuse comme une prière»

angelus

Dans l’ambiance monastique de la bibliothèque, reconvertie à l’occasion en prieuré, Dominique, Thomas, Xel et VHS s’exercent à une partie découverte de Ora & Labora. O&L complète le quadriptyque de Uwe Rosenberg (admirez ici l’imposante production de cet auteur allemand), commencé en 2007 avec Agricola, suivi de près par Le Havre en 2008 puis par Loyang en 2009. Il en reprend  les mêmes mécaniques de gestion de ressources et de développement. Le lecteur latiniste aura compris qu’à O&L, on prie et travaille dans un monastère du Moyen-Age. On y récolte du blé, on y fait du pain, de la bière, des reliures, et toutes activités ecclésiastiques. O&L est donc un jeu de placement de clercs, d’optimisation, de gestion et de développement de bâtiments à travers le puissant mécanisme des agglomérations (qui scellera mon triomphe, comme on le verra). Les règles sont bien expliquées et claires, la mécanique étant finalement bien plus simple que les règles ne le laissent paraître. Enfin, le jeu comprend une plaisante déclinaison du thème en deux versions: irlandaise et française, qui se distinguent par quelques subtilités, et des breuvages bien typés.

A son tour, un joueur n’a qu’une seule action à disposition parmi 3 disponibles :
1. activer un bâtiment avec un moine disponible. Cela peut même être un bâtiment d’un autre joueur, pour autant qu’on lui paie de l’or, du vin ou du whiskey pour la peine. Un mécansime redoutable car un bâtiment activé par un autre n’est plus activable pour soi au même tour!
2. déforester ou détourber l’une de ses cases et recevoir la ressource correspondante (en quantité plus ou moins importante selon un mécanisme de roue dentée, que les connaisseurs de Tzolkin reconnaîtront)
3. construire un bâtiment en payant les ressources correspondantes.

Précisons que la version découverte est plaisante, car abrégée à 13 tours, et agrémentée de bonus fort sympathiques pour les joueurs: par exemple, lorsqu’un joueur touche des ressources, tous le monde en touche aussi !

Cela dit, ce jeu n’est pas exempt de chausses-trappes que nous avons un peu survolées (action bonus de fin de partie, règle de placement des bâtiments escamotée: seuls les bâtiments du monastère (en jaune)  doivent être adjacents ENTRE EUX , autrement dit le monastère croît à  partir du bureau du monastère préimprimé, etc..). On notera aussi la présence d’un faux phare, qui, comme son nom ne l’indique pas, se construit sur une région côtière et non en plaine comme je l’avais supposé et comme son dessin l’illustrait.

Tout ce qui précède sera foison d’arguments, que mes opposants invoqueront sans vergogne pour invalider le score de cette partie. Je leur pardonnerai cette offense.

Dominique Xel François Thomas
Grand total 171 155 205 110
Tuiles 63 25 34 46
Bâtiments 45 65 60 28
Agglomérations 63 65 111 36

Table 3, dite « inaudible»

Marvin & Co ont joué à plein de petits jeux (dont un Dungeon Raiders), dont l’écho nous parviendra peut-être sur le forum.

Table 4, dite « tapage nocturne »

Les protagonistes de la table 2 sont rejoints par Alwen pour un Linq joyeux, parfois révélateur des fantaisies inavouées des uns et des autres, dont nous ne dirons pas plus ici.

Table 5, dite « baroque n’roll »

Hèlène s’adjuge un New York Kings dans l’ambiance surchauffée de Manhattan.

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Séance de VENDREDI à St-Elivet 13/07

3 Tables pour cette soirée :

Table n°1 dite « ensablée »…

… où Eliza, Michal, Xel, François-René et Laurent ont entamé Dune, une découverte pour la plupart autour de la table. C’est Laurent de la famille des Atreides qui remporte la partie.

Table n°2 dite « Pourcereax !!! heu… Pour Sauron !!! » …

… où Marvin a fait découvrir La Quete des Terres de Millieu à Sly « c’est pas possible d’être aussi vieux » et à Notre Illustre Président dit NIP. Voici ce qu’en dit Marvin :

Après un tirage au sort au suspens intense, Jibee joua Sauron, Sly et moi les « Héros ». J’optai pour « The Girl from Minas Tirith » et Sly pour le (la ?) rôdeur (rôdeuse ???) dont on ne sait pas grand chose.
Notre objectif secret était de remplir nos quêtes de départ et avancées, aussi nous les réalisâmes assez vite. Ce fut très facile pour Sly, beaucoup moins pour moi… je parvins à explorer Barad-Dûr in extremis, mais tellement in extremis que je sautai pas la fenêtre et décédai comme une merde au moment de repartir.
Jibee ne tira pas de bonne carte de Conspiration, aussi eut-il du mal à entraver notre course vers la victoire. Il nous fit tout de même quelques coups pendables, comme par exemple en tuant mon personnage au tour 2, même si je l’avais bien cherché en fait. (Famous Last Words de ce premier décès : « C’est bon j’ai encore toutes mes cartes, je peux affronter ce séide sans problème ».)
Finalement la partie fut assez peu tendue, mais j’apprécie toujours autant de jeu assez fluide une fois les nombreuses règles intégrées. Nous l’emportâmes donc, donnant raison au désormais célèbre proverbe : « A Qdtdm, c’est Sauron qui gagne, sauf quand c’est Jibee qui le joue ».

Tablen°3 dite « Allez en paix mes frères, les carottes sont cuites »…

… où Votre Humble Serviteur a inculqué les plaisirs de la vie monastique à Vincent et François dans un Ora & Labora. Le jeu commencé tardivement s’est terminé tardivement. La lutte acharnée pour être le meilleur prieur de la table s’est achevée dans une victoire dans un kleenex de VHS devant François. Vincenet fut un peu plus distancé mais fit un score honorable.

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Séance de VENDREDI à St-Elivet 29/06

2 tables pour cette séance comptant tout de même 6 joueurs :

Table n°1 dite « petits cheveaux – le retour »…

… où Sly the Ancestor, Michal et Marvin ont sorti Un monde sans fin. Je ne pense que Sly ait gagné car il concluait par « pas trop mal pour un jeu de hazard ».

Table n°2 dite « moine 2 – le retour »…

… où Xel, Jeff et Votre Humble Serviteur ont remis un Ora et Labora sur table. Cette fois-ci c’est le coté Irlande qui a été pratiqué : exit Vin, welcome Bière & Wiskey. Un peu plus de concurrence que dans la précédente session de ce jeu s’est vu sanctionnée par les scores en baisse. Néanmoins pas de changement dans l’ordre d’arrivée : VHS, Jeff, Xel.

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Séance de MARDI à Ploum’ 19/06

Alors qu’une majeure partie de particiviliens s’installaient confortablement devant un France-Suède en espérant de passer une bonne soirée, 3 irréductibles joueurs : Jeff, Xel et Votre Humble Serviteur se sont installés devant un Ora&Labora sur une …

Table unique dite « on a gagné ! » …

… en tous les cas en sérénité : le jeu n’a été sujet d’aucune compétition (en cela aurait plu à Marvin). Après une brève explication de règles de 1h, le jeu a suivi un cours paisible et agréable, ponctué de temps en temps par un râle de Jeff en général contenant un « mais non c’était à moi! » désespéré. Le jeu s’acheva tardivement sur un petite victoire de VHS devant Jeff et Xel qui, c’est décidé, la prochaine fois fera moins de bêtises.

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Séance de VENDREDI à St-Elivet 24/02

En ce 24 février nous fetions le saint Béton, que la vie lui soit légère et pas trop dure. Et sinon à Parties Civiles 2 tables :

Table n°1 dite « conserves à la fête » …

… où les Cylons ont mené la vie dure aux humains dans un Battlestar Galactica. Jeff relate :

BSG1

5 joueurs, Yann, Michal, Eliza, Christel et moi (Jeff) ont joués respectivement Starbuck, la présidente, Lee Adama, Baltar et le commandant Adama. Dès le début, l’amiral était un infâme toaster. Il a gardé profil bas, ne pourrissant qu’un seul vote. Il faut dire que ce sont surtout des cartes de déploiement qui sont sortis.

A la fin du premier tour, on en était cerné ( voir image BSG1)

Après le second saut, quand Kobol fut atteint. La présidente mit Baltar en Taule mais à cause d’une carte Qourum elle se retrouva en taule. Starbuck alla à l’infirmerie. il ne restait que les Adama père et fils. L’amiral se dévoila envoyant Lee à l’infirmerie. On se trouva donc dans la situation de l’image BSG2. Le cylon joua sa carte d’événement critique, ce qui fit arriver deux centurions dans le galactica. Dur pour les joueurs surtout que peu de temps après Lee et Starbuck, sortis de prison se battaient au commande de leur chasseur quand Starbuck se dévoila envoyant Lee à l’infirmerie.

Un des centurions fut détruit mais l’autre atteignit son objectif, détruisant le gacatica et les humains

>>> VICTOIRE CYLONNE

BSG2

Table n°2 dite « oralement laborieuse » …

… où Marvin découvrait Ora & Labora après une séance d’explication de règles par Votre Humble Serviteur accompagné de Françoise. Une partie de (re)découverte et un belle gamelle finale pour VHS qui se fourvoie sur l’emplacement d’un bâtiment et laisse Marvin emporter haut la main dans un mouchoir de poche.

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Séance de VENDREDI à St-Elivet 16/12

Une séance débutée par une sympathique surprise pour Votre Humble Serviteur sous forme d’un pot d’anniversaire à l’occasion du sien. Le pot fut d’ailleurs poursuivi d’un autre, celui offert par le centre St Elivet et son punch un tantinet traître 🙂

Et sinon 3 tables :

Table n°1 dite « no new rules »…

… avec un 7 Wonders et Franck, Jeff, Marvin, Marie-Anne, Nolwenn et Armel autour. Voici ce qu’en dit Marvin :

Après le punch on peut me faire jouer à n’importe quoi. Ce fut donc 7 Wonders.

Belle victoire de Jeff qui profite de son expérience pour mater les
débutants et quasi-débutants.

A noter : Armel est une figure notable du GN breton !

Table n°2 dite « new rules » …

… avec Ania, Françoise et Jibee autour d’un Ora & Labora. Ania joue et gagne en 25 manches.

Table n°3 dite « new rules aussi »

… avec Marcin, Michal et VHS autour d’un … Ora & Labora. Michal, sans pité ne fait aucun cadeau à ses adversaires, même à ceux qui ont leur anniversaire ce soir là, et gagne la partie.

C’est un nouveau Rosenberg, héritant conjointement des mécanismes de Le Havre et d’Agricola. Il surpasse à mon humble avis Le Havre aussi bien en mécanique (dont il est le plus proche) qu’en adhérence au thème : on ressent bien mieux la progression de la construction d’un monastère que la vie du port et de ses bestiaux qui s’y reproduisent. Agricola lui a legué l’aspect « occupation des terrains » mais cet ancêtre reste – toujours à mon humble avis – un petit cran au dessus, notamment grace à l’enorme variabilité que lui assure ses 300+ cartes…

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