Marie-Bernarde Soubirous naquit à Lourdes le 7 janvier 1844, et a affirmé être témoin de dix-huit apparitions mariales à la grotte de Massabielle entre le 11 février et le 16 juillet 1858. Devenue religieuse, elle sera canonisée en 1933.
Bernadette restait prudente pour désigner l’objet de sa vision, employant surtout, dans sa langue qui était le gascon de Bigorre, les pronoms démonstratifs « cela » ou « celle-ci ». Elle ne dira pas avoir vu la Vierge avant d’affirmer l’avoir entendue dire « Je suis l’Immaculée Conception ». Au cours d’une de ses apparitions, Bernadette a creusé le sol pour y prendre de l’eau. L’eau de cette source est rapidement réputée miraculeuse et il commence à être question de guérisons. S’en tenant à ce qu’elle avait vu et entendu, Bernadette niera avoir été témoin de guérisons ou y avoir contribué : « On m’a dit qu’il y avait eu des miracles, mais à ma connaissance, non », déclare-t-elle en septembre 1858.
Dans un contexte post-révolutionnaire de vives polémiques sur les questions religieuses, les apparitions mariales de Lourdes suscitent un engouement populaire important et croissant. La presse nationale commence à s’y intéresser. Le préfet maintient une interdiction d’accès à la grotte jusqu’en octobre 1858, tandis qu’une commission d’enquête, mise en place par l’évêque de Tarbes, en juillet 1858, se prononce en faveur de ces apparitions en 1862. L’aménagement de la grotte et la construction d’une basilique sur le rocher qui la surplombe commencent alors.
En l’espace de quelques mois, Bernadette Soubirous, alors âgée de 14 ans, est devenue une célébrité internationale, tandis que la vie dans cette bourgade des Pyrénées commence à être transformée par l’affluence de pèlerins, de curieux et de journalistes. Entre 1858 et 1866, Bernadette continue de vivre à Lourdes, où sa situation devient, cependant, de moins en moins tenable. Sans cesse sollicitée, tout en refusant de percevoir quoi que ce soit en rapport aux apparitions ou à sa célébrité, elle se pose la question d’une vie religieuse.
En 1864, suivant la recommandation de l’évêque de Nevers, elle se décide à entrer chez les sœurs de la Charité. Deux ans plus tard, alors que la construction de la basilique est en cours, Bernadette a 22 ans et quitte Lourdes pour entrer au couvent, à Nevers. Elle y mènera treize années d’une vie de « religieuse ordinaire », ponctuées de visites de nombreux évêques. Souvent malade et de santé fragile, elle s’occupe de l’infirmerie, quand elle n’y est pas soignée, et meurt d’une pneumonie à l’âge de 35 ans.
178 années plus tard, à Lannion, il y eut plus d’eau que de miracles.
Table 1, dite « Grand autel » : à Grand Austria Hotel on avait disposé sur l’autel du café, du vin, des tartes aux pommes et des strudel. Sous le décor apaisant de l’illustrateur Franz Klemens, une cène haletante vit la victoire de Dom, premier sur les objectifs de construction qui assurent sa suprématie (125). Samuel, 110, François, 106, étaient tout près, et Xel un peu plus loin (71).
Table 2, dite « Voies impénétrables » : les protagonistes de cette quête du Seigneur des anneaux (François-René, Baptiste, Neox, Steven) ont perdu sur le fil le scénario araignée. Pour eux, les voies du seigneur furent impénétrables.
Table 3, dite « Spice boys » : Fred survole cette table de Dune, où officiaient Paul, Mickaël, et Olivier B. « Mais il aurait dû gagner bien plus vite », diront les jaloux.
Table 4, dite « En quête d’existence » : à Cryptid, on vit la vie palpitante d’un cryptozoologue, un expert étudiant les cryptides, ces animaux dont l’existence formelle n’a pu être prouvée scientifiquement. Guillaume s’adjuge deux des trois parties jouées et Jack une, Frank refusant d’envisager l’irrationnel.