Un 23 juillet, un tsar (Romanov, 1645), un maréchal (Pétain, 1951) et un roi (Hassan II, 1999) disparaissaient.
Mais dans les lueurs de l’été, à Servel, rien que des joueurs égaux entre eux, et bien vivants.
Table 1, dite « Nulle et non avenue » : à la table de Sherlock Holmes Detective Conseil, la fine équipe d’enquêteurs (Dom, Thomas, François, François-René, Vincent, Elouann), et un supplétif, Nico77, se plongent dans une étrange affaire de journaux codés, à une époque ou chiffrer un message et se le partager était moins simple que dans le monde connecté d’aujourd’hui. Grâce à Thomas, qui réussit à comprendre le principe du code caché dans un de ces fameux journaux (sans toutefois déceler une astuce diabolique) et à proposer une visite providentielle, ainsi qu’à Dom, grand animateur et maître de la synthèse collective, le naufrage de cette soirée ne fut pas total. La générosité du teneur de livre, qui attribua 15 points sur 25 à une réponse partiellement bonne, fait atterrir le score collectif de l’équipe en territoire positif, les gains des questions compensant les pertes dues aux pistes supplémentaires. Pour un total strictement positif, il eut fallu porter une meilleure attention à l’environnement général de l’action.
Table 2, dite « La marche de l’empereur » : le retour de Tzolk’in – Le calendrier Maya attire Xel, Olive, Steven et Mickaël, et ce dernier prend le large grâce à des combinaisons lui accordant des actions en plus presque à chaque tour. S’ensuit un QE, avec le même vainqueur.
Table 3, dite « Régime conservateur » : avec Marco et son compère Corentin, présents mais non annoncés, Marie-Anne engage un conciliabule qui débouche sur l’inévitable Forêt mixte – joué deux fois. Suivent deux parties également de Splendor pour une soirée « no new rules ».
Table 4, dite « Tous pour un » : La nuit s’étire sans fin, les tables 1 et 2 fusionnant avec quelques pertes et fracas pour un Just one qui dut finir à peu près à cette heure-là.