Le 10 décembre est la journée internationale des droits de l’homme, en hommage à la signature de la Déclaration des droits de l’homme de 1948. C’est aussi la journée internationale des droits des animaux, pour demander l’évolution des droits de l’homme vers les droits des animaux, humains et non humains. Sa structure a été comparée par René Cassin à celle du portique d’un temple grec : une succession de considérations comparables à des marches, quatre colonnes constituées par les droits individuels, familiaux, sociaux et politiques, et un fronton unifiant l’ensemble dans une même vision de l’humanité, composé des trois derniers articles du texte.
Table 1, dite « Fleurs du bien » : tentés de faire des végétaux des sujets de droit, Xel, François, Carolin et Jack s’essaient à Living forest. Un jeu trop oublié, y compris par son possesseur qui opte sans vergogne pour un recours aux antisèches pour en expliquer les règles, aidé par François qui le seconde sur la base de sa fidèle mémoire. A ce jeu aux conditions de victoire multiples, Xel se positionne sur les flammes, Jack dans la construction, François dans la fleur de Lotus, quand Caroline tente une approche diversifiée, stratégie risquée à ce jeu. A la faveur d’une manœuvre de Xel façon « après moi le déluge », c’est François qui réussit à accumuler 12 (et même 15) fleurs au final, grillant Jacques en lui volant la tuile qui l’aurait fait gagner. Après coup, il sera établi que même sans cette aide, le sort de Jacques aurait été scellé.
Table 2, dite « Beau comme l’antique » : Younal, Steven et Julien défient Paleo. Ils triomphent à la troisième manche, un résultat de valeur pour qui connaît l’historique défavorable à ce jeu.
Table 3, dite « Eternels perdants » : Marc, Corentin et Dom disputent deux parties de Diced Veggies. Marc est plutôt aubergine, marquant bien à chaque recette grâce à une combo, Dom est plutôt carotte, se dépêchant de scorer 6 recettes ce qui met fin à la partie. A chaque fois Dom s’impose sur le fil du hachoir, et les légumes, ni humains ni animaux, se retrouvent eternels perdants, du mauvais côté de l’histoire.