Séance à (certainement) 2 tables :
Table n°1 dite « helldorado » …
… où Baptiste 1er dit « queue de cheval » a joué avec Michal à Claustrophobia. Il raconte :
Claustrophobia est un jeu de plateau avec figurines pour deux joueurs. L’action se déroule dans une Jérusalem médiévale un peu différente de celle des livres d’histoires, puisque son sous-sol est truffé de galeries envahies par des troglodytes et des démons (contrôlé par le Joueur Démon). Le Joueur Humain devra les combattre à l’aide d’un Frère Rédempteur et de deux sortes de repris de justice : le Spadassin et la Brute. Chaque personnage du joueur Humain possède un ou plusieurs talents ; de plus le Frère Rédempteur dispose d’un certain nombre de dons en fonction du scénario joué. Enfin, l’escouade humaine peut être renforcée par des cartes objets ou des cartes avantages. Le Joueur Démon, lui, pourra jouer des cartes évènements pour contrecarrer les plans de son adversaire.
Un tour se passe de la façon suivante. Le Joueur Humain lance 1D6 par personnage vivant dans son escouade, et attribue un dé à chacun d’entre eux. La valeur du dé déterminera les caractéristiques du personnage pour ce tour-ci, et notamment, pour le Frère Rédempteur, sa capacité à utiliser ou non ses dons. Il fait ensuite agir ses personnages l’un après l’autre. Ces derniers ont deux actions possibles : se déplacer (et éventuellement révéler une nouvelle tuile du plateau) et combattre, qu’ils peuvent effectuer dans l’ordre qu’ils veulent. Le Joueur Démon lance 3D6 et les place sur sa table de Destinée, qui lui permettra d’activer des pouvoirs comme piocher des cartes évènements, donner des capacités spéciales à ses troglodytes, etc. Il dépense ensuite des points de Menace pour faire entrer ses troglodytes/démons sur le plateau, puis les fait agir avec les mêmes actions que pour les humains.
Michal et moi avons joué le premier scénario deux fois (en inversant les rôles), dans lequel le Joueur Humain chercher à sortir des souterrains de la ville. Il commence sur une tuile de départ, avec une indication sur la direction d’où provient l’air frais de l’extérieur. A chaque fois qu’il explore une nouvelle tuile, c’est le Joueur Démon qui l’orientera et qui décidera ainsi de la prochaine direction du coulis d’air. Au dixième tour, la tuile est forcément celle de la sortie. Le Joueur Humain gagne si au moins deux personnages l’atteignent, le Joueur Démon gagne si tous les personnages sont tués. Nous avons tous les deux ta gagnés le scénario en tant que Joueur Démon.
Table n°2 dite « no news » …
… composée des joueurs qui n’ont pas donné de nouvelles.
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Pour discuter de cette session RDV sur le forum
Table n°1 dite « à la une »
Table n°2 dite « blitz » …
Table n°3 dite « pressée » …
Table n°4 dite « capitaliste » …

… qui regroupait donc des gens à peine sorties de leur age tendre à savoir Envel, Vincent (mais pas Vcube), Sylvain « le jeune » et Marie-Anne (pour cette dernière je ne suis pas tout à fait sûr d’ailleurs quant à la sortie). Lors des deux parties de Dominion qu’ils ont eu le plaisir de pratiquer Vincent a emporté la première et Marie-Anne la deuxième.
… regroupait le bureau « 3J » : JiBee, Jeff, Jack et qui a accueilli 

Vincent et VHS ont décidé de batailler dans le sous-sol de Nouvelle Jérusalem autour du plateau de Claustrophobia . En résumé : il s’agit d’un jeu de confrontation asymétrique. Un des joueurs dirige une équipe – souvent hétérogène – de 3 à 5 humains à travers les couloirs de l’Enfer avec un objectif spécifique à une mission du livret des règles. L’autre jouer incarne les démons et doit empêcher les humains de remplir leur objectif… Lors d’une partie les humains sont » épuisables » : une fois morts ils sont… morts. Les démons sont en contrepartie » inépuisables » : bien qu’en quantité limitée ils peuvent revenir sur plateau après avoir été éliminé (hachés menus, écrasés, explosés, etc) par l’équipe humaine.
En ce qui concerne notre affrontement, la première partie fut une revanche ratée pour VHS : ayant subi dans le passé une cuisante défaite avec les humains qui n’ont jamais trouvé de sortie des Enfers, dans cette partie j’ai dirigé les démons… qui ont n’ont pas réussi à stopper les humains de Vincent. Puisque la partie a été rapide, nous en avons fait une deuxième, où cette fois-ci c’est VHS qui a dirigé des humains dans une mission suicide, consistant à faire sauter une partie des Enfers. Après un début laborieux, un coup de chance – notamment une survie miraculeuse d’un de mes coureurs – a permis à mon équipe de s’envoyer au Ciel avec un baril de poudre pour condamner la sortie et empêcher le déferlement des hordes démoniaques sur notre Sainte Terre !!! Heum… Bon, voilà.
Le bon a priori que je gardais envers ce jeu après une première partie a été confirmé. Si l’influence du hasard est très significative – moins à cause des jets de dès que par le fait de composer le plateau en tirant des tuiles au hasard – le jeu est très ludique, fluide, dense et suffisamment court pour pouvoir faire une revanche dans la foulée d’une partie. Je comparerais le plaisir ludique à celui d’un Battlelore.