Séance de MARDI 06/09/2022 à Servel

« Voyage en Italie » avec Ingrid Bergman et George Sanders sort sur les écrans le 6 septembre 1954, récit d’un couple anglais en crise et aux caractères opposés alors qu’il séjourne en Italie pour une affaire d’héritage. 68 ans plus tard, c’est en Bretagne que nos pas nous mènent.

Table 1, dite « Crise à surmonter » : Olive invite Xel, Thomas, VHN et Jules, un nouveau venu (pas d’Italie mais presque) à une partie de Crisis. Un jeu plutôt classique de placement d’ouvriers et de conversion de ressources où tout l’art consiste à en faire assez pour ne pas sombrer collectivement et pouvoir jouer sa carte personelle. Avec les cartes Corruption on a souvent de l’énergie qui vous tombe du ciel à des conditions préférentielles, autant dire que ce n’est pas une simulation fidèle de la réalité. Thomas a usé et abusé desdites cartes (on avait été prévenus) en particulier pour priver ses adversaires de forces de travail, version ludique de la « grande démission ». En jouant au premier niveau de difficulté, on n’a pas eu de mal à maintenir à flot notre pays en crise. Thomas monopolise les moyens de production en achetant des entreprises qu’il laisse à l’arrêt, Xel peste pour une conversion ratée et contre des adversaires « qui achètent ce qu’elle voulait », Jules se spécialise dans la chimie et Dom garnit son compte en banque après avoir vérifié que 5 crédits valent 1 PV en fin de partie. Après les 7 tours de jeu, Dom l’emporte sur Thomas (120 vs. 104), avec ensuite Olive (76) puis Xel et Jules (64 et 62). La prochaine partie sera avec un niveau de difficulté relevé.

Table 2, dite « Ménage à quatre » : F-R, Nicolas-2, Julien-2 et Adélie (qui rime avec Italie) jouent en mode coopératif le niveau 3 de Harry Potter, bataille à Poudlard. Malgré quelques frayeurs, la petite troupe d’apprenties sorcières (Luna, Ginny et Hermione accompagnant Harry) triomphe des forces du mal. Allez, une bièraubeurre pour tout le monde ! Les mêmes moins Adélie continuent par un Mot Malin où il semble qu’il y ait eu plus de mots que de malins.