Séance de MARDI 24/04/2018 à St-Elivet

Le lundi de Pâques du 24 avril 1916, en pleine guerre mondiale, un groupe d’Irlandais se soulève contre le colonisateur britannique. Les Britanniques et les Irlandais loyaux à la Couronne voient cette tentative comme un mauvais coup porté aux soldats qui se battent dans les tranchées. Les Irlandais des deux camps, nationalistes et loyalistes, avaient mis une sourdine à leur différend jusqu’à la fin du conflit, et obtenu le Home rule (autonomie de l’île) par le roi Georges V avec la promesse d’un amendement concernant l’Ulster. Dès le début du conflit européen, les Irlandais se portèrent massivement volontaires dans l’armée britannique pour combattre les Allemands.

Mais quelques extrémistes du Sinn Fein nationaliste et de l’IRB (Irish Republican Brotherhood) préfèrent appliquer l’adage : « England’s difficulty is Ireland’s opportunity ». Ces hommes forment ce que l’on appellera un peu plus tard l’Irish Republican Army (IRA). Ils occupent plusieurs bâtiments stratégiques au centre de Dublin, et déploient le drapeau tricolore au-dessus de la Poste. L’un de leurs chefs, le poète Patrick Pearse, proclame aux badauds le droit du peuple irlandais à la propriété de l’Irlande et à la libre détermination de sa destinée est libre et imprescriptible.

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Les insurgés espèrent que les badauds vont se rallier à l’insurrection. Las, ils sont conspués par la foule qui commence à se rassembler devant le bâtiment. C’est l’échec. L’armée britannique amène l’artillerie lourde et bombarde consciencieusement le centre de Dublin. Après cinq jours de résistance, les insurgés capitulent sans conditions.

Cet épisode, appelé Easter rising verra une soixantaine de morts parmi les insurgés, une centaine parmi les assaillants, deux cents parmi les civils, et 3 000 arrestations. Un Conseil de guerre condamne à mort tous les meneurs. Parmi les condamnés à mort figure John MacBride dont le fils, Seán MacBride, deviendra Premier ministre de la République d’Irlande avant de fonder Amnesty International et d’obtenir pour cela le Prix Nobel de la Paix en 1974. Un certain Eamon de Valera échappe à l’exécution du fait de sa citoyenneté américaine (il est né d’un père espagnol et d’une mère irlandaise). Il deviendra le premier Président de la République d’Irlande.

102 ans après cet épisode connu en français sous le nom de Pâques sanglantes, Lannion  résonnait de bruits de bottes, colons et envahisseurs de toutes sortes s’y pressant en masse pour défricher de nouvelles terres ludiques, mais ce n’était que pour le jeu et les rires. Nous avons tant oublié les guerres que le goût de la paix nous paraît fade.

Table 1, dite « La table du fond » : relégués à la table du fond de la bibliothèque, sages comme des images, François-René et Jack explorent  878 – Les vikings – jeu qui est le premier opus de la série Birth of Europe, cousine de la série Birth of America et a pour thème les invasions vikings sur les côtes anglo-saxonnes au IXème siècle. Jack se vit king mais à cette table, c’est François-René qui fut le plus conquérant.

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Table 2, dite « Home rule »  Gérard et Dom présentent, de concert, John company – un opus de Cole Wehrle. Ce thésard passionné d’histoire et de littérature imagine ici l’empire britannique des Indes. On y fait du commerce, des batailles, et surtout, on y gère la compagnie des Indes. Compagnie qu’il faut faire prospérer, en y jouant les différents rôles de management, sans oublier son propre intérêt.

John Company

Un jeu aux mécanismes plutôt complexes, qui a l’air de se le jouer court avec ses six tours, mais qui nous emmenera au-delà de minuit et à l’autre bout de l’ennui. C’est Gérard (17) qui l’emporta devant Dom (15). Xel (11) et votre serviteur (10) ont admiré leurs coups d’éclat.

Table 3, dite « Land and freedom » : à cette table de Libertalia, on notera la défaite surprise de Baptiste. Cédric, Julien-2 furent également les victimes de Cécile.

Table 4, dite « Rébarbative » : une interminable partie de Projet Gaïa rassembla, quelque part sur la terre, Tristan, Quentin, Nicolas II, et enfin Neox. Le vainqueur était assurément barbu (et, me souffle-t-on dans l’oreillette, jupitérien).

Waka Waka

Table 5, dite « Ensorcellée » : à Waka Waka c’est l’Afrique qu’explorent Thomas, Guillaume, Jacques-2 et Maïwenn.
En Swahili, « Waka waka » signifie « Fais-le ! ». Un jeu où vous incarnez des marchands d’un village africain. Depuis des terres lointaines vous parviennent des fruits, des peaux, du sel, du thé, du tissu et des bijoux. Le Sorcier vous donne des commandes que vous devez honorer, en rassemblant des marchandises, avec l’aide des autres villageois. C’est Thomas qui se pare de la coiffe de chef de village.

Table 6, dite « Insurgée » :  à Bandido François-René, Jacques-2 et Maïwenn engrangent une victoire sans foi ni loi, mais ô combien méritée.

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Séance de VENDREDI 25/08/2017 à Ti Koad

En 1957, le scientifique anglais John Yudkin affirma dans un article du Lancet que le sucre, plus que les graisses, posait un problème de santé publique par les maladies qu’il induisait. En 1972 il résumait ses affirmations dans le livre Pure, White and Deadly. Ses thèses furent combattues par l’industrie agro-alimentaire et ne sont revenues que récemment sur le devant de la scène (au point que certains pensent que le sucre provoque des comportements addictifs). 60 ans plus tard, les visiteurs à Ti-Koad y consommèrent (avec modération) quelques sucreries.

Table 1, dite « Mars » : cela repart vers la planète rouge avec Christophe, Bruno et Mickaël qui inaugurent un nouveau plateau (Elysium) pour Terraforming Mars. Mickaël, l’homme qui plantait des arbres, l’emporte devant Christophe et Bruno.

Table 2, dite « Bounty » : est-ce un paradis, l’île aux pirates de Libertalia ? C’est ce que partent voir Neox, Hélène-maintenant-lannionaise, Xel, F-R et VHN. Xel prend un départ canon dans la première manche (44 points) mais baisse ensuite de rythme ; après les trois campagnes, c’est VHN qui finit en tête malgré ses voisins « bienveillants » (F-R et Neox).

Toujours dans le thème marin, les mêmes se plongent dans Deep Sea Adventure  : grâce à une belle troisième manche, Neox-qui-garde-la-tête-froide-même-sous-l’eau gagne la partie. Xel, pour sa part, a été victime de l’ivresse des profondeurs.

Table 3, dite « M&Ms » : les figurines multicolores de Mechs vs. Minions sont d’excellente qualité et ne sont pas connues pour fondre dans la main. Paul propose leur dose de plastique à Thomas, Frank et Nicolas-2. Ils enchaînent le tuto puis le 3e scénario, qui fait entrer un jeu un boss massif dont ils ont eu la peau épaisse.

Les restants se retrouvent pour la friandise finale, Codenames (dont le plaisir ludique et les éclats de rire sont limite addictifs) avec les Bleus Xel, Paul et VHN et les Rouges Thomas, Christophe, F-R et N2. Les 3 manches seront disputées et se termineront sur le fil du rasoir. Dans la première, l’ouverture de F-R par Mer 4 (Eau, Baleine, Plage et Fond -et non pas Pirate-) donne à son équipe une avance que les adversaires ne parviennent pas à rattraper. Malgré leur choix dès le début de la seconde manche de Nuit pour Vol 2 (c’était Aile et Mouche, mais pas Dragon ??), les Bleus menés par Xel égalisent de justesse avec entre autres un bien vu Randonnée 3 (Marche, Guide, Croix) tandis que les Rouges tâtonnent pour décider si Cadre ou Docteur répondent à Enrichi 3. Dans la manche décisive, VHN réalise en prononçant Philippe Candeloro 3 (pour Glace, Chef et Porte) qu’il patinait en solo, et donc n’avait pas de partenaire à porter ! Jouant le tout pour le tout, il tente dans le dernier tour un Automobile 4 (pour Porte, Club, Volant et Casse). Las ! il restait aussi Coffre et Route que le maître-espion Rouge avait pris soin de garder jusqu’au bout. Nous nous séparâmes donc sur un 21.

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Séance de VENDREDI 17/03/2017 à St-Elivet

Le 17 mars 1808, Napoléon 1er créait les palmes académiques, et faisait du baccalauréat un grade d’État qui sanctionne la fin des études secondaires et donne accès aux études supérieures. D’origine médiévale, le baccalauréat (de baccalarius« apprenti chevalier », et laureatus, « couronné de lauriers ») était jusque-là le premier grade de l’Université de Paris, avant la maîtrise et le doctorat. Le nouveau baccalauréat comporte cinq disciplines : lettres, sciences, droit, théologie et médecine. La première session, avec seulement des épreuves orales, se déroule en 1809 avec 31 candidats, tous des garçons de seize ans (la première bachelière sera une institutrice de 36 ans, en 1861). En 1881, la composition latine sera remplacée par une « composition française sur un sujet de littérature ou d’histoire », marquant la fin de la primauté du latin.

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209 ans après, à St-Elivet, beaucoup de copies furent livrées, de valeurs très inégales, et tous n’avaient pas suivi les mêmes filières. Il faut dire aussi, St-Patrick oblige, que plusieurs des impétrants semblaient influencés par le houblon et ses dérivées multiples (et je ne parle pas ici de mathématiques). Passons maintenant à la correction !

Table 1, dite « Section magiciens » : à cette table de Trickerion: Legends of illusion, un professeur diplômé (Julien, détenteur du jeu), et trois débutants, Tristan, Mickaël, Christophe, sapés comme jamais pour éblouir les foules avec leurs merveilleux tours. La valeur n’attendant pas le nombre des années, c’est Tristan qui conquiert le précieux sésame avec un score voisin de 100, ponctué par un dernier tour extraordinaire dont on parlera encore longtemps dans les chaumières et qui justifie amplement sa mention Très bien.

Table 2, dite « Récréative » : Une table courte comme une copie blanche rassemble Jérôme et Axel dans l’univers de Smash Up, autant dire une bonne baston dans la cour de récré. Pourtant, le plus gringalet des deux l’a emporté…

Table 3, dite « Composition d’histoire » : Une table de Signe des anciens rassemble Neox, François-René, Marion, Xandra et Baptiste. Ce dernier en ressort lauréat, la tête du bon élève en prime.

Table 4, dite « Section latinistes » : Au cœur du  quartier latin de St-Elivet (vous l’avez reconnu, il se caractérise par sa bibliothèque quasiment universitaire), Jeff et Jack déclinent leur Via Nebula. Tempora si fuerint nubila, solus eris, méditaient-ils en silence. C’est Jeff qui sortit la première tête des nuages, par la courte de marge de 22 à 20.

Table 5, dite « Fatal oral » : Après de multiples tergiversations sur le choix du sujet, Xel, Votre Humble Narrateur, Michal et Armand se retrouvent autour de la table moyennageuse de Fief. Un jeu où l’on peut gagner soit en solo, soit en couple, après une alliance scellée en bonne et due forme par un échange d’alliances. J’avais bien senti que Michal, installé dès le départ dans le fief attenant au mien, me convoitait. Quand, minaudant, il fit sa proposition, j’étais déjà un beau parti, portant couronne et mître dans le même temps, et l’affaire fut conclue sans hésitation. Nous cavalions vers la victoire, avec 4 titres qui nous la donneraient à coup sûr au décompte de fin de tour. En face, on s’épiait, on s’observait, on tergiversait, mais Armand, lancé vers le grand espace laissé libre au sud-est de la carte, semblait regarder avec dédain le trousseau de sa voisinne. Pourtant, le temps pressait et il fallait bien faire quelque chose. Ils tentèrent donc une approche combinée, mais sans y croire. Quand Xel attaqua mes positions, je mis un point d’honneur à n’être point capturé, utilisant un passage secret. Au tour d’Armand de jouer, le dernier coup de la partie pensait-on, et lui aussi. Mais il avait en mains une carte assassin, carte qui ne nécessitait pas d’être dans le même fief pour frapper, comme il l’avait cru. Bientôt, il en usa. Bientôt, ce fut ma perte: un roi occis, un diocèse en miettes, une forteresse assiégée, une épouse envolée. Pourtant le passage secret m’aurait protégé, mais je ne l’avais plus, persuadé que j’étais, comme nous l’étions tous, qu’il n’y avait aucune botte secrète dans la main d’Armand ! Michal ne respecta aucune des couleurs du deuil, convola illico avec Armand, et en deux coups de cuiller à pot l’affaire était faite.

KharnageTable 6, dite « Section décibels » : Jeu d’affrontement d’armées médiévales-fantastiques, ponctué de « Kharnage !!! » et de « YEAH!!! », Kharnage a pour but d’accumuler le plus de points de domination en détruisant le plus d’unités ennemies. Autant le dire, un jeu totalement inadapté au recueillement qui sied à une bibliothèque. Jacques fut l’élève le plus bruyant (15 dB), mais Jeff (15 dB aussi, mais un octave en dessous), et Axel ne furent pas en reste. Seul Jérôme (3) resta dans le ton de la bienséance. Merci à lui, nous étions leurs voisins.

Table 7, dite « Thème libre » :  François-René, Neox et Baptiste enchaînent sur une partie de Libertalia.  Le plus sportif des trois s’adjuge cette partie.

Table 8, dite « Composition française » : à la table de Codenames nous retrouvons chez les Rouges Jérôme, votre modeste narrateur, Xel, et chez les Bleus Tristan, François-René, Axel, puis Nourdine, pour une partie disputée en trois manches  gagnantes:

  • 1-0 pour les Rouges alors que les Bleus se prennent les pieds dans une Echelle assassine (l’indice étant Hauteur).
  • 1-1 : égalisation des Bleus dans une manche où les Rouges ont fait assaut d’associations multiples avec Chambre 3 (Noir, Table, Porte) et Panama 2 (Coffre, Plage), tandis que les Bleus allaient à l’essentiel avec un Branlette 3 (Huile, Pouce, Bout) dont on vous laissera deviner l’auteur.
  • 2-1: les Rouges font un sans-faute absolu, dans un parcours ponctué notamment par un habile cognassier (Arbre, Pire).
  • 3-1: L’heure est passée depuis longtemps pour Axel, mais les Bleus font durer infiniment le plaisir à leur détriment, butant notamment sur le pourtant subtil Information 3 (Tuyau, Disque, Signe), tandis que les Rouges, déroulant leur partition sans mollir à coups de mots en 2, finissent par s’imposer par défaut.

Table 9, dite « Cours privé » : dans l’espace privé de la cuisine, Sylvain donnait un cours tout aussi privé de JdR que ses élèves ont semblé grandement apprécier. Peut-être en saura-t-on plus sur le forum…

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Séance de MARDI 22/09/2015 à St Elivet

Séance rapportée par Dom aka << celui qui a le pseudo ‘Bonjour’ >> :

En guise d’accueil, nous tenterons sans succès de résoudre le mystère « mais où sont passées les couturières ? » avec pour tout indice un jean ensanglanté abandonné.

 La Table 1 choisit Zombicide auquel s’attellent Hélène, Baptiste, Neox, Yann et F-R. Des rumeurs –que le Forum pourra démentir- suggèrent que Neox et Hélène se sont échappés, laissant les autres à leur triste sort.

 La Table 2 accueille Jean-Yves qui a découvert l’association au Forum éponyme. Flanqué de Xel, Jérôme, David, Thomas et VHN, le groupe se lance dans un Libertalia qui tient ses promesses de coups bas. A ce petit jeu, c’est le pirate le plus barbu (Jérôme) qui prend le large. Pour se remettre de ses émotions, le groupe sort un Dixit qui voit la victoire, d’un court museau de lapin, du conteur le plus chevelu (David). Avec des joueurs en moins (les plus raisonnables étant partis se coucher) et en plus (F-R réchappé de la fosse aux zombies), il y eut encore quelques rounds de Non Merci et de l’inévitable For Sale (dont c’était là le dernier match de préparation avant le fameux Festival Scorfel, dans moins d’une semaine qu’on se le dise !)

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Séance de MARDI à St Elivet 27/05

Deux tables racontées par Xel

 

Caylus : avec Calamity Xel et les Dalton (Grégoire, David, Jonathan et Thomas) :
les quatre bandits ont braqué CX a quatre reprises et point de château à 25 PV…
Inutile de préciser qui l’a emporté…
Pour une fois, Thomas ne termine pas dernier !! *&gt;:) Démon
Libertalia : les mêmes sans David
Peu d’intéractions notables…
Seul fait notable : Grégoire termine dernier *&gt;:) Démon
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Séance de VENDREDI à St Elivet 30/05

Trois tables extrêmement belliqueuses ce soir là:

Table N°1 dite « le cubisme c’est la vie »…

…où Grégoire, Thomas, Xel et François se sont affrontés via des armées de petits cubes dans un Naissance et Apogée des Empires qui semblait loin d’être fini lors de mon départ. Notons cette explication de règle savoureuse de Xel : « le caca c’est à usage unique ».

Table N°2 dite « pièce de huit! pièce de huit! »…

…où j’expliquai les règles de Libertalia à Audrey, Virginie et deux nouvelles recrues pendant que Jonathan supervisait le tout en débouchant quelques bouteilles. Nous nous sommes donc battus par le biais de nos decks d’équipage, prouvant ainsi notre évolution darwinienne par rapport à la table N°1. Au final Jonathan et moi finissons 1er ex-aequo avec 76pts, talonnés par la collègue de Virginie avec 71pts. Viennent ensuite la seconde des nouvelles recrues avec 67pts, Virginie avec 59pts et Audrey, dépouillée par les mendiants, avec 39pts.

Je quittai ensuite mes compagnons qui enchainèrent avec un Level Up.

Table N°3 dite « Ralliez-vous à mon Kemet blanc »…

…où Jérome, Sly The Old, Marvin, Michal et Dario ont rappelé à tous que les vraies batailles se livrent à l’aide  de figurines dans une partie de Kemet où chacun semblait avoir trouvé son compte : cité, bestiole bizarre, et D4 gonflés aux OGM. Rien d’anormal, donc.

Découverte de Kemet pour Jérôme (propriétaire du jeu), MKS, Sly le Vieux, Dario (qui avait fait une partie) et moi-même (Marvin).
C’est un jeu intéressant, basé sur de la baston où, je cite les règles, « l’attentisme n’est pas une stratégie gagnante ».
Au final, après quelques erreurs au démarrage, Sly le Vieux nous roule dessus, seul MKS a été en mesure de lui disputer la victoire. Sly a rassemblé quelques pouvoirs très intéressants et en a fait bon usage. Je ne peux pas en dire autant… Je termine troisième après un mini-rush au dernier tour, en piétinant Dario qui termine quatrième, d’un cheveu devant Jérôme.
Je rejouerai peut-être à ce jeu, mais c’est quand même très agressif pour un joueur pacifiste comme moi…

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Séance de VENDREDI à St-Elivet 27/09

Une séance de Parties Civiles, c’est deux soirées d’occupées : une pour jouer, une pour lire les CR.

Et comme pas moins de 16 joueurs étaient présents, et que 7 jeux différents (un record ?) ont été pratiqués ce soir, c’est un CR plus qu’exhaustif que nous vous proposons.

Table n°1, dite « Lettre from Buhulien », racontée par François (de Buhulien), autour de la récente acquisition de Sly « Le Jeune » : Lettres de Whitechapel :

Le 27 septembre 1998, le moteur de recherche Google voyait officiellement le jour. Ce nom a pour origine le terme mathématique googol (gogol en français), qui désigne 10100. Le nombre 10gogol (un gogolplex) dont vient le nom du Quartier général de Google, frappe l’imagination: il serait impossible de l’écrire sur papier car il contient plus de chiffres qu’il y a d’atomes dans l’univers visible. Un symbole de la mission de Google: « organiser les informations à l’échelle mondiale dans le but de les rendre accessibles et utiles à tous ».

C’est exactement 15 ans après que Sylvain le jeune, Ania, Gwen, Jérôme, Michal, Julien, et VHS prennent la direction de Londres à l’époque de la révolution industrielle. Plus précisément, à Whitechapel, dans l’East End, l’un des quartiers les plus pauvres, où œuvraient toutes les victimes de Jack l’Éventreur. Un puissant moteur de recherche eut été bien utile à la police métropolitaine de Londres, qui n’a en effet jamais mis la main sur le meurtrier, ni même sur un suspect crédible…

A ce jeu, il y donc a un meurtrier, et cinq enquêteurs de police. Après un placement initial (lieux des 5 meurtres avérés, forces de police), à chaque nuit, Jack révèle l’emplacement du meurtre (il peut différer cette décision mais il laisse alors plus de temps aux policiers pour s’organiser), puis se déplace secrètement dans le but de rejoindre sa cachette, également secrète. Les enquêteurs doivent le pister à travers le dédale des ruelles londoniennes, et peuvent l’interroger sur son parcours lorsqu’ils passent à proximité de lieux qu’ils suspectent avoir été traversés.

Avec ses ruelles sombres, sa promiscuité, sa foule interlope, son air malsain chargé de maladies et son brouillard issu des usines de la révolution industrielle, l’Est End, réceptacle de la misère dans une capitale tentaculaire, n’est-il pas l’endroit parfait pour finir sa semaine ? Mieux vaut pourtant ne pas y traîner trop: les victimes sont d’abord égorgées. Deux d’entre elles sont éventrées: l’assassin a ouvert l’abdomen et en a retiré les viscères pour les disposer sur l’épaule des cadavres ou les emporter. Un morceau de rein humain fut même envoyé au chef des Comités de vigilance de Whitechapel, accompagné d’une lettre, mais nous y reviendrons. Une victime, dite « Long Liz », fut égorgée, mais non éviscérée : le corps était encore chaud lors de sa découverte et il est probable que son assassin n’ait eu le temps de terminer sa besogne. A l’opposé, la dernière victime, dite Ginger, fut assassinée dans la chambre qu’elle louait, et totalement éviscérée. Ses organes étaient éparpillés dans toute la pièce, l’assassin ayant eu, cette fois, tout le temps d’agir.

Nous étions donc sept, et Sylvain fit office de maître de cérémonie pour la première partie. Je fus désigné comme meurtrier, et choisis ma cachette dans un quartier central, le lieu du meurtre (celui de « Polly », 31 août 1888), étant au nord. Je pris un peu d’avance sur mes poursuivants grâce à quelques pouvoirs fort utiles mais les enquêteurs étaient sur mes talons. Sentant la maréchaussée à mes trousses au bout d’une dizaine d’heures, je pensais rejoindre ma cachette en catimini, mais Julien énonça opportunément une règle inédite qui me privait de mes pouvoirs d’accélération, ce qui m’obligea à raccourcir mon pas. Je fus alors arrêté sur le champ par une enquêtrice débutante qui mit fin à ma fuite et épargna donc 4 précieuses vies. Pour la deuxième partie, Gwen hérita du rôle, Sylvain rejoignit les enquêteurs, alors que je pris le titre officieux de conseil du meurtrier, offrant le rempart illusoire de la loi à une horde de forces de l’ordre aux abois. Pour la première nuit, l’équipe fut conduite par des chefs si incompétents qu’elle se perdit en conjectures sur les passages du meurtrier. Celui-ci vint donc à bout de son premier forfait, cependant il laissa un indice sur sa dernière position connue avant sa cachette. Malgré l’extrême désorganisation d’une maréchaussée aux abois, cette information essentielle permit sa capture tout à la fin de la deuxième nuit (« Dark Anny », 8 septembre 1888), qui fut donc également la seconde. Il n’eut pas le loisir de connaître la troisième nuit, émaillée de deux meurtres (l’attribution à Mr. Jack du premier étant sujette à caution selon les spécialistes), ni d’utiliser le pouvoir spécial des lettres (présumées écrites par l’assassin, même si la controverse fait rage sur leur véracité). L’une d’elle, intitulée « From hell », était fort brève: « Monsieur, je vous envoie une moitié du rein que j’ai pris à une femme que j’ai gardée pour vous l’autre, je l’ai frite et mangée c’était très bon. Je pourrais vous envoyer le couteau ensanglanté qui l’a pris si seulement vous attendez encore un peu. Signé Attrapez-moi quand vous pouvez monsieur Lusk. »

Table n°2 dite « L’Amérique, je veux l’avoir et je l’aurai », racontée par Baptiste « nuque pas si longue » :

Une table Les Aventuriers du Rail, dans laquelle Grégoire, Jeff, Xel, David et moi-même nous affrontâmes pour la conquête des USA. L’axe nord-sud entre les Rocheuses et les Appalaches fut rapidement saturé, Jeff David et moi nous battant farouchement pour ces petites liaisons.

Xel entreprenait pour sa part une traversée d’est en ouest. Quand à Grégoire, il tentait d’avoir la totalité de la pioche dans sa main. Comprenant qu’il n’y arriverait pas, il abattit alors son jeu, construisant les grandes liaisons du sud de la carte et s’envolant ainsi en tête des scores. David et Jeff bataillaient pour la seconde place, ayant bien développé leurs réseaux, talonnés par Xel. Limité par de
courtes liaisons, j’étais loin derrière et tentait alors de relier l’ensemble de mes routes dans l’espoir d’obtenir les dix points revenant au réseau le plus long. Mais c’était sans compter sur Grégoire, lui
aussi concourant pour le titre de l’homme à la plus longue route, qui précipita la fin de partie. Partie qu’il emporta haut la main, suivi par David qui pour une initiation au jeu obtint une belle seconde place. Xel et moi-même finîmes groupés. Jeff ferma la marche, pénalisé par un objectif à plus de vingt points non réalisé.

Table n°2bis, par le même narrateur :

nous enchainâmes ensuite avec un Libertalia. Après une rapide explication des règles pour les novices Jeff et Grégoire, et un rafraichissement pour David, nous nous mîmes joyeusement sur la figure à coup de canonniers, de sabres aiguisés, et d’espagnols officiers. Le jeu se déroulant en trois campagnes, Grégoire s’empressa de prendre la tête à l’issue de la première. Un peu trop fébrile dans le partage du butin, il ne pu tenir sa position lors de la seconde campagne, me laissant le champ libre pour lui ravir sa place. La dernière campagne fut brutale, violente, meurtrière, et sans pitié. Du chaos émergèrent deux capitaines premiers ex-æquo : Xel et moi-même, suivis par nos confrères dans un ordre dont le désordre de l’abordage m’empêche de me souvenir.

Table n°3, dite « Démocratique », racontée par Notre Président en Personne.

La troisième table nous permit de découvrir Tzolk’in – Le calendrier maya, acquisition de l’asso après un vote démocratique.

Mes craintes sur ce jeu portaient sur son accessibilité et sa durée. Je fus rassuré sur ces deux points car nous finîmes peu après 23:00 règles comprises, à 4 joueurs ce qui est la config maximale. Les cobayes : Laurent, Jack, Thomas et Votre Ineffable Président.
Le jeu est efficace et les tours rapides. Les règles sont limpides. La mécanique avec les roues imbriquées est originale de même que les actions se déclenchant à la reprise d’ouvriers et non à la pose. Le jeu plaira également à nos joueurs les moins belliqueux car l’interaction est assez limitée. Pour cette partie de découverte, VIP finit d’une courte tête devant Thomas.

Table n°3bis dite « Personne ne sait écrire le nom de ce jeu », par le même Président :

Cette partie fut suivie d’une partie d’Amitys avec Gregoire et Xel remplaçant Jak et Laurent. Gregminatore gagne une fois de plus en nous laissant espérer qu’on remonterait. Merci a lui.

A ce stade de la soirée, il semble que tout semblant d’organisation avait foutu le camp, et les joueurs restants se sont mélangés sur deux nouvelles tables.

Tables n°72 et 73, que François nous relate avec une inhabituelle concision :

Cette nuit sanglante de la Saint-Vincent vit également Gwen, très en verve, dézinguer la compagnie des nains pour prendre la tête à Saboteur, et Thomas, en Nosfératu convaincant sous la férule d’un Igor-JiBee inquiétant, mordre à belle dents ses victimes, les dérouter en se faisant passer pour un de leurs congénères, avant d’être frappé du pieu ancestral. Une soirée à rallonge donc, pour cette nuit de pleine lune. Mais comme le dit le dicton: à la Saint-Vincent, prends ton temps.

Les mêmes parties, narrées cette fois par Baptiste :

La soirée entrant dans sa deuxième partie, je lançai une partie de Saboteur avec François, Jérôme et Gwen pour patienter en attendant la fin de la table d’Amyitis. La première manche fut placée sous le signe du sabotage le plus total. Quelle ne fut pas notre surprise, en atteignant la pépite, de nous rendre compte que nous étions tous de bons mineurs. Comme quoi, coopérer n’est pas la chose la plus aisée. La deuxième manche révéla également la si convoitée caillasse, malgré les efforts remarquables du saboteur François qui éboula et se répara sans sourciller. La troisième et dernière manche de la partie fut la plus
rapide, VHS n’ayant pour saboter ses adversaires qu’une pauvre carte éboulement. Au décompte des points, c’est Gwen qui grimpa sur la première marche du podium.

La nuit était tombée depuis longtemps, et malgré sa fatigue, Notre Illustre Président accepta de se transformer une fois de plus en ignoble Igor dans une partie de Nosferatu à laquelle participèrent les vétérans chasseurs François, Grégoire, Thomas, Xel et moi. Nous fûmes secondés dans notre tâche par deux débutants : Jérôme et Gwen. Les suspicions à propos de l’identité du vampire fusèrent de tous côtés, Grégoire établissant ses fameuses listes grâce à son désormais célèbre strabisme d’ancienne chauve-souris. Tous les rituels furent utilisés, et l’étau se resserrant, quoi de plus naturel que de prouver qu’à ce jeu, quels que soient nos soupçons, il faut toujours pieuter Thomas. Sage décision, qui mit fin à ses vils agissements draculesques.

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Séance de MARDI à St-Elivet 30/04 (et aussi mardi 23/04)

2 tables pour cette séance :

Table n°1 dite « no future for humain kind » …

… racontée par François :

Xel, Michal, Franck, Christophe (transfuge de Pérégrine) et VHS embarquent à bord des vaisseaux de BattleStar Galactica. Le bureau se constitue, Franck étant un président politique, Michal un amiral chef militaire, VHS un CAG pilote d’élite (Apollo pour les connaisseurs), Xel pilote de chasse et Christophe support aux opérations. La première distribution donne une partie fluide, l’activité cylon est imperceptible, les humains progressent lentement mais sûrement dans un ciel sans nuage…jusqu’à un coup de tonnerre: le meurtre de l’amiral orchestré par le président. Pour justifier son assaut aussi soudain que brutal, Franck évoque des choix suspects de l’amiral qui ont fait dangereusement baisser la jauge d’essence. L’argument est léger, et si Michal pouvait apparaître suspect par ses choix, les humains aux alentours conviennent que la marche de la mise en examen au meutre de sang froid était un peu haute. De ce fait, le président en vient à mettre le doute sur sa véritable nature humaine, et c’est dans ce climat de suspicion généralisée que s’engage la deuxième manche, alors que les humains ont atteint le niveau 5 sur l’échelle de saut. Si, comme on pouvait le supposer jusqu’à l’attaque de Brutus, seuls des humains étaient en lice, il fallait donc penser que les deux cylons allaient arriver. A moins qu’un silencieux ne soit resté dans l’ombre… Certaines attitudes laissèrent rapidement deviner que Christophe et moi avions changé de costume à la mi-temps. Et donc que c’est bien César qu’avait assassiné Brutus. La confiance était brisée entre les humains, et nous conjuguâmes nos efforts pour porter le coup fatal avec une crise majeure, faisant notamment reculer les humains de deux crans sur l’échelle de saut. Le pilote intrépide n’était plus là pour venir au secours des humains, le fuel filait à toute vitesse, mais le coup fatal fut porté par le moral, qui descendit à 0 sur le gong de 1 heure après un dernier vote désespéré  scellant la fin de Brutus. Comme le dit la légende, on dit qu’il s’écria en mourant: « Vertu, tu n’es qu’un nom ».

Table n°2 dite « moins bavarde » …

… racontée par personne, avec Jérome&Co autour de Sky Traders.

Sinon, un petit oubli : ça a joué le mardi d’avant le 23 avril ! Baptiste 1er dit « un poil winner » raconte :

  • Jibee, Cécile, Jérôme, François-René, Jeff, Xel, Michal et moi-même
  • nous avons commencé par une partie de The Resistance dans laquelle les espions (F-R, Jérôme et moi) avons brillamment saboté les plans des résistants
  • il y eut ensuite une table de Libertalia avec Jibee, F-R, Jérôme et moi. Le président remporte la partie, je finis 2ème, F-R 3ème et Jérôme ferme la marche.
  • pendant ce temps les autres ont joué à Augustus mais j’ignore les scores

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Séance de MARDI à St-Elivet 26/03

Une modeste séance de mardi avec une …

Table unique racontée par Baptiste 1er dit « crinière en sur-charge pondérale » :

-nous étions 5 : Xel, Michal, Jérôme, un ami de Jérôme du nom de Julien, et moi.
-après une partie d’Augustus remportée par Xel, nous avons fait une partie de Libertalia remportée par moi-même.

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Séance de VENDREDI à St-Elivet 01/03

3 tables à PC ce soir là :

Table n°1 dite « Don Corléone » …

… qui réunit Rebecca, Jérôme et Baptiste 1er auto-nommé « à la tonsure revendicative » autour de New York Kings. Baptiste raconte :

New York, de nos jours.
Vito Gambini, Capo des Capi, vient de s’éteindre. Les Cinq Familles vont devoir se réunir et mettre quelqu’un sur le trône laissé vacant. Mais qui ? Qui parmi les Affranchis, mafieux adoubés par Gambini lui-même, est digne de cette place ? Doit-on privilégier l’expérience des plus anciens ? L’innovation des plus jeunes ? Ou verra-t-on pour la première fois une femme au pouvoir ? Basta ! Laissons-leur la nuit pour nous prouver leur valeur !
New York Kings est un jeu dans lequel chaque joueur va incarner un Affranchi qui devra effectuer des missions à travers Manhattan afin d’amasser le plus d’argent possible. Pour ce faire, il pourra recruter des hommes de main, utiliser les nombreuses ressources mafieuses de la ville, et éliminer ses rivaux. Mais attention, la police veille !
Ce jeu, influencé par le poker, mélange à la fois des cartes (l’As étant l’Affranchi, les hommes de main allant eux du Roi au 9) et des D6 (numérotés du 9 à l’As). Toutes les confrontations sont résolues en effectuant la meilleure combinaison de 5 valeurs entre les personnages impliqués et les dés lancés.
Julia (Rebecca), Tony (Jérôme) et Lino (Baptiste « à la tonsure revendicative ») sont les trois Affranchis en course pour la place de Parrain. Dès le début de la nuit, Julia s’en alla à Union City recruter Fat Max, Roi de Trèfle. Elle étendit ensuite rapidement son réseau en payant rubis sur l’ongle le vieux Jack, Roi de Carreau. De son côté, Tony fit appel au très distingué The Lord, Roi de Pique, avant de faire appel à l’un des membres de sa famille, le jeune Angelo, Valet de Coeur. Pendant ce temps, dans le Queens, Lino bataillait ferme avec Snow Black, Roi de Coeur. Il finit par convaincre le gangster, qui lui offrit le numéro de Venom Ivy, Dame de Coeur, laquelle ne rechigna pas à se joindre à la fête. Les missions s’enchainèrent, non sans risques pour Lino et Snow Black, coincés par la police alors qu’ils convoyaient un stock d’armes. Le NYPD avait été rencardé par Tony, mais ce dernier avait omis de préciser la dangerosité des malfrats. Peu désireux de passer la nuit en garde à vue, les deux hommes prirent la fuite en laissant un officier sur le carreau. A présent sur les dents, la police renforça ses patrouilles, allant même jusqu’à boucler la zone autour de Financial, dont l’héliport abritait quelques pilotes peu regardant sur les intentions de leurs passagers…ou la nature des marchandises qu’ils transportaient.
Julia semblait voler vers la victoire, cette nuit-là. Décidé à jouer le tout pour le tout car n’ayant plus aucune ressource financière, Tony envoya son neveu Angelo à Greenwich Village avec une mission bien précise : faire tomber sa rivale par tous les moyens. Mais la belle ne se laissa pas faire, et la poudre parla rapidement dans le bar où elle se trouvait. Mortellement blessé, et emporté par la fougue de sa jeunesse, Angelo dégoupilla sa grenade, faisant exploser l’établissement.
Rebecca ayant perdu son Affranchi, elle fut éliminée et la partie prit fin par commodité. Nul ne sait qui les Cinq Familles choisirent finalement pour devenir le nouveau roi de la pègre New Yorkaise…

Table n°2 dite « Barbe Noire » …
… réunissant François, Baptiste 2nd dit « à la tonsure auto-proclamée », Hélène, Xel et Michal autour des jeux de pirates racontés par François :

Le Capitaine Swallow rêvait d’empocher un gros magot en vue d’une retraite sur une île reculée à Libertalia, colonie pirate utopique et seul endroit au monde où les vieux pirates peuvent enfin profiter de leur richesse accumulée sans craindre le gibet ou le sabre. Mais il doit compter sur la rude concurrence des capitaines Stanley Rackum, Dirk Chivers et consorts, ennemis cupides et cruels. A chaque tour, on choisit une carte personnage ayant un certain rang, puis on classe les personnages selon leurs rangs et on applique les effets du jour. Enfin, on pille un bateau selon l’ordre inverse. Vient ensuite la phase de nuit et les surprises de l’aube.La variété des cartes personnage fait l’attrait de ce jeu…..ainsi que son aspect chaotique ! Michel et François se tirent la bourre, avec 63 et 64 PV, mais sont coiffés au poteau par Baptiste et sa (pourtant) courte crinière, qui finit à 69. Héléne et Xel ont vu le butin leur passer sous le nez plus souvent qu’à leur tour et terminent sous les 50.

En guise de digestif, Xel remporte ensuite une petite partie de Skulls & Roses où ne restent que trois participants à la fin, les crânes ayant proliféré plus que de raison. A la veille de la fête des grands-mères, les roses auraient été plus comme il faut.

Table n°3 dite « Attila le Hun » …

… réunissant Julien, Laurent, Sly born berfore BigBang et JiBee autour de Clash of Cultures. Pas de CR connu à ce jour.

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