Séance de VENDREDI 11/09/2015 à Ti Koad

14 ans exactement après les attentats du 11 septembre 2001 à Manhattan, un événement dont même notre plus jeune lecteur se souvient, les parti-civiliens font le tour de leur mémoire.

reflecting pool at 9-11 ground zero

Table 1, dite « Memories »

En prévision de quelque festival prochainement dans le Trégor, Dominique initie David, Xel, Thomas, Jérôme et VHS à l’univers immobilier de For sale. Ce jeu connaît deux séquences. Tout d’abord, des maisons de prix divers sont mises aux enchères avec un mécanisme vicieux (tout enchérisseur paie la moitié de sa mise, sauf le dernier qui paie plein pot). Puis, dans un second temps, des acheteurs se présentent avec leurs carnets de chèques. Les maisons achetées précédemment sont alors cédées (la plus belle maison hérite bien sûr du plus gros chèque). Les deux manches se jouent chacune en plusieurs phases. Il faut donc faire preuve de mémoire (se rappeler quelles maisons ont été vendues, quels acheteurs se sont présentés), d’un peu de chance, et de talents de calculateur pour enchérir au meilleur prix… Trois parties s’enchaînent, Dom, Xel et Thomas les remportant tous trois sur le même score de 51. Au final, c’est David, Poulidor à chaque manche, qui  l’emporte avec 141 devant Dom, 138. En résumé, un jeu très jouable pour un public novice, mais avec la question épineuse de la comparabilité des scores si les tables n’ont pas le même nombre de joueurs. La commission des mathématiciens de Scorfel est appelée à statuer prochainement pour fournir des abaques.

Table 2, dite « Je me souviens »tear-of-grief-3

Hélène, Frank, Yann et Sylvain accueillent Anthony (nouveau venu, que nous saluons) et lui présentent Concept. Ils se sont bien amusés et se rappeleront qu’ils ont tous gagné.

Table 3, dite « La mémoire dans la peau »

Nicolas invite Axel, Mickaël et Michał à T.I.ME. Stories, jeu où les joueurs sont au service de l’agence T.I.M.E, une organisation qui maîtrise le voyage dans le temps et les réalités parallèles. Des agents y partent en mission pour résoudre des situations potentiellement dangereuses pour le continuum espace-temps. Il paraît qu’on ne joue à ce jeu qu’une fois, sauf si on a une très mauvaise mémoire. Quoi qu’il en soit, les joueurs du soir ont gagné.

Table 4, dite « Memento »

Les tables 1, 2, et 3 fusionnnent, rejointes par François-René. Les joueurs qui n’ont pas la permission de minuit étant éliminés, nous ne sommes plus que 8, ce qui est déjà beaucoup pour un Room 25. Hélène et Anthony sont les gardiens, Xel, François-René, Nicolas, Thomas, Jérôme et VHS sont les prisonniers. Voilà un jeu qui fait puissamment appel à la mémoire, et, si on en manque, il reste les balises mémorielles (expression sous © Jérôme), ces petits jetons qui permettent de se rappeler du contenu d’une case avant qu’elle ne soit chamboulée par un mouvement de déplacement. Dans cette partie, les prisonniers ont beaucoup tourné en rond et n’ont découvert la Room 25 que bien tard, ce qui causa leur perte.

Table 5, dite « Total recall (ou pas) »

Les protagonistes de la table 4 n’allaient pas se quitter comme ça. Pour exercer leur hippocampe, Jérôme propose un Shadow Hunters, un jeu où il faut avoir un peu de mémoire pour savoir avec qui l’on joue (Shadow ou Hunter), mais pas que. En effet, Thomas, Xel et VHS etions tous les trois voisins de table, tout autant que Shadows. Pourtant, Thomas s’acharnait à combattre Xel. Mémoire de poisson rouge ? Non, car il faut savoir que l’un des Shadows (le Métamorphe) a la possibilité de mentir. Ce procédé retors ne causa cependant pas la perte des Shadows, qui l’emportèrent après avoir brutalement évincé Hélène, maîtresse des Hunters. On espère qu’elle reviendra.

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Séance de VENDREDI à Ti Koad 26/12

Séance racontée par François :

Une table, dite « aux origines d’une bataille »
Le 27 décembre 1979, les soviétiques lançaient l’opération  Шторм-333, qui eut pour résultat la prise d’assaut du palais Tajberg, la mort du président afghan, de son fils de onze ans, et de ses 200 gardes du corps. Plusieurs autres bâtiments gouvernementaux furent pris d’assaut, dont le ministère de l’intérieur, la sécurité intérieure et l’état-major général. Une douzaine de Soviétiques y perdirent la vie dont le colonel Borianov, responsable de l’opération, tué par un tir ami car confondu avec un garde afghan. Ainsi commença la première guerre d’Afghanistan, qui ne prit fin que le 15 février 1989.
Trente-cinq ans plus tard, une bataille bien plus brève opposa pour le dernier BSG de l’année trois maîtres cylons: Xel, François-René (compatissant mais pas moins redoutable) et Mks, à un quarteron d’apprentis humains: Nicolas, Virginie, Mickaël et VHS. Le résultat n’en fut pas très différent, une horde de centurions s’abattant sur le vaisseau humain alors qu’il s’apprêtait à décoller. La débâcle fut notamment causée par la suprématie défaillante de politiques inadaptés à la soudaineté de l’assaut, et le manque de pilotes efficaces à dompter des dés rebelles. En moins de deux heures, les centurions étaient dans la place, la messe dite sur un air de requiem, et les biscottes grillées façon barbecue.
L’URSS justifiait son intervention par la volonté de préserver le régime en place et de maintenir le calme en Asie centrale au nom du droit international, invoquant de nombreuses demandes d’intervention du gouvernement cylon afghan auprès d’elle dans toute l’année 1979. Cet épisode mal digéré par l’histoire serait, selon certains exégètes, aux origines d’autres batailles récurrentes d’une ensemble mal défini, que les néo-conservateurs appeleront plus tard une bataille de civilisations.
 
Un two-shot de Room 25 s’ensuivit avec François-René, Xel, Mickaël et VHS pendant que les trois autres comparses se dispersaient dans la découverte d’un nouveau jeu peuplé de chevaux, diligences et autres westerneries dont la chronique peine à relater les détails. La première partie fut gagnée par les prisonniers sans trop d’efforts, car il n’y avait aucun gardien en jeu ! La seconde fut gagnée par les prisonniers au nez et à la barbe de deux gardiens.
Pour finir, quatre parties de Complots réunirent François-René, Xel, Nicolas et VHS. Et, comme à l’école des fans, chacun gagna sa partie.

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Séance de MARDI à Ti Koad 23/12

Ce CR vous est offert par François. Merci à lui. En plus y a un jeu dedans.

Une table, dite « des quatre saisons »: quatre jeux à six ont réuni François-René, Xel, Mickaël, Audrey, Jérôme et VHS.

C’est l’anniversaire de Carla Bruni. Saurez-vous en son honneur associer aux parties de cette soirée les mos-clés suivants: Italie, Elysée, Sarkozy, Bombe ?

Les joueurs sont d’abord coincés dans l’espace exigû de Room 25, un jeu télévise nommé qui franchit les limites de l’insoutenable pour battre des records d’audience. Des candidats sont enfermés dans un complexe carré doté de 25 salles en mouvement truffées de pièges. Ils doivent essayer de se faire confiance pour rejoindre ensemble la Room 25 et s’échapper rapidement. Mais des gardiens pourraient s’infiltrer dans le groupe et tenter de les empêcher de fuir par tous les moyens… Au bout d’une quête haletante, leas gardiens (Jérôme et François-René) triomphent.

Boom Bokken est un jeu du rennais de Henri Kermarrec, qui selon son profil social, est à la fois directeur général de Mon fauteuil et directeur artistique de Mon lit. Autrement dit, tout un programme. Il nous embarque dans l’univers des ninjas. Lorsque la leçon du Senseï est terminée, les apprentis ninjas se retrouvent dans la cour du dojo pour pratiquer un jeu explosif. Les joueurs vont se répartir par équipes, et se passer une bombe qui ne doit jamais toucher le sol, sans quoi elle explose. Durant la partie, les joueurs vont jouer des cartes numérotées de valeur 1 à 8, en contraignant par une annonce un autre joueur à jouer une carte dont la valeur est « au dessus » ou « en dessous » de celle qu’ils viennent de jouer. Si le joueur ne peut pas jouer de carte correspondant à l’annonce, la bombe explose. Mais ce jeu en apparence calme est rendu hautement chaotique par l’introduction de cartes Flash et autres Temps morts.. A la fin, c’est Xel qui triomphe. On n’aurait pas mieux dit.

Nous nous retrouvons alors téléportés dans l’univers de la renaissance italienne de Condottiere.
Les Condottieri, chefs de guerre dans l’Italie de la Renaissance offrent leurs services aux villes qui se déchirent le pouvoir entre états. En tant que Condottiere, vous devrez contrôler le territoire le plus vaste de la botte méditerranéenne. Chaque bataille se résout par une partie de cartes.
Les joueurs, comme dans une partie de poker, peuvent décider d’abandonner la lutte à tout moment pour se préserver pour un prochain combat. Les cartes figurent des troupes de mercenaires avec une force de 1 à 10, et des cartes spéciales de héros, d’hivers (les mercenaires sont réduits à une valeur de 1), Clefs de la ville (la ville se rend au plus fort), Evêque (la bataille prend fin sans résultat), et joker (permet de récupérer les cartes jouées et de bluffer). L’astuce principale de ce jeu tient dans le fait qu’aucune carte n’est piochée tant qu’au moins 2 joueurs en possèdent encore. Aussi, la gestion de sa main sur plusieurs batailles devient primordiale… Une fin de partie à suspense voit la victoire de françois-René qui établit trois comtés adjacents, devant Audrey et CHS, quatre comtés mais non adjacents.

Un Nosferatu final voit Renfield alias Igor confier le rôle du vampire à Xel, qui, pas assez soupçonnée, inflige 5 morsures à ses opposants. Jérôme entretint l’ambigüité sur son rôle à son détriment, et son coming out, qui n’arrivera jamais, avait laissé le doute s’installer dans les esprits. Le pieu ancestral resta donc immaculé.

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Séance de VENDREDI à St-Elivet 24/01

Quelques tables ce vendredi :

Table n°1 dite « Age of Soviets » …

… racontée par Marvin :

Nous nous attablâmes autour de Russian Railroads. Après une efficace présentation des règles, la partie commença. Quelques étourderies furent commises, mais une étourderie n’est pas toujours mauvaise. En effet, la tarte Tatin a été inventée grâce à une étourderie. Ce dessert est originaire de Lamotte-Beuvron en Sologne : les sœurs Stéphanie et Caroline Tatin y tenaient un restaurant, qui existe toujours sous le nom d’« hôtel-restaurant Tatin », face à la gare fréquenté par de nombreux chasseurs. Un dimanche d’ouverture de la chasse, alors qu’elle préparait une tarte aux pommes pour un repas de chasseurs, Stéphanie, étourdie, oublia dans le feu de l’action de mettre une pâte dans le moule et l’enfourna simplement avec des pommes. Du coup s’apercevant de son oubli, elle décida de rajouter la pâte par dessus les pommes et cuire la tarte ainsi. Les chasseurs ont apprécié cette tarte, qui est devenue la tarte Tatin.

A la demande du président qui souhaite faire apparaître les scores :

JiBee 474
Marvin 360
Sly-the-vieux 352
David 272
« belle branlée »

J’ai bien aimé le jeu, mais il a le même défaut que Caylus : faut y jouer sans JB 🙂

Note du secrétaire : il suffit de le remette devant un Terra Mystica ou Agricola pour que le président fasse moins le malin 🙂

Table n°2 dite « Wallace strikes back » …

… racontée par François :

Xel invite VHS, Audrey et Baptiste (au poil dru) à découvrir un nouvel opus du fameux Martin Wallace, pour une partie découverte de « London« . Le plateau représente l’histoire de la ville à partir du grand incendie (1666) jusqu’à l’aube du 20ème siècle, avec différentes circonscriptions, où les joueurs peuvent s’installer (action: Investir). Chaque joueur crée un espace de Constructions (action: Jouer des cartes), c’est-à-dire une ligne de cartes en face de lui. Ces cartes procureront des avantages: revenus, points de victoire ou réduction de la pauvreté, mais n’auront en général d’effet que lors de l’action Restaurer la ville.

L’argent sert à jouer des cartes et acheter des circonscriptions. Il est rare, mais il est toujours possible de faire des emprunts (à un taux plutôt prohibitif de 50%). Acheter des circonscriptions permet de gagner des cartes et de réduire l’impact de la pauvreté (en réduisant la surpopulation). La pauvreté est un problème épineux. En effectuant l’action Gérer la ville, un joueur va généralement augmenter son niveau de pauvreté. Certaines cartes permettent de le restreindre.

La partie s’arrête lorsque la pioche de cartes est épuisée. Les points de victoire de chaque joueur sont comptés à partir de sa présence sur le plateau, des cartes dans son espace de construction, et de son argent. La pauvreté et les emprunts non remboursés font perdre des points de victoire. Beaucoup de points même. Ainsi Baptiste, qui emprunta sans compter, fut lesté de 14 PV pour n’avoir pu rembourser ses emprunts. Quant à moi, je terminai riche mais augmentai considérablement la pauvreté à cause d’une règle vicieuse qui compte les cartes en main en fin de partie comme autant de points de pauvreté. J’en fus pénalisé de pas moins de 36 PV !

Audrey se développa au Nord et récolta beaucoup d’argent grâce à son magasin. Xel occupa les deux rives de la Tamise où elle construisit même un métro, tandis que je colonisai le sud. Baptiste eut la chance d’avoir la carte Université qui permet de regarder les trois premières cartes de la pioche et d’en choisir une. Cette propriété augmenta considérablement son temps de jeu, mais fit sa fortune.

Au décompte final, Baptiste sortit grand vainqueur à 46 PV, grâce à son action déterminante sur la pauvreté. Xel émergea à 29 PV. Suivent Audrey à 15 PV, et VHS à 10 PV, fortuné et bien placé, mais lourdement handicapé par la pénalité susmentionnée.

Au final, ce Wallace « soft » se révèle plaisant à jouer: calculatoire mais pas trop (pas de cubes à gérer autres que les points de pauvreté), il peut donner lieu à une partie fluide, pour peu que les joueurs soient rapides, les actions pouvant se préparer à l’avance. Les interactions sont limitées puisque chacun gère son propre espace de construction, mais néanmoins présentes: essentiellement l’occupation du plateau, et la pioche commune pour les cartes défaussées. Il ne manque en fait à ce jeu qu’un accessoire: un sablier.

Les mêmes sont ensuite rejoints par Thomas et Gwen pour un petit Level Up, version ouverte. Thomas l’emporte sur le fil alors que Xel, Audrey, et VHS étaient sur le point de réaliser leur dernier objectif. Et on ne fit aucun cadeau à Baptiste, qui sentit le poids des ans s’abattre sur ses épaules au douzième coup d’horloge.

Table n°3 dite « Undocumented » …

… avec un Demeures de l’Epouvante éprouvant pour les joueurs Sly The Jeune, F-R et Richard, à cause du maître de la demeure : Jeff.

Table n°4 dite « X-file » …

… avec un Room 25 puis un Level Up et au moins Rémy et Laurent autour….

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Séance de MARDI à St-Elivet 12/11

Compte-Rendu fait par Xel :

 

3 tables :

 

Table 1 : [Baptiste ex-nuque longue, LN, Audrey et David]

Divers petits jeux apportés par LN en attendant leur cinquième joueur…

Table 1 bis : [les mêmes + François-René]

Mice & Mystics que raconte Baptiste :

F-R, Audrey, David, Hélène et moi nous attaquâmes au premier scénario : la fuite de la prison. Si les fromages furent rares dans les geôles mais nos assauts implacables, ce fut l’inverse une fois mis le museau dehors. Néanmoins, nous atteignîmes sains et saufs le glorieux trou du respectueux arbre, triomphant ainsi de cette initiation au jeu.

S’enchaîna un Room 25 raconté aussi par Baptiste :

Nous enchainâmes ensuite avec un Room 25. David se révéla assez tôt en poussant Hélène dans la pièce tu-rentres-tu-meures (dommage, elle était dans son camp). Pris de fébrilité, F-R me poussa lui-aussi alors que nous étions sur la sortie. J’avais entamé le chemin du retour lorsque l’infâme, le perfide David surgit et me poussa dans une autre pièce tu-rentres-tu-meures, me faisant découvrir avec surprise qu’elle existait en deux exemplaires. Les survivants étant arrivés à la fin de la piste des tours, la victoire revint à David (ainsi qu’à Hélène à titre posthume).

Table 2 : [MKS, Jérôme, JC, CHarlotte et Gwen]

– Small world
– Le saboteur
Table 2 bis : [les mêmes sans MKS]
– ?

Table 3 : [Jeff, Dominique, Thomas, Mélanie, Nicolas et VHN] Funkenschlag sur un air de samba *;) Clin d’œil
Première partie pour Thomas et Dominique.
Partie relativement bisounours : pas d’enchères à la polonaise  mais à la belge ! *;) Clin d’œil
Je gagne la partie avec 14 villes alimentées et encore beaucoup d’argent, Jeff réussit aussi à atteindre les 14 villes alimentées mais avec très peu d’argent en poche, Nicolas alimente 12 villes, Thomas, Mélanie et Dominique ferment la marche.
Table 3 bis : [Jeff, Thomas et VHN]
7 wonders : Jeff l’emporte grâce à ses combos vertes (68 PV ?),  Thomas (47 PV) et VHN (44 PV).

Soit 16 joueurs pour un mardi !
Et un Vincent de passage non comptabilisé *>:) Démon

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Séance de VENDREDI à St-Elivet 11/10

5 Tables initiales, 14 Parties, 9 Jeux, 22 Joueurs : la séance des records !

 

Sachant que des membres éminents de l’association étaient absents on peut encore mieux faire ! Voilà une tentative de compte rendu que VOUS rendrez aussi exhaustif que possible via le forum j’en suis sûr !

 

Table n°1, dite « Jack a riper » :

Puisque Jack l’éventreur aka Gwen s’est fait attraper de la plus belle des manières par les inspecteurs de police (Ania, Françoise, David, Virginie et moi même) dans un Lettres de Whitechapel tendu à souhait.

Table n°2, dite  » Y a quoi à acheter? »

Avec les mêmes gens moins Françoise dans un Kolejka très drôle que VNDJ (Votre Narrateur Du Jour) remporte dans un dernier tour endiablé.

 

Table n°3, dite « La roue tourne »

Notre président et Maud ont accueillis Mélanie et Thomas (bienvenue !) autour d’un Tzolkin qu’ils connaissaient déjà car ce sont, semble-t-il, des Serials Gamers . La partie a été appréciée et je suis impatient d’en connaitre le résultat. 

Table n°4, dite « classico »

Qui a vu s’affronter Grégoire, Thomas et Jeff autour d’un Le Havre. Mais qui donc a bien pu gagner ??

Table n°5, dite « Seul au monde »

Mais pas temps que ça puisque Baptiste, Julien, Sylvain « l’éternel »  et FR se sont retrouvés pour tenter de survivre à Robinson Crusoé. Un jeu que j’aimerai bien testé à l’occasion… Mais hier soir, s’en sont ils sortis ?

 

 

Table n°6, dite « Ça plane pour elle ! »

Et un Aéroplanes remporté par Christelle suivi par Francois , Nicolas, Audrey et Jérôme

Table n°7, dite « de deuxième partie de soirée »

On retrouve François, David, Jérôme, Audrey et Xel autour d’ Augustus. François s’adjuge la victoire !

Table n°8, dite « bis répétita »

Même jeu mais avec cette fois la victoire de Jérôme  tard dans la nuit ?!

Table n°9 et 10 , dite  » Maya Power! »

Avec JB, Jeff et Grégoire et le retour de Tzolkin pour non pas une mais deux nouvelles parties. Nul doute que les cotisations et la ferveur des adhérents auront boostées le trésorier et le président mais cela a-t-il suffit face à Grégoire ?

Table n°11, 12 et 13, dite « mais il finira jamais ce CR?? »

Il y a eu en effet 3 parties de Nosferatu avec… : plein de monde et si vous avez tout suivi, vous saurez sans doute dire qui était autour de la table !

 

 

 

 

Table n°14, dite « post scriptum »

Puisqu’on me souffle dans l’oreillette que Julien, Baptiste, FR se sont baladés dans le dédale de Room 25.

 

 

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Et puis vous le savez c’est J-7 avant la convention Scorfel ! Un weekend entier de jeux made in Parties Civiles: que du bon en perspective (surtout si on a la même ambiance qu’hier soir)!  Alors venez nombreux !

 

Séance de MARDI à St-Elivet 08/10

11 Joueurs, 5 Jeux.

Table n°1, dite « cubes ’till you puke »…
DISCLAIMER :
ce CR contient un avis qui n’appartient qu’à moi-même (Votre Modeste Serviteur aka Marvin) et ne saurait donc constituer un jugement de valeur honorable susceptible de décourager quiconque ne l’aurait pas essayé de le faire (même si, quand même, c’est un peu nul)

… où Notre Impénétrable Président nous a introduits, Jeff et moi, aux plaisirs masochistes de Tzolk’in – Le calendrier Maya.

Après une efficace explication de règles, nous nous déplaçâmes des cubes de bois pour en récupérer d’autres. Ce jeu fait preuve d’une grande richesse, mais m’a, personnellement, pour citer un autre président, « touché l’une sans faire bouger l’autre ». Des cubes, des ouvriers, encore des cubes, et des points de victoires (matérialisés par une piste autour du plateau. Incroyable !).

Bref, un jeu qui recycle moults mécanismes vus et revus, éprouvés et re-éprouvés (ai-je mentionné la possibilité de construire des bâtiments et de faire évoluer des technologies ? Inouï !), et figure en bonne place dans la lignées des jeux conçus pour Notre Insondable Président. Les qualités d’un bon jeu ? La question est ouverte.

C’est néanmoins fort logiquement que ce dernier l’emporte, avec environ 75 points. Je le suis de près, avec environ 70, mais dois en partie ce score à une brillante suggestion de NIP lors de l’antépénultième tour (je dois y gagner une dizaine de points). Jeff ferme la marche loin derrière, mais la décence et l’amitié m’empêchent d’annoncer son score.

Table n°2, dite « No cube, no pain », narrée par Baptiste « nuque moyenne » :

Une table de Chinatown avec Xel, Baptiste & Hélène, David et moi. Pour ma première partie de ce jeu, j’ai bien aimé son mécanisme, sa fluidité et sa phase de marchandage totalement immorale. Au final Xel l’emporte avec $1.090.000, je termine deuxième avec $1.040.000. Mon homonyme prend la 3ème place avec $800.000 et des pousses-pousses. Hélène et David se battent pour les 4ème et 5ème places.

Table n°3, dite « Cube you all night long »…
… où François-René, malgré sa légendaire aversion pour les cubes, a triomphé de Grégoire (un exploit, semble-t-il) et de Thomas autour du plateau d’Amyitis.

Table n°4, dite « En chambre », narrée de nouveau par Baptiste « nuque entre-deux » :

Départ de David pour chez lui, et de Xel pour une partie de Brass. F-R nous rejoint avec sa Room 25 pour une partie à quatre. Baptiste prend la fillette, Hélène choisit le colosse. Plus modestes, F-R fait le beau gosse et moi le geek. La pièce de sortie est rapidement dévoilée par F-R, que je m’empresse alors de pousser dans un bain d’acide, confirmant ainsi les soupçons du beau gosse sur la traitrise cachée du geek. Mais je perds la partie sur un bête point de règle mal compris, qui me fait pousser la mauvaise rangée au dernier tour. Comme quoi, je suis un méchant vraiment gentil.

Table n°5, dite « Noctambule »…

… qui a vu Grégoire, Xel et Thomas jouer… jusque tard sans doute à Brass. L’un d’eux l’a certainement emporté par épuisement de ses adversaires.
Edit de Xel :

Table 5 : Grégoire l’emporte largement (170+), Thomas le suit (150+) et je termine honorablement (130+) (dont 54 points marqués avec les rails 😎 )

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Séance de MARDI à St-Elivet 21/05

Deux tables pour cette séances racontées par le ‘zident.

Table 1 : Dîte « de défrichage ».

Ou Xel et Jeff ont aidé Baptiste et Jérôme à découvrir Imperial.
Un des deux premiers a gagné. Et l’un des deux suivants a déclaré qu’il réessaiera peut-être pour voir si c’est toujours douloureux la deuxième fois.

Table 2 : Dîte « évasive »

Mks, FR, Gaëtan un nouveau venu et JiBee Votre incarcérable Président ont essayé :

1) Alcatraz: the scapegoat (« le bouc émissaire »)
C’est un jeu « coopératif ». Les quatre prisonniers incarnés par les joueurs doivent sortir de la prison incarnée par Alcatraz. MAIS, il faut un « scapegoat » qui se sacrifie (ou que l’on sacrifie) pour le bien de l’opération. Donc soit tout le monde perd et on ne s’évade pas. Soit on s’évade tous sauf 1. C’est FR qui est resté sur le carreau.

2) Room 25
Pour rester dans le thème, les 4 mêmes ont enchaîné avec room 25. Alors nous sommes encore 4 incarcérés mais cette fois dans un genre de labyrinthe carré truffé de pièges. On veut encore sortir en coopérant, mais à défaut de scapegoat, il y a parmi nous un gardien infiltré qui veut nous empêcher de sortir. Le vile gardien (sans doute d’origine cylon) était MKS qui s’était téléchargé dans une petite fille. Il a réussi à nous embrouiller, et à faire naître la suspicion, puis la défiance, puis l’incompréhension, la colère et enfin la souffrance et la mort. Mais surtout la défaite pour les trois autres.

3) The Big Boss
Le jeune Papa Mks que nous félicitons est retourné préparer des biberons. Et les trois autres ont essayé The Big boss. Une jeu de mafieux afin de connaitre les raisons qui nous avaient poussé en prison. La mécanique est simple le jeu est rapide et Gaëtan remporte la victoire. FR qui enchaînait sa troisième défaite consécutive précisa quand même que le jeu est mieux à 5 ou 6.

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