Séance de VENDREDI 08/03/2019 à Servel

Le 8 mars 1971 avait lieu le Combat du siècle – nom donné au premier des trois combats entre le champion Joe Frazier et le challenger Mohamed Ali au Madison Square Garden de New York. Le combat symbolisera un pays déchiré. En effet, Ali (qui avait dénoncé la guerre du Viêt Nam) refuse de servir dans l’armée américaine en 1967, ce qui le conduit à être déchu de son titre et à la perte de sa licence de boxe. Ali devient donc un symbole du contre-pouvoir, tandis que Frazier en est le symbole opposé (dans son autobiographie, il déclara qu’il n’a pas combattu durant la guerre parce qu’il était père, mais qu’il aurait aimé combattre s’il avait été convoqué parce que son pays avait été si bon envers lui).

Au bout des 15 rounds, ce fut la défaite la plus probante d’Ali. Il ne disputera pas un autre combat pour un championnat du monde avant trois ans et demi. Entre-temps, il entreprendra une longue série de combats, avec notamment une seconde défaite, contre Norton, avant de l’emporter dans des matchs revanches contre Norton puis Frazier – victoires qui feront de lui le challenger contre le champion d’alors George Foreman, et son vainqueur lors d’un match mémorable à Kinshasa, le 30 octobre 1974 (« le combat dans la jungle »).

Vrai dur et faux doux

48 ans après à Lannion, de sourds combats faisaient rage.

Table 1, dite « Catégorie poids mouche » : un Zombicide avec Franck et le petit Paul, Mickaël et un quatrième comparse, ça se joue dans la catégorie des mouches, en terme de carrure s’entend. En face, les zombies n’ont pas pesé lourd.

Table 2, dite « Catégorie poids lourds » : avec Food Chain Magnate, on est dans le lourd, en termes de règles, de durée, comme de calories ingurgitées par tous les clients des rois du fast food qu’incarnent les joueurs. On ignore qui de Tristan, Thomas, Olive ou des nageurs (Camille et Laurent) aura survécu au glas de la nuit.

Table 3, dite « Pertes en ligne » : les combattants de Warhammer 40K ont ici fait vrombir leurs motos. Lorsque le reporter passa une tête, entre Baptiste, Benjamin et Romain, il y avait de grosses pertes en ligne.

Table 4, dite « Rebelles de salon » : encore des motos et des figurines à cette table de Speed freeks où le contraste est frappant entre le look rebelle du jeu et celui très policé des protagonistes, Julien-de-Paimpol poussant la politesse à laisser le meilleur départ à Steven, mais probablement pas sans arrière-pensées.

Table 5, dite « KO debout » : duel en la haute altitude de Altiplano avec N2, OlivierL et Xof. Ce dernier, avec 30 points d’avance, laisse ses adversaires KO debout.

Table 6, dite « Le match du siècle » : on déballe Evolution en grand équipage, avec son extension. Un match en défense pour les protagonistes principalement herbivores, caparaçonnés derrière leurs barrières de défense, et paissant sans vergogne à l’image de Neox, à qui Dom expliqua longuement comment manger la graisse qu’il avait accumulée. Seuls carnivores, François-René, qui croqua de petites proies comme Vincent, et votre serviteur qui visait plus gros, mordant François-René au mollet avant de finir par engloutir son propre voisin de cellule. Ce match qui se termina dans un climat glacial sera qualifié comme légendaire par la faiblesse de ses écarts à la table. Qu’on en juge: Dom 66, Neox 59, F-R 57, VHS 56, Vincent 47. Neox aurait pu gagner, mais surtout votre serviteur commit une erreur fatale en ne jouant pas la carte Grimpante en attaque, manœuvre, qui, en attaquant Dom, l’aurait conduit à la victoire. Mais celle-ci lui sera peut-être donnée sur tapis vert, car, après réclamation et enquête nocturne des commissaires, « fourrageur » est un doubleur de nourriture mais le second jeton pris à ce titre n’est pas une « action de nourriture ». On vous épargne les détails, mais les séquences litigieuses mettant en jeu cette règle furent légion, et la VAR a été demandée pour valider les innombrables gloutonneries des herbivores observées dans cette partie à l’aune de cette règle.

Table 7, dite « C’est comme à New York » : Dom invite F-R et Vincent à essayer une nouvelle déclinaison du DUC, véritable corne d’abondance ludique : Biblios, un jeu de cartes rapide fort apprécié de l’autre côté de l’Atlantique mais méconnu par ici. C’est avant tout un jeu de majorité dans 5 couleurs mais la valeur de chaque couleur (3 PV en début de partie) est manipulable en cours de jeu. Sinon il a tout d’un grand : du pari, de l’enchère et des choix pas évidents (quelle carte prendre vs. laquelle laisser aux adversaires ? faut il se spécialiser tôt ?). La première phase où on constitue sa main tout en mettant de côté le lot de cartes qui sera mis aux enchères est un peu répétitive. Mais l’enchère au cours de laquelle il faut gérer son budget tout en surveillant les choix des autres et en manipulant à chaud les valeurs est plutôt réussie. Mécanisme malin, on enchérit pour les cartes « couleur » avec la valeur des cartes « argent » mais on enchérit pour les cartes « argent » avec un nombre de cartes, peu importe leur type. Il n’y a donc pas de mauvaise carte. Ce soir Dom a tout misé sur le Bleu boosté à 6 PV, mais Vincent a flambé aux enchères et donné la majorité en Bleu à .. F-R qui n’en demandait pas tant. Il gagne avec 8 PV contre 5 pour Vincent et 3 pour Dom. Les compères étaient dubitatifs en début de partie mais plus favorables à la fin. Comme tous les jeux d’enchères, Il faut y rejouer maintenant qu’on a une idée des prix et en gardant en tête la distribution des cartes, entre joueur expérimentés les majorités seront très serrées.

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Séance de VENDREDI 01/03/2019 à Servel

Ce vendredi premier mars était le 60e jour de l’année et vit une soirée à quatre tables, chacune dans sa pièce on prend ses aises. A ces 4 tables participèrent au total 15 joueurs. 4 x 15 = 60, le compte est bon.

On peut noter que la prochaine séance du mardi aura lieu le 64e jour de l’année, soit 4 au cube (4^3 = 64). Mais 60 n’est pas un cube, aussi n’y eut-il aucun jeu de cubes ce vendredi-là, fait assez rare pour être mentionné.

Table 1, dite « 4 fois 2 » : un Zombicide à huit, cela promettait d’être long pour Eric, Elouan, Yann, Vivien, Frédéric, Christophe, Nicolas-2 et Arnaud (et Gabriel ?). Tellement long que VHN s’envola avant que l’aube ne chasse les zombies.

Table 2, dite « 4 et demi » : on inaugure UBOOT, un jeu coopératif en temps réel motorisé par une app, avec un magnifique modèle tridimensionnel (un Colt Express pour les grands !). Aux postes de combat, on reconnait Nourdine, Jérôme, Vincent et un François-René hybridé de DocNico. Ils commencent par un faux départ, ayant déclenché la plongée alors qu’une partie de l’équipage entretenait le canon sur le pont. Après s’être faits sermonner par l’amiral, ils repartent en chasse.

Table 3, dite « 2 plus 1 » : les combattants de Warhammer 40K étalent leur matos, avec un Baptiste contre Vincent-2 arbitré par Steven.

Table 4, dite « 4 contre 1 » : le groupe habituel de Gloomhaven confronte un boss-Wyvern (une sorte de dragon) dans le scénario Scorched Summit. Il dispose de 65 PV et d’une suite de monstres de soutien dont les déplaisants Zephyrs qui apparaissent peu à peu et qu’on ne peut pas toucher. En fait cela ce passe plutôt bien même si plusieurs aventuriers sont très affaiblis. Ils font place nette relativement vite mais, tout à leur tâche, négligent de ramasser pièces d’or et coffre au trésor.

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Séance de MARDI 26/02/2019 à Servel

Le 26 février 1908 naissait Frederick « Tex » Avery. Entre 1935 et 1955, il va laisser une empreinte inoubliable dans l’art du dessin animé en créant des personnages comme Bugs Bunny, Daffy Duck et Droopy, en imaginant des univers délirants et en jouant avec les limites du medium. Dans des chefs d’œuvre comme ceux mettant en scène le petit chaperon rouge et le loup, il recourt fréquemment à des animaux, développe un humour personnel et joue avec les limites de l’érotisme acceptées à l’époque. Tout à l’opposé des production de Walt Disney. Pile 111 ans plus tard, nous avons eu une pensée pour ce créateur de génie.

Table 1, dite « You know what ? … I am happy » : François attire à sa table Thibault, un novice, et Benjamin, un débutant à Innovation (Olive ayant poliment décliné). Une partie en 1h pour une soirée pas trop longue a priori. Mais c’est oublier, comme cela a été remarqué récemment, qu’à ce jeu aucune partie ne se ressemble et, tant que ce n’est pas la fin, tout est possible. La partie de ce soir dura plus de 2h30 et fut l’illustration idéale de ces deux prédicats.

Mieux, ce fut une partie historique par ses incroyables rebondissements, qui montra à merveille combien les stratégies à ce jeu peuvent être tortueuses. En effet, François, parti sur un petit deck de cartes, le vit rétrécir à vue d’œil au fil des tours, mais, ce faisant, accumulait les dominations grâce à quelques coups tordus, notamment un usage presque abusif du Code des pirates, et plus généralement de cartes couronnées, la seule ressource qu’il domina avec brièvement les châteaux au début. A l’inverse, Benjamin étalait un deck pharaonique, mais zéro domination, sauf celle de civilisation où il faut avoir au moins trois fois chaque ressources, c’est dire si ça débordait. Quant à Thibault, il faisait quelques bons coups, de jolies dominations, et un gros stock d’influence que Benjamin s’employa méthodiquement à détruire, entraînant des mesures de rétorsion immédiate, on se croyait dans la guerre commerciale Chine-USA qui fait rage en ce moment (ou qui fait semblant de, la politique est aussi un jeu de rôle, mais je m’égare).

On en arriva donc à ce point de la partie où Thibault avait 4 dominations, François également, et Benjamin, qui s’était rattrapé sur le tard, 3 dominations. Problème: tous les âges de 1 à 9 avaient été dominés ! « Que faire ? » se demanda Thibault, à l’instar de Lénine. Jouer la carte Fission lui apparut la bonne solution ; et comme Lénine, il vit rouge : armageddon nucléaire il y eut, et donc tous les decks, toutes les influences, toutes les mains partirent en fumée ! Retour à la case zéro avec un scénario inédit : plus aucun âge à dominer ! Il fallait donc ruser pour dominer une civilisation, et, scénario jamais vu, sans trop se préoccuper de l’influence. Ce match dans le match qu’on anticipait long fut en définitive plutôt court. C’est François, qui, dans le money time, mit fin aux hostilités avec un superbe plateau garni de couronnes et la carte qui stipule que dans ce cas, vous gagnez. On vit donc François Ier (dit « le modeste »), et rarement dans l’histoire tête couronnée porta mieux ce nom !

Table 2, dite « What’s up Doc ? » : Neox, Xel, DocNico et VHN prennent place autour de CO2 second chance, la v2 d’un jeu de gestion de Vital Lacerda qui offre un mode aussi bien compétitif que coopératif. Le thème? satisfaire la soif d’énergie de l’humanité sans la griller trop vite en déployant des centrales électriques renouvelables plutôt que du charbon, du gaz ou du fioul (le jeu propage ainsi le vision erronée que c’est la production d’électricité qui est le principal enjeu du changement climatique alors qu’elle ne représente qu’environ 1/3 des émissions mondiales de CO2 liées à l’énergie, qui elles-mêmes ne représentent qu’environ 70% des émissions globales de gaz à effet de serre, fin de la parenthèse-sermon). En tous cas, avec plus de 22°C un 27 février à Lannion, on est pile dans le thème.

Après explication des règles, on se lance dans la construction de centrales et l’acquisition de connaissances, la partie se déroulant en 4 décennies. Las, dès la fin de la première, l’équipe découvre qu’elle n’a pas réussi à avoir au moins 0 PV, condition éliminatoire. Bon, un oubli de règle qui donnait un petit bonus et qui aurait probablement évité cet échec prématuré doit être mentionné. Xel jette l’éponge et les trois restants relancent une partie qui cette fois va à son terme. Malheureusement les conditions de la victoire finale sont cumulatives :

  • maintenir la concentration de CO2 à moins de 500 ppm : FAIT
  • finir avec au moins 0 PV : FAIT
  • réaliser au moins 1 des 2 objectifs secrets de chaque joueur : FAIT
  • réaliser au moins 3 sur 6 des objectifs collectifs : nous les avions un peu perdus de vue et la dernière décennie n’a pas permis de réaliser le bon portefeuille de projets

Le deuxième essai se termine donc encore mal. Les mécaniques du jeu ne sont pas très compliquées ; il faut bien planifier qui va faire quoi, mais les objectifs individuels (qu’on ne peut révéler) viennent mettre de la friction dans la progression du groupe.

Table 3, dite « Petit chaperon rouge » : François-René, Axel, Olive et Tristan disputent successivement des parties de : Seasons (Axel domine avec une combo scandaleuse), Flamme Rouge (Olive innove par une tactique audacieuse mais malheureuse consistant à sprinter dès le début de l’étape. François-René tel un grand loup émoustillé monte progressivement en régime et coiffe les autres coureurs sur la ligne d’arrivée) et Zombie bus (2 sessions de ce jeu coopératif : dans la première, Axel parvient à s’enfuir, abandonnant les adolescentes à leur funeste destin et gagnant la partie. Dans la seconde, l’équipe perd collectivement).

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Séance de VENDREDI 22/02/2019 à Servel

Le 22 février 1943, trois étudiants allemands sont guillotinés dans la prison de Stadelheim, près de Munich. Leur crime est d’avoir dénoncé le nazisme dans le cadre d’un mouvement clandestin, « La Rose blanche ».

Animés par une foi religieuse intense, Hans et Sophie Scholl (protestants) ont constitué leur mouvement de résistance avec trois étudiants en médecine que liait une solide amitié. En juin 1942, Hitler étant au sommet de sa puissance, le petit groupe décida d’appeler les étudiants de Munich à la résistance contre le régime nazi, qualifié de « dictature du mal ». En quinze jours, les jeunes gens rédigèrent et diffusèrent quatre tracts, signés « La Rose blanche » faisant référence à d’éminents penseurs (Schiller, Goethe, Novalis, Lao Tseu, Aristote) et citaient parfois la Bible. Leurs lecteurs étaient invités à participer à une « chaîne de résistance de la pensée » en les reproduisant et les envoyant à leur tour au plus grand nombre de gens.

À partir de novembre 1942, les résistants de La Rose Blanche bénéficièrent du soutien de leur professeur Kurt Huber de l’université de Munich, qui devint leur mentor. Ils imprimèrent et diffusèrent leurs tracts à des milliers d’exemplaires dans les universités allemandes et autrichiennes d’Augsbourg, Francfort, Graz, Hambourg, Linz, Salzburg, Sarrebruck, Stuttgart, Vienne et même de Berlin ! Le petit groupe collectait en même temps du pain pour les détenus de camps de concentration et s’occupait de leurs familles. Un cinquième tract intitulé « Tract du mouvement de résistance en Allemagne » fut distribué à plusieurs milliers d’exemplaires dans les rues, sur les voitures en stationnement et les bancs de la gare centrale de Munich !

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Sophie Scholl

Mais le 18 février 1943, Hans et sa soeur Sophie furent aperçus par le concierge de l’université en train de jeter un dernier paquet de tracts. Ils furent aussitôt arrêtés avec leurs amis, et livrés à la Gestapo. Le 22 février, après une rapide instruction, le Tribunal du peuple chargé des « crimes politiques » se réunit pour un procès expéditif de trois heures. Sophie Scholl lui fit face avec un courage inébranlable.

Le cinéaste allemand Marc Rothemund a réalisé en 2005 un film émouvant et rigoureux, Sophie Scholl, les derniers jours (Sophie Scholl, die letzten Tage).

76 ans après, les voyageurs de Parties Civiles partaient vers de lointains voyages, dont un jusqu’aux confins de l’épouvante. Heureusement, tous en sont revenus pour nous livrer ce récit.

Table 1, dite « Résistance de la pensée » : dans un scénario impitoyables de Demeures de l’épouvante, la pensée de Sébastien, Neox, François-René, Armand et un cinquième protagoniste qui se reconnaîtra n’a pas résisté. Ils ont sombré dans la mort et dans la folie.

Table 2, dite « Chaîne alimentaire » : à cette table familiale (Malo et Yann) et barbue (Vivien et Nicolas II) exploraient Ile of Skye. C’est grâce aux animaux que Vivien l’emporta avec 71, devant Nicolas II, 60, Yann, 57, et le jeune Malo, 40, qui ne rechigna pas entamer ensuite une partie de Honshu avec ses aînés. On ne sait rien de ce voyage plus lointain, la calligraphie de la feuille de score ne nous étant pas parvenue.

Bruges

Table 3, dite « Distribution de masse » : de nouveau à l’honneur après un Notre Dame de vendredi dernier, Stefan Feld nous propose Bruges, avec Dom en VRP de luxe. Un jeu de facture classique et agréable, où notre M.Loyal s’impose de justesse avec 43, devançant Benjamin, 41, votre serviteur, 40 et Xel, 29. Benjamin happé par la nuit, les trois survivants remettent le couvert, et votre serviteur s’impose avec 56, devançant Xel, 56 également mais moins fortunée et donc battue, et Dom, 50. Une victoire conduite sur une tactique implacable de construction de canaux (déjà employée dans la première partie, mais avec d’autres cartes), aboutissant à une distribution de masse de PV: pas moins de 34 points sur les 56 de cette victoire au forceps !

Table 4, dite « Vaine résistance » : Toute résistance à Tristan a été vaine dans cette partie de Terraforming Mars où il s’est échappé loin, très loin de toute atteinte de ses poursuivants Axel et Mickaël.

Table 5, dite « Lien invisible » : et comme on n’allait pas se quitter comme ça, et que ça faisait longtemps, on lança un Codenames final opposant les Bleus (Dom, Tristan, Xel) aux Rouges (VHS, François-René, Axel et Nicolas II en mode « soutien sans participation »).

  • 1-0 pour les Bleus , dans une manche où les Rouges ont été trop timorés, en hésitant sur l’indice décisif Manche pour l’hôtel Agapa
  • 2-0 pour les Bleus qui s’en tirent vraiment très bien en déchiffrant avec une chance insolente l’indice Raccourci à la mode de Xel, qui se rapportait à Ecran et Lien, parce qu’un lien sur un écran d’ordinateur, c’est aussi un raccourci ! En face, les Rouges ont encore joué petit bras, échouant à deviner le Champignon qui se cachait sous Accélérer, ou encore le Bureau de l’Architecte ! Qui ose gagne, c’est la morale de cette affaire.

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Séance de MARDI 19/02/2019 à Servel

Le 19 février 1600, les rares occidentaux présents furent témoins de la plus violente explosion volcanique d’Amérique du Sud dont la mémoire (écrite) humaine ait gardé trace, celle du péruvien Huaynaputina qui dévasta la ville d’Arequipa et modifia plusieurs mois le climat de la planète.

519 années plus tard, aucune coulées pyroclastique locale ne saurait expliquer une assistance aussi clairsemée : 3 participants qui ont avec bon sens constitué une unique table.

Table 1, dite « Pierre de lave » : bon, les carreaux multicolores de Azul sont à base de terre cuite et non pas de pierre de lave, mais en tous cas ce n’est pas un dallage bête. Le trio (Xel, Xof et Xom) dispute une partie qui voit Xel construire méthodiquement un pavage remarquablement compact tandis que VHN vise deux diagonales de couleurs. La première stratégie s’avère payante avec 79 PV contre 69 pour Dom et 51 pour Xof.

Table 2, dite « Volcan colérique » : une seconde boite sortie de l’armoire, Taluva, permet de stimuler une autre fois les neurones et les mauvais instincts des présent(e)s. Un jeu sur un ilot volcanique tropical aux règles simples voire arides mais que nous réussîmes à ne pas suivre, obscurcissant d’une nuée ardente l’identité du vainqueur. On indiquera juste qu’un Dom trop gourmand s’est retrouvé dans le dernier tour à ne pouvoir placer de pièce, situation éliminatoire. Il a donc été précipité dans la gueule d’un volcan, comme une vierge des âges païens.

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Séance de VENDREDI 15/02/2019 à Servel

Huit inscrits mais le double de présents, serait-ce un miracle de la Saint Claude ? Nous n’en piperons mot.

Table 1, dite « Roues, crânes et maïs » : à la recherche d’un jeu nourrissant, c’est Tzolk’in, un habitué de nos soirées,  qui ressort pour Xel, Eric, Elouan et Olivier. Personne n’est venu briefer le rédacteur (voir table 5) donc nous n’écrirons rien d’autre que c’est un jeu que Xel maîtrise.

Table 2, dite « Peste soit des rats » : après Vikings récemment, la petite société particivilienne (représentée par Thomas, Mickaël, Tristan, Olive et VHN) poursuit son exploration de classiques d’il y a une décennie avec Notre Dame, un jeu de Stefan Feld dont on retrouve certains aspects de Macao ou L’année du dragon. Ici les choix de renforcement et d’activation d’une poignée de bâtiments se font sur un plateau individuel et l’interaction entre les joueurs vient surtout de la mini phase de draft au terme de laquelle on se retrouve avec 3 cartes Action dont on jouera 2. Il faut aussi anticiper ou accepter de subir la phase punitive des rats qui, porteurs d’épidémies, viennent faire perdre des PV et des ouvriers (c.a.d des cubes, le budget étant limité). La leçon de cette partie de découverte : ne jamais se retrouver sans cubes ni sous, c’est fatal ! la feuille de score final est serrée avec 48 PV pour Mickaël et Thomas (ce dernier l’emportant pour un malheureux sou), Tristan 46, Dom 45 et Olive 32.

Table 3, dite « Cent fois sur le métier » : nouvelle partie une semaine après pour Ceux de ma tribu, le proto que Frank a entretemps retravaillé en exploitant les retours collectés. Bénéficiant cette fois des testeurs Vincent, Yona, et Elouan-2, il s’est déclaré mieux satisfait de l’équilibrage des cartes et d’ailleurs ce n’est pas lui qui l’emporte mais Vincent avec quelque chose comme 442 PV. Il (le jeu, pas Vincent) prendra très bientôt la route de Cannes, selon certaines sources proches de l’auteur.

Table 4, dite « Foire d’empoigne » : Gabriel fait partager son goût pour Chaos dans le vieux monde (qui ne traite ni de Brexit, ni de populisme ni même de grand débat) à Benjamin, Paul-Jr et Yann. Personne n’est venu briefer le rédacteur (voir table 5) donc nous n’écrirons rien de plus.

Table 5, dite « Supplice chinois » : ce n’est pas écrit à la table 2 mais Notre Dame est un jeu poids-moyen, la partie était terminée à 22:30. Nos joueurs ont encore faim de cubes (et de galettes suédoises à l’avoine, mais c’est une autre histoire) et se pose la question d’une seconde partie, et du sérieux siouplait. Gugong ? tout le monde est enthousiaste sauf VHN, seul sans expérience du jeu et réticent à se lancer dans l’apprentissage de nouvelles règles. Le groupe le ramène bon gré mal gré à la table où il reçoit les explications précises et complètes de Mickaël. Et les voila partis à cinq à échanger des présents avec des dignitaires impériaux corruptibles. Oui mais à cinq c’est long surtout quand ledit joueur novice revient une douzaine de fois avec des questions sur le grand canal et que, englué dans un mélange de fatigue, de concentration et de comptabilisation de meeples, ses tours s’allongent au point de mettre à rude épreuve la sérénité toute taoïste des ses compères. Et d’abandonner toute attention consacrée aux autres tables, d’où ce CR en partie laconique. Au dernier tour, le narrateur est sauvé par Olive qui remet en jeu une petite carte. Il achève ainsi de dégoûter ses collègues en finissant en tête avec 45 PV, 5 points devant Tristan et Thomas dans un mouchoir.

Table 6, dite « Hat trick » : un Vivien tardif se joint à la table 3 pour une partie de Munchkin qui apporte à Vincent sa quatrième victoire de la semaine.

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Séance de MARDI 12/02/2019 à Servel

Il y a 20 ans jour pour jour, la Banque du Japon abaissait ses taux à 0 %, rendant ainsi l’argent virtuellement gratuit dans l’une des plus grandes économies mondiales. L’Archipel luttait contre les conséquences de la crise asiatique, qui ont abouti à la « décennie perdue », marquée par une stagnation économique et une déflation. Au même moment, les taux aux Etats-Unis s’élevaient à 4,75 %. Le 12 février 1999 marque le début d’ une expérimentation financière hors du commun, qui a inspiré les autres grandes banques centrales. A peine deux ans après avoir testé les taux zéro, la Banque du Japon a lancé un programme de rachats d’actifs, connus sous le nom d’assouplissement quantitatif, et le bilan de la BoJ a explosé. Aujourd’hui, il représente 61,5% du PIB du pays. A l’aube du XXIe siècle, ces mesures visant à relâcher la tension sur les taux souverains et sur le yen ont été perçues comme extrêmes et uniquement applicables au Japon. Mais dans le sillage de la crise de 2008, confrontées à leur tour à la menace de déflation, la Fed et la Banque centrale européenne ont adopté les mêmes recettes. A la différence de la banque centrale américaine et de la BCE, la Banque du Japon est encore loin du moindre tour de vis monétaire, l’inflation étant toujours proche de 0. Dans l’Archipel, l’endettement atteint 230 % du PIB, la BoJ détient 43 % des emprunts de l’Etat nippon (mais aussi une part très significative du marché des actions), les taux des emprunts d’Etat à 10 ans sont toujours négatifs. Surtout, les prix ont à peine progressé en 20 ans, dans ce pays où une personne sur trois a plus de 60 ans. Tout ça pour ça ?

Godzilla prenant le contrôle de la BoJ

A Lannion, cette soirée prévue à 7 se transforma en plan à 4, trois participants déclarant forfait, crédités d’un 0 sur la feuille du concours. Mais pour les quatre qui restèrent, sous les hauts patronages de deux grands créateurs, Michael Kiesling (auteur de Vikings mais aussi Tikal, Azul, Le bien et le malt…), et Carl Chudyk (Innovation mais aussi La gloire de Rome, Red7), la soirée fut tout sauf nulle.

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Vikings

Table 1, dite « Zéro degré » : à Vikings on recrute des compagnons (orfèvres, pêcheurs, nobles, etc…) qu’on installe dans des îles au large des côtes, et qui sont sous la menace oppressante de drakkars menés par des hordes sauvages de vikings venus les attaquer. Le mécanisme de recrutement repose sur le principe d’une roue crantée avec des prix différents. Les mécanismes du jeu sont très subtils, voire déroutants s’agissant des guerriers pour le décompte final. La première partie, un chef-d’oeuvre de virtuosité ponctué par des scores stratosphériques et dans un mouchoir de poche (Vincent 52, VHS 51, Dom 48, Benjamin 46), nous donna envie de remettre le couvert. La table de marque fut moins homogène (Vincent 51, VHS 38, Dom 44, Benjamin 45), sauf pour Vincent, qui signa ici une double victoire de prestige. Zéro degré pour le climat nordique, mais certainement pas degré zéro pour ce jeu prometteur !

Table 2, dite « Un sacré numéro » : alors que Benjamin quitte les lieux, au détour d’une phrase je signale avoir amené Innovation, clin d’oeil à une annonce loufoque postée dans le forum de discussion de cette soirée. Aussitôt une lueur s’alluma dans les yeux de Dom, qui s’empressa de sauter sur l’occasion pour convertir un nouvel adepte ! Comme il l’expliqua à Vincent, Innovation combine deux caractéristiques uniques: aucune partie ne se ressemble, et rien n’est jamais perdu à ce jeu qui peut voir des rebondissements incroyables. Ce fut en tous cas une superbe partie, avec deux tournants: le premier au mitan du jeu, lorsque je souffle la domination 4 à Dom au terme d’un plan totalement machiavélique, et le second en toute fin du jeu où, alors que j’ai déjà 4 dominations, Vincent applique un effet qui me donne un énorme coup de boost sur mes ressources en décalant en haut une pile bleue longue comme le bras, ce qui me conduit à une victoire certaine avec une carte 10 imparable. Fait extrêmement rare, je termine la partie avec trois dominations hors des âges: Culture, Technologie, et Diplomatie et l’ensemble me résume assez bien – « c’est tout moi » conclus-je même sans trop de modestie !! Cette partie se termine sur le score de 2 (Dom) – 0 (Vincent) – 5 (Votre très Humble Serviteur) et, pour ceux qui ont connu les années 1980, cela nous rappelle un sacré numéro !

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Séance de VENDREDI 08/02/2019 à Servel

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Dmitri Ivanovitch Mendeleïev

En ce 8 février, Dmitri Ivanovitch Mendeleïev aurait eu 185 ans. Connu pour son travail sur la classification périodique des éléments, publiée en 1869 et également appelée « tableau de Mendeleïev », il démontra que les éléments chimiques pouvaient être arrangés selon un modèle qui permettait de prévoir les propriétés des éléments encore non découverts. Moins connue, une légende folklorique russe prétend que Mendeleïev serait « l’inventeur de la vodka » pour avoir déterminé le degré idéal d’alcool de la vodka à 38° – par la suite fixé à 40° pour faciliter le calcul de taxes sur l’alcool. Cette légende s’appuie entre autres sur le fait que Mendeleïev fut directeur du bureau des poids et des mesures de Saint-Pétersbourg et consacra sa thèse doctorale à la combinaison de l’alcool et de l’eau. Si l’histoire reste très populaire, elle est contredite par les faits, le degré alcoolique normalisé de la vodka à 40° ayant été introduit en Russie dès 1843 !

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A Lannion, une indéfinissable alchimie règne dans les soirées de Parties Civiles. Si toute classification de ses éléments est vaine, relevons cependant, le temps d’un soir le challenge d’associer les tables par affinitiés…

Table 1, dite « Alchimie parfaite » : deux valeureux aventuriers, Olivier et Sébastien, s’affrontent à Claustrophobia 1643. Cette histoire débute à Prague, le 23 mai 1618. Lors d’une réunion avec le roi Mathias 1er, Empereur du Saint-Empire et souverain de Bohême, des protestants sont défenestrés. Rarement négociations s’achevèrent si mal : si un monticule de purin sauve ces gens d’une mort certaine, l’agression allume la mèche d’un tonneau volatil. Ce tonneau mûr pour une guerre sanglante a un nom: l’Europe. 25 ans plus tard, un affrontement sanglant a lieu pour le contrôle d’une colonie humaine fondée sur les rives du Styx: la nouvelle-Jérusalem. Et nous voivi en 1643… Dans ce jeu de survie actique, l’un des joueurs dirige le groupe d’humains qui explore les lugubres couloirs infernaux et affronte un flot incessant de troglodytes, alors que son adversaire incarne les démons qui prennent d’assaut ces aventuriers. A l’issue d’une joute haletante, l’inattendu se produisit: une égalité scella l’alchimie parfaite enre les deux compères !

Table 2, dite « Semelles de plomb » : à la table de Scythe, quatre costauds venus du froid s’attaquèrent au petit Paul, vêtu de l’uniforme allemand. Leurs semelles de plomb résonnant sur le champ de bataille ne lui laissèrent aucune chance, et le benjamin sombra (4 PV, 0*) non sans une dernière attaque kamikaze sur la brute de Crimée (Jack), qui régla l’affaire (41, 6*). Les frères slaves Russe (Vincent, 28 PV, 4*) et Polonais (Xof, 29 PV, 3*) ne furent pas en reste pour faire parler la poudre, laissant à bonne distance Jeff-le-viking (15 PV, 2*).

Table 3, dite « Nickel chrome » : à Spirit Island une équipe soudée composée de la sainte-trinité Xel, François-René et Neox garde une île paradisiaque des humains l’ont découverte et s’y installent. A coups de tonnerre, d’inondations, de famines et d’autres subterfuges, ils ont réussi à chasser les envahisseurs, tout ceci en protégeant les tribus autochtones respectueuses de leurs dieux. Une victoire nickel chrome.

Table 4, dite « Le quatrième élément » : Tristan, Olive et Doc Nico réussissent enfin à jouer à Wildcatters en enrôlant l’indispensable quatrième élément: ce fut Mickaël. Une campagne d’excavation de l’or noir au très long cours s’ensuivit, dont nous suivrons la conclusion sur le forum. Une chose est sûre, la terre n’en sortit pas indemne.

La main finale de votre modeste chroniqueur lui rapporta 198 PV: 50+60+40+40+8

Table 5, dite « Laborantine » : Vivien, Dom et votre modeste narrateur jouent les cobayes de Frank pour tester le dernier opus de sa création, Ceux de ma tribu. Comme dans une expérience de laboratoire, ils ont soupesé chacune des options, commenté les choix de règles, et les PV des différentes combinaisons de ce jeu basé sur de subtils modèles probabilistes ! Nous avons aussi voyagé en paroles, de Cannes à Essen en passant par Parthenay, étirant jusqu’à la fin de soirée les 20 minutes théoriques de ce jeu moins petit qu’il n’en a l’air. Si le créateur du jeu l’emporta avec 650 à la tête d’une horde d’animaux, Dom se distingua sur les lieux avec 550, votre serviteur misa sur les ours, les prêtres et les groupes d’animaux (198), et Vivien (158) joua un peu – souvent à la place des autres – et commenta beaucoup. Si, dans le jeu comme dans le tourisme, ce n’est pas la destination qui importe, mais le voyage, cette table en fut la parfaite illustration.

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Séance de VENDREDI 01/02/2019 à Servel

Nouveau mois, nouveaux jeux.

Table 1, dite « Chewbaccienne » : les deux vétérans Xof (Empire) et Jack (Rébellion) s’affrontent à Star Wars Legion. Avec qui la Force fut-elle ?

Table 2, dite « Entraînante » : encore plus de m2 et de figurines pour l’équipe de Warhammer-40k, Baptiste, Julien, Vincent-Tempest et Steven. En mode entraînement en vue de tournois prochains. Chacun pour soi mais qui a triomphé ?

Table 3, dite « Aimé Jacquienne » : la Sherlock-team est de retour avec un changement noté sur la feuille de match (Camille à la place de François). Troisième soirée à explorer les enfilades labyrinthiques de Carlton House à l’occasion d’une soirée mondaine. Oui mais le bling-bling des ultra-riches (inviter Beyoncé à se produire au bal de début de sa grande fille, on n’a pas idée !) leur a joué des tours et il nous incomba de faire la lumière sur cette triste soirée.

On retiendra que le collectif, prenant des notes sur son petit carnet, plus discipliné que la fois précédente mais toujours dans une joyeuse ambiance, a bien assuré. Des contributions diverses alliées à la mémoire du groupe ont permis de reconstituer avec précision l’affaire principale, à l’exception d’une erreur de personne faute d’une analyse suffisamment poussée de la liste des invités (ben oui, avec à la table une pleureuse castratrice qui chouine sur le coût de chaque visite…). Et pour la suite il faudra aussi éviter de voir des Sherlocks partout ! Mais avec 55 points, l’équipe rentre au vestiaire la tête haute.

Table 4, dite « Indigeste » : Tristan, Olive et DocNico voulaient jouer à Wildcatters mais ils n’étaient que trois, ils jouèrent donc à Yokohama. Le Doc s’avère un peu trop gourmand : en hôte accompli, il préfère faire visiter les diverses possibilités du jeu plutôt que précipiter la fin de la partie. Mal lui en prend, Tristan en profite pour se glisser devant au tableau des points. Celui là, il faut toujours le surveiller comme le lait sur le feu.

Table 5, dite « Emerveillée » : quelques addicts du Kickstarter, Nicolas-le-Président, Mickaël et OlivierL, découvrent ensemble et avec ravissement une livraison récente, Claustrophobia 1643. Ils arrivent même à le transformer en jeu à trois. Nous feront-ils connaître comment finit leur soirée ?

Table 6, dite « Initiatique » : Nicolas-2 emmène Vivien et Yann (un nouveau venu) voir les merveilles de 7 Wonders. Il sont suffisamment enchantés pour rejouer immédiatement, avec successivement N2 puis Yann au Panthéon.

Table 7, dite « Mordante » : une petite dernière nocturne pour F-R, Nourdine, ThomasC et ??? qui doivent protéger les pom-pom girls de Zombie Bus (présenté comme « un jeu coopératif avec un gagnant »).

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L’hiver en fête SAMEDI 26 et DIMANCHE 27/01/2019 à Ste-Anne

Ce week-end, dans l’espace prestigieux de la salle d’animation de l’espace Ste-Anne, Parties Civiles organisait (avec nos amis de la Ludo le samedi) deux après-midis ludiques dans le cadre de l’hiver en fête. Petits et grands Lannionais s’y sont retrouvés autour de tables de Kingdomino, King of Tokyo, Hanabi, Azul, Snow Time, les Aventuriers du rail ou encore Splendor, sans oublier un final homérique à Innovation (victoire 6-4 de Dom face à votre serviteur).

Merci aux gentils organisateurs, aux vaillants animateurs de tables, aux costauds manutentionnaires, aux élégants modèles (qui ont posé pour la photo, pas celle ci-dessous mais une autre que vous trouverez dans un vrai journal), et enfin, à tous les dociles cobayes qui se sont prêtés au jeu: il vous le rend bien !