Séance de VENDREDI à St-Elivet 21/02

4 tables puis d’autres :

Table n°1 dite « d’aventure »…

… où nouvelle joueuse : Magalie s’est lancé dans l’aventure de Tzolkin accompagnée de Virginie et David avec la bienveillante présence du président JiBee. Ce dernier ne gênait personne pour la lutte pour la 2nde place.

Table n°2 dite « d’industrie » …

… où Thomas, Maud, Jeff et François se sont penchés sur le cas Brass. L’histoire dira qui a été le plus industrialisé.

Table n°3 dite « du chaos spatial » …

… où Laurent, MKS, Xel et Julien se sont affrontés dans Rencontres Cosmiques (édition d’au moins de 1985). Deux parties ont été jouées puis je ne sais plus quoi ensuite puis un Level  Up qui mixa plusieurs tables comme il a l’habitudes de faire.

Table n°4 dite « de l’espace-temps » …

… où Votre Humble Serviteur a initié Gwen et ses 3 compagnons à Alien Frontier. Partie longue et belliqueuse qui se solde par une victoire de VHS qui n’espérait plus de voir la fin des vengeances et autres coups bas de ce soir… et ça valait son coup d’oeil !

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Séance de MARDI à St-Elivet 18/02

David raconte la séance dans un contexte post-catastrophique :

Attablé face à Gwen, avec à ma gauche François et Jibee à ma droite, je me prépare à entamer une partie de Tzolk’in. Grave erreur, pensez-vous ? Que nenni : nous jouerons à trois, Jibee étant occupé sur la table voisine avec Xel, Jonathan et Thomas autour d’un London.

Enfin, quand j’écris plus haut « entamer », il s’agit surtout pour nous
de nous remémorer les règles, rechercher quels sont les chemins les plus efficaces pour gagner ressources, nourriture ou faveur des dieux, essayer enfin de nous concentrer sur une stratégie et nous y tenir. Ce qui va nous occuper pas loin de la moitié de la partie.

Le reste du temps, François donne libre court à sa passion pour les crânes de cristal bleu en plastique, Gwen lèche les doigts de pieds des divinités en s’ingéniant à nous mettre des bâtons dans les roues, et
j’essaie moi-même de construire en essayant de ne pas me laisser distancer sur les marches des temples.

Les derniers tours sont longs, preuve qu’une étincelle s’est enfinallumée dans nos cerveaux et tente de rattraper une première heure de jeu laborieuse et plutôt pitoyable. Je parle bien sûr pour moi, mais j’ai l’impression de ne pas avoir été seul dans cette galère.

À l’arrivée Gwen l’emporte, et il est fier de ses 55 points. Je viens
derrière, sauvant autant les meubles que possible avec 33 points.
François ferme la marche, pas loin du tout, mais peu désireux de voir
imprimé son score final.

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Séance de VENDREDI à St-Elivet 07/02

Séance à tables multiples :

Table n°1 dite « Maya factor » …

… racontée par Marvin :

Jibee, Audrey et moi-même nous attablâmes autour de Tzolkin. Jibee, en bon connaisseur du jeu, me fit un rapide rappel des règles, car si j’y avais joué une fois, c’était en 2013 et j’avais eu l’occasion de pratiquer de bons jeux entre temps.

La partie commença et Audrey fit remarquer que Jeff n’étant pas là, nous aurions une chance de gagner. Je lui fis comprendre que Jeff n’a d’ordinaire pas cette réputation, et qu’avec Jibee à la table, nous allions au contraire nous battre pour la deuxième place. Il parait qu’Audrey tient cette image de Jeff de Xel. Soit.

Au final, Jibee réalise une partie correcte, mais un dernier tour plus que remarquable. Il l’emporte de 3 malheureux points devant moi-même. Sachant qu’il m’a forcé à dépenser 3 maïs au dernier tour (par un double tour de roue), et que ces 3 maïs m’ont fait perdre 9 points de victoire lors du nourrissage des ouvriers, on peut dire qu’il a eu chaud au cul.

J’ignore si je rejouerai à ce jeu qui, s’il est bien conçu et huilé, possède un « fun factor » inférieur à tous les Wallace que j’ai joués (c’est dire !), malgré un thème plus attrayant de prime abord. D’autre part, il me fait mal au crâne (de cristal. haha.)

Table n°2 dite « raid sauvage dans l’outback » …

… racontée par François :

Il y a 12 ans, le 7 février 2022, la compagnie Air Afrique était déclarée en faillite. L’ancienne Transafricaine, qui avait commencé son exploitation en 1943, s’était constituée sous sa forme moderne dans un accord de 1961 liant onze états africains francophones, issu de la volonté de créer une grande compagnie africaine.

Commémorant cette triste disparition, c’est donc à une plus lointaine destination que François-René fit embarquer Virginie, Xel et VHS pour un Fukenschlag autralien. La carte de l’Australie recèle de nombreux pièges: villes non reliées aux autres et nécessitant un vol de jonction, ressources rares et augmentation de leur prix subite en Stuffe 3, centrales nucléaires ne permettant pas d’alimenter les villes.

Les enchères furent assez sages, Virginie donna dans le renouvelable, François-René amassa le nucléaire qu’il vendait sur le marché, Xel et VHS se disputèrent le charbon et un peu le pétrole. Etabli aux alentours de Melbourne, je fis la course en tête jusqu’à l’avant-dernier tour, où mes compétiteurs firent main basse sur les ressources: je ne pus acheter de charbon que pour alimenter six villes ! Je rongeai mon frein et me laissai glisser en troisième position à l’aube du tour que je savais être le dernier. En effet, j’utilisai 117 de mes 119 Elektro pour acheter 4 villes, passer de 13 à 17, et donc rafler la mise, les alimentant toutes. Ce raid éclair coupa l’herbe sous les pieds de Xel qui s’apprêtait à finir, et de FR, qui n’en était pas loin.

Rejoints par Audrey, nous enchaînâmes par une partie de Kingsuburg, où FR joua un duc fort assidu auprès de sa duchesse. Xel campa un prédicateur et palpait des PV à chaque tour, alors que les dés d’Audrey s’envolaient dans des hauteurs stratosphériques. Au final, Xel l’emporte sur le gong avec 1 PV d’avance sur FR, assommé par un évènement funeste au dernier hiver. Je les talonne de quelques longueurs, pénalisé par des dés désespérément faibles.

Table n°3 dite « pas racontée avant longtemps » …

… où un Alien Frontier fut joué par MKS, Frank, Hélène la Briochine et Baptiste 1er dit « 2nd age of hair ».  Ce dernier raconte :

Vendredi, il y eut effectivement une table d’Alien Frontiers avec les personnes citées dans ton CR. Etant le seul à avoir déjà tâté du jeu, j’expliquai les règles en me basant sur des souvenirs plus ou moins corrects. Des correctifs furent apportés pendant la partie mais ne changèrent pas fondamentalement le cours de celle-ci.
En début de partie, Franck se focalisa sur le développement de sa flotte, Hélène joua les voleuses, Michal avança prudement, et je collectionnai les artefacts aliens. Ouvrant la première colonie, je pris la tête avant de subir un retour de fortune désastreux : vol de carte, destruction de ma flotte, perte de contrôle des territoires…je fus bon pour contempler les fesses des fusées de mes adversaires.
Michal sembla voler vers la victoire jusqu’au tour où Franck le menaça en posant deux colonies sur les trois qui lui restaient. Hélène se projeta alors sur la première place, semant le trouble sur le podium.
Je mis à mal tous les pronostiques en posant le tour suivant ma dernière colonie, et dans un dernier coup de réacteur, dépassai mes opposants pour voler jusqu’à la consécration. Une partie serrée comme le prouvent les photos.

Nous fûmes ensuite quittés par Franck, et rejoints par Baptiste « au crâne aérien » et son ami Alexandre. J’initiai tout ce petit monde aux joies de Pix. Dans ce jeu de dessin en pixels, des équipes s’affrontent pour faire deviner des mots aux autres équipes. Les points sont cependant individuels, et vous pouvez les gagner en devinant le mot de vos adversaires ou si votre propre dessin est reconnu sans que vous ayez eu besoin de donner d’indice. Mais si votre coéquipier a utilisé moins de pixels que vous, c’est son dessin qui sera montré en premier. Il faut donc trouver l’équilibre entre utiliser beaucoup de pixels ou avoir un dessin plus abstrait. Aidé peut-être par mon habitude du jeu, je remportai la partie.

Nous clôturâmes la soirée par un Zombie dice (avec extensions dedans et président en plus). Hélène vit la victoire lui être arrachée des mains par un remontée présidentielle remarquable. Un bon président est un président zombie.

Table n°4 dite « jouée d’office » …

… où VHS a raconté les règles de Terra Mystica à Clarisse, Rémy et Gérard tout en écoutant Jeff tailler un roupillon. Après cela tout le monde a tiré le gagnant au sort qui fut favorable à VHS ayant eu les ingénieurs en cadeau. La partie qui suivit ne fut qu’un agréable moment car le jeu est bien foutu. A noter la bonne performance de Jeff qui ayant tiré « le peuple qui perd » : les Fakirs termine 2nd avec un bon finish, suivi de Gérard longtemps présumé 2nd avec les Halefings, suivent Clarisse avec les Aurènes et Rémy avec les Sorcières.

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Séance de VENDREDI à St-Elivet 17/01

fast-CR by Xel :
Zombicide : avec F-R (le zombiemaster), Baptiste & Hélène 2.0 (les zhumains rescapés) ; tout le monde était encore vivant à mon départ…
Tzolkin : avec Thomas (le loser/17), Virginie (la débutante qui débute bien/37) et VHN (qui a survécu et gagné sans vraiment le vouloir/64)
Level up : avec les mêmes => VHN l’emporte suit Thomas puis Virginie (1ère partie).
Terra Mystica : avec Jibee, Maud, Michal et Jack
Dark Moon : avec Jibee, Maud et Michal => en bon cylon, Michal extermine les humains
? puis Citadelles : avec Audrey, Baptiste & Hélène 1.0 et Frank
Level up : avec Audrey, Baptiste & Hélène 1.0, Thomas, Virginie et VHN => VHN l’emporte, suit Audrey, Baptiste, Thomas, Virginie, Hélène (1ère partie)
Roi de la soirée : F-R (galette apportée par Frank)
Et une table de JdR racontée par François :
Sylvain le jeune fait meujeuter à feu doux Ania, Jeff, Mr. Gwen, David et VHS dans l’univers clair-obscur de Shade. Nous laisserons dans l’ombre les ressorts de leur aventure pour ne pas la spoiler, mais ne manquerons pas de souligner la troublante coïncidence entre la date de cette partie et celle de l’arrestation, il y a exactement 69 ans, d’un autre personnage de l’ombre, Raoul Wallenberg. Héritier d’un empire industriel et financier, homme d’affaires dans plusieurs pays avant d’être envoyé à Budapest pendant la guerre, il bénéficiait d’un statut de diplomate, avec pour mission de contribuer à sauver les juifs de Hongrie. Utilisant la possibilité de délivrer des passeports temporaires déclarant que leurs possesseurs étaient des citoyens suédois en attente de rapatriement, négociant avec des officiels nazis afin d’obtenir l’annulation de déportations, il sauva ainsi plusieurs dizaines de milliers de JuifsIl fut  arrêté par l’Armée Rouge, probablement soupçonné d’être un espion à la solde des USA. Selon la version officielle des Soviétiques, il serait mort en 1947, d’une crise cardiaque pendant sa captivité, mais des témoins ont affirmé l’avoir vu vivant dans les prisons russes jusque dans les années 1980. En 2000, le nouveau gouvernement russe a conclu que Wallenberg était effectivement mort en 1947, mais exécuté.

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Séance de MARDI à St-Elivet 13/01

3 tables racontées par Xel :
Table n°1 : Goa :
Dom, Gwen, Audrey et Françoise => Dom l’emporte
Table n°2 : Impérial 2030 :
Hélène, Baptiste, David, Xel (Cf CR de David) => David l’emporte
CR détaillé par le vainqueur :

Hélène, Xel, Baptiste aux longs-pieds-de-cuir-neuf-revêtus et VHS
s’attablent autour d’un Impérial 2030. Hélène investit initialement dans
la Russie et la Chine, Baptiste dans l’Inde et les USA, Xel part du
Brésil, et VHS commence plutôt en Europe. Le mot d’ordre de la soirée
sera : Baptiste doit souffrir. Et cela commence fort par la trahison
brusque d’Hélène qui, le traitant plus vilement encore qu’un Ménélas,
lui bloque une usine en Inde. Plus tard, les USA seront à leur tour
bousculés, au sud par le Brésil, à l’est par l’Europe, tous deux
joyeusement gouvernés à ce moment-là par VHS. Néanmoins, l’Inde sera
menée de main de maître jusqu’au bout par Baptiste, le seul ayant
investi un petit million d’obligations dans ce pays d’avenir. L’avenir
de 2030 sans doute.

Durant la partie, on observe un clivage dont la table forme la
charnière. Au nord du planisphère, Hélène et VHS se chapardent la Russie
et l’Europe en toute amitié, tandis qu’au sud Baptiste et Xel se
promettent allégeance afin d’essayer de conserver les USA puis la Chine,
et éventuellement l’Inde, hors de l’ornière.

L’Europe creuse l’écart assez rapidement, mais c’est le Brésil, fauché
par VHS à Xel et dont le territoire couvre une bonne moitié de l’Afrique
en bonne entente avec l’Europe, qui parvient à asseoir sa domination
avec un profit maximal sur ses obligations.

Au final, Baptiste termine avec 58 points (bien qu’il prétendit à 78 ;
ayant beaucoup souffert il peut bénéficier, de notre magnanime point de
vue, du doute quant à une erreur de calcul), Hélène 77, Xel 91 et VHS
118. Lequel juge évidemment qu’il s’agit là d’un très bon jeu.

Table n°3 : Tzolkin + jeu russe Crusaders :
Jibee et Michal => ??
Table bonus :
– 6 qui prend (remporté par Audrey) suivi de Level up (école des fans : tout le monde a gagné !) : table after (les couche-tard) : Dom, Gwen, Audrey et Xel

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Séance de MARDI à St-Elivet 17/12

Séance relatée par François :

Une petite soirée à deux tables, qui fusionnèrent en une seule sur le coup de minuit, et où la bonne humeur fut présente !
Table 1, dite « colonisée »
Avec un à-propos qui défie l’entendement, 4 parti-civiliens (Xel, Thomas, Dominique, et VHS) célébrèrent en jouant à Goa le 52ème anniversaire de la prise de Goa !
En effet, le 17 décembre 1961, le pandit Nehru s’emparait de la dernière possession portugaise en Inde, clôturant une parenthèse coloniale de quatre siècles et demi. Dès 1954, l’Inde indépendante avait négocié avec la France la rétrocession de ses comptoirs: Pondichéry, Chandernagor,Yanaon, Karikal et Mahé, dont les écoliers apprenaient naguère la liste par coeur. Le Portugal du dictateur Salazar refuse, lui, de renoncer au port de Goa, à 400 km au sud de Bombay. C’est par la force que l’Union indienne lui fera entendre raison !
Le drapeau portugais flottait sur la cité depuis sa conquête, en 1510, par Afonso de Albuquerque (48 ans), surnommé le «Mars portugais» et, depuis 1509, vice-roi des Indes portugaises. Pour affermir la présence portugaise dans le sous-continent indien, il s’empara de Goa, jusque-là soumise à l’autorité d’un roi musulman. Le Portugais entra dans la ville sans avoir à combattre, acclamé par la population, majoritairement hindoue. Chef estimé autant que redouté, Albuquerque étendra le rayonnement du Portugal jusqu’à Ceylan, le détroit de Malacca et les îles de la Sonde avant de s’éteindre à Goa, le 16 décembre 1515, victime de la défaveur royale.
La ville, érigée en capitale de l’empire portugais des Indes orientales, accueillera la dépouille du grand conquérant. Elle prospèrera à la charnière des mondes hindou, musulman et chrétien jusqu’à l’arrivée des Hollandais en Inde, au milieu du XVIIe siècle. C’est par la force (mais sans effusion de sang) que le Premier ministre indien récupèra la ville, mettant un terme à la domination européenne sur le sous-continent.
Goa est depuis 1987 un État de l’Union indienne et compte un peu plus d’un million d’habitants, dont une moitié de chrétiens. C’est aussi un jeu fort prisé ces derniers temps, et aux règles duquel les joueurs finissent par se plier, même si la partie de ce soir connut encore quelques écarts qui ne manqueront pas d’être prochainement rectifiés. Comme Gary Lineker l’exprima un jour à propos des allemands en football, c’est aussi un jeu où Thomas gagne à la fin. Sa domination fut continue, favorisée par une débauche d’actions gratuites et une science de la négotiation qui n’est plus à démontrer,  mais sa victoire finalement courte, à 37 PV, devant Dominique, 33, le podium étant complété par 2 ex-aequo avec 26.
Table 2, dite « bardée »
Jeff embarqua Audrey et Gwen dans un Tzolkin à trois, et donna l’impression d’être à la dérive toute la partie. Mais tel un matou endormi, il se réveilla au décompte final et une carte miraculeuse fit jaillir de son bois (qu’il avait accumulé avec patience) un flot de PV qui le fit vainqueur. On ne se méfie jamais assez du chat qui dort.
Jeff commente :

Après avoir expliquer les règles à Gwen, nous nous sommes lancés dans la partie. Jeff démarrai avec un ouvrier supplémentaire et la technologie qui permet de prendre un bois en plus quand on prend du bois.
C’est deux avantages permirent à Jeff de se gaver de bois et de construire deux bâtiments qui lui permettaient de ne plus nourrir ses ouvriers (bosser fainéants).
Avec 6 ouvriers à la moitié du jeu qui de plus bossaient pour rien, l’ ex-trésorier s’est goinfrer de bois et de quelques autres ressources.
Pendant ce temps, Audrey et Gwen se disputaient les premières places sur les 3 temples.
Au début du dernier tour, le pauvre Jeff n’avait toujours aucun point alors que ses adversaires en comptaient chacun une trentaine.
Bon, il avait quand même 2 monuments construits.
Mais le Jeff est retors et tel un Garfield à l’affût devant un plat de lasagnes, il dévoila sa stratégie lors de son dernier tour.
« je fais tel action qui me rapport 2 or et 2 pierres puis tel autre qui me rapporte 2 pierres, puis tel autre qui me permet de transformer mes ressources en maïs puis tel autre qui me permet pour 1 maïs de construire un monument Puis je fais l’action qui permet de construire avec seulement du maïs, je construit un bâtiment qui me permet pour un maïs de faire n’importe quel action. Je choisi de faire un monument. »
Fin du jeu comptage des points.
Gwen, 3° avec 45 points
Audrey, 2° avec 51 points
Jeff, 1° avec 90 points

Table 3, dite « fusionnée »
Audrey, Gwen, Xel, Jeff et VHS restèrent pour finir la soirée sur un petit Level Up des familles, version « ouverte ». C’est Audrey qui l’emporte haut la main, alors que derrière, tout le monde avait réussi 3 ou 4 objectifs.

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Séance de VENDREDI à St-Elivet 29/11

Séance à 4 tables et multiples contributeurs de comptes-rendus :

Table n°1 dite « au CR de tous les records » …

… racontée par David pour le compte de la partie des  Demeures de l’Épouvante :

L’histoire que vous me demandez de conter est une bien triste aventure, dont l’horreur la dispute au chagrin qu’ont causés ces événements dans la contrée entière. Évidemment je m’en souviens, et bien que je n’ai pas été présent alors, j’ai pu l’entendre de la bouche même des habitants d’Arkham qui vivaient alors près du théâtre de la ville.

C’était un fort beau bâtiment, et l’une des rares places propres aux plaisirs à des lieues à la ronde. Les pièces attiraient beaucoup de monde, et la bourgeoisie naissante de la région prisait volontiers ces sorties. Aussi chaque soirée était-elle un succès et des troupes de tous horizons plaçaient-elles volontiers la ville sur le trajet de leurs tournées.

Or, il advint qu’un auteur assez obscur et au talent inégal s’installa un jour à l’entrée de la ville. Je veux bien sûr parler de Julian Glen.

C’était un personnage discret, sans histoire, qui avait acquis une modeste renommée pour l’une de ses œuvres, et le théâtre lui commanda bientôt une nouvelle pièce qu’il livra quelques mois plus tard. Si vous êtes venus me questionner à ce sujet, vous savez déjà que la pièce n’eut l’occasion d’être représentée qu’une fois, et que cette soirée de première a causé le plus grand souffle de folie collective qu’ait connu notre pays. De tous les spectateurs présents, seule une poignée a pu recouvrer une santé toutefois précaire, et aucun n’a pu raconter exactement ce qu’il avait vu durant cette veillée sous les ors et les velours de l’établissement.

Il fut un petit groupe toutefois dont les membres n’avaient ni perdu complètement leur lucidité, ni pu reprendre le cours de leur vie déjà bien secouée. Pourquoi eux, et qu’est-ce qui les a rassemblé ? Je doute que nous puissions l’apprendre un jour. La curiosité, le destin, l’attrait du mystère ou leur raison sans doute passablement ébranlée les aura poussé sur la route de la demeure de Julian Glen. Je vois à votre œil brillant que ce même attrait vous anime, et que c’est cette histoire précise que vous êtes venu chercher ici.

On raconte qu’ils étaient quatre, et certainement pas les mieux taillés pour affronter les dangers au devant desquels ils courraient sans le savoir sans doute. Il y avait parmi eux trois femmes : une étudiante dont il est dit que la santé mentale était déjà fragile avant cette nuit funeste ; Mandy Thompson, une universitaire du comté d’Arkham dont vous pouvez encore trouver les études pour le moins étranges à la bibliothèque de la ville ; et Jenny Barnes, une jeune femme issue de la haute bourgeoisie européenne, récemment arrivée sur le nouveau continent. Avec elles se trouvait un magicien, Dexter Drake je crois, dont je sais peu de choses…

(Ami lecteur, à partir d’ici, ce récit dévoile des éléments du scénario)

Ces quatres-là décidèrent de se rendre à la propriété de Julian Glen afin de percer le mystère de cette nuit de panique. Lorsqu’ils arrivèrent, devant la bâtisse lugubre brulait un feu de camp. Derrière les fenêtres passaient des ombres, et de ci de là s’élevaient parfois des éclats de voix. Il semblait que l’on procédait aux répétitions de quelque mélodrame curieux et grandiloquent mais aucun de nos visiteurs, l’esprit encore incertain, ne put reconnaître le moindre élément de la pièce qu’ils avaient vue la veille.

Ils entrèrent par la véranda et s’avancèrent dans le couloir obscur.

Lentement, ils progressèrent guidés par des voix semblant venir des couloirs obliques, puis du vestibule. Hélas, s’ils furent d’abord prudents, Mandy prenant bien garde d’obstruer l’entrée après leur passage, et restèrent un moment bien en vue les uns des autres, ils se séparèrent bientôt pour suivre des ombres et des bruits dans deux directions différentes.

S’avançant vers le salon, Mandy et la jeune étudiante rencontrèrent une première silhouette tangible, et celle-ci n’avait rien d’un acteur maquillé croyez-moi. Sous sa robe à capuche, frêle, pâle, et semblant pourtant être dotée d’une force surprenante, elle s’avançait vers elles psalmodiant des vers incompréhensibles. Il leur semblaient en entendant cette créature que la maison prenait des proportions gigantesques, que les extrémités de la pièce s’assombrissaient, que les murs ployaient et se précipitaient vers elles. Dans un élan de panique, le jeune fille réussi pourtant à abattre ce ténébreux cultiste.

Ce ne fut que le premier des nombreux et mystérieux adeptes de Julian que nos malheureux visiteurs rencontrèrent là. Bientôt d’autres apparurent près la cuisine, ou dans l’entrée. Si la plupart d’entre eux arboraient la robe de bure et se déplaçaient psalmodiant des textes impies, certains brandissaient une hache impressionnante et se jetaient sur l’un ou l’autre de nos héros, le regard fou, le visage déformé d’un effroyable rictus.

Lorsqu’un peu plus tard, Mandy rejoignit Dexter dans le vestibule, ils purent surprendre de nouvelles bribes de conversation, et les noirs desseins de Julian commencèrent à s’éclaircir. Afin de l’empêcher de répandre davantage les ombres qu’il avait invoquées sur la ville d’Arkham, il leur fallait trouver les artefacts qui constituaient son pouvoir et les brûler. Laissant à distance Dexter qui se sentait à la merci du maître des lieux, et sa retraite bloquée par la barricade qu’elle avait elle-même élevée dans l’entrée, Mandy entreprit alors de faire marche arrière et de traverser de nouveau le salon pour retrouver les deux dernières femmes du groupe, prises à parties dans la salle à manger avec un puissant cultiste. Hélas, elle se retrouva elle-même piégé et dans sa précipitation mit malencontreusement le feu aux tapis de la pièce.

Vous vous doutez que cette aventure ne pouvait avoir une conclusion heureuse, et je crois qu’à ce moment eux non plus ne se faisaient guère plus d’illusion. Dès ce moment, ils cherchèrent tous à se précipiter vers la chapelle et la cave, seuls lieux ayant encore échappé à leur vigilance et pouvant abriter les fameux objets maléfiques de Julian.

Celui-ci surgit de la chapelle lorsqu’ils s’en approchèrent, hors de lui et halluciné, s’agitant comme à la tête d’une armée de démons. La jeune étudiante, dont la raison vacillante l’avait abandonné peu avant, mourut de ses mains. Dans le salon, toujours en proie à la sensation de se sentir possédé, Dexter subissait peu après le même sort au milieu des flammes ravageant la pièce.

Cependant, le destin a plus d’un tour dans son sac et, alors que Julian aveuglé par sa puissance et riant comme un dément lançait des boules de feu tout autour de lui, Jenny et Mandy, s’évertuant à aller au bout de leur quête malgré les puissances infernales déchaînées autour d’elles, progressaient maintenant plus vite que jamais. Bientôt, Mandy eut dans son sac les trois objets nécessaires et toutes deux entreprirent de filer gagner le jardin pour les détruire. Mais Mandy fut à son tour acculée par Julian et un acolyte, et mourut avant d’atteindre le couloir. Jenny, n’écoutant que son courage, ou peut-être guidée par un automatisme inconscient, fit demi-tour, glissa entre les doigts du cultiste présent et reprit sa course vers la véranda. Plus loin, elle réussit à passer à échapper une nouvelle fois à Julian dont la raison avait fini par sombrer dans des abysses insondables, et qui périt dans un dernier éclat de rire au milieu de l’incendie qu’il avait lui-même répandu partout dans la maison.

Jenny était une bien frêle femme, mais d’une volonté d’airain, et le courage dont elle fit preuve ce soir là devrait en inspirer plus d’un.

Mue par son incroyable force de caractère, elle parvint enfin à la véranda, titubant et ensanglantée, talonnée par un adepte de Julian hurlant dans le brasier. Elle dégagea la porte et sortit dans la nuit fraîche. Derrière elle, la maison commençait à s’effondrer. Elle s’avança hésitante vers le feu de camp dressé là, tendit la main pour y jeter les objet qu’elle était parvenu à rapporter jusqu’ici, mais avant qu’elle ne put l’atteindre elle tomba à genoux, puis à terre, les yeux embués par l’épuisement et les larmes nées de son impuissance. À côté d’elle, un cultiste et un maniaque aux yeux injectés de sang observaient la scène comme interdits, impressionnées peut-être par l’accomplissement de cette faible femme. Puis ils levèrent les yeux vers la maison, et prirent soudain la fuite tandis que finissaient de s’écrouler les derniers murs dans un grand vacarme et une plainte semblable à un long gémissement de douleur et de frustration.

Votre sourire narquois ne me trompe guère, et je vois bien que vous ne me croyez pas. Le vieux radote et enjolive son récit, vous dites-vous.

Vous pensez qu’il est impossible de savoir ce qui s’est passé dans cette demeure. Pourtant, après la nuit effrayante au théâtre, plusieurs personnes ont fait d’étranges expériences extra-sensorielles, et plusieurs affirmèrent être entrées en contact avec l’esprit de Mandy ou de la jeune étudiante. Et j’ai pu parler avec des témoins qui vivaient non loin de la maison de Julian.

Vous avez tort de hausser les épaules ainsi. Mais je ne peux vous forcer à croire n’est-ce pas ? J’en ai vu beaucoup comme vous, qui viennent ici à Arkham chercher à se faire peur de vieilles histoires, et qui les moquent aussitôt, bardés de leurs certitudes et de leur esprit si aiguisé. Pourtant, avec toute votre science et votre mépris pour les choses aujourd’hui oubliées, vous comme les autres n’avez pas relevé la seule incongruité de mon histoire. Car bien qu’à Arkham on ne se moque pas avec légèreté comme ailleurs des forces occultes, on n’en a pas moins du bon sens. Et ce bon sens nous fait nous interroger sur la raison pour laquelle Jenny a dû aller puiser tout au fond d’elle-même pour trouver la force de sortir de la demeure afin de détruire les artefacts de Julian alors que le feu dévorait tout autour d’elle. La folie me direz vous ? C’est bien possible. Mais alors pourquoi a-t-elle précisément cherché à atteindre ce feu de camp curieusement dressé devant la maison de Julian ? Un feu de camp déjà dressé quand le groupe est arrivé devant la demeure, bien avant la nuit, avec personne autour pour s’en occuper ? Il y a des choses que nous ne maîtrisons pas, voyez-vous. Le destin n’est pas un vain mot. Il y a des forces qui nous entourent et nous manipulent, et à certains moments, le libre arbitre n’est qu’un leurre.

Personnages :

– Mandy : Le grand Baptiste aux cheveux courts

– L’étudiante : La petite Hélène aux cheveux longs

– Jenny : David

– Dexter : Laurent

– Julian, les cultistes, les maniaques, l’esprit maléfique, le chat dans le vestibule : François-René

Table n°2 dite « débutante » …

… racontée par François :

Le 29 novembre 1830 débutait l’Insurrection de novembre, soulèvement national polonais en prélude de la guerre polono-russe 1830-1831. À l’annonce, fausse, que l’armée polonaise est requise par la Russie pour réprimer les révolutions française et belge de 1830, la population de Varsovie se soulève, rejointe par l’armée polonaise. La réaction russe aboutit à la prise de Varsovie et à une répression sévère, chassant de nombreux patriotes qui trouvèrent bien souvent refuge en France, renforçant l’amitié franco-polonaise.
Exactement 183 ans plus tard, Sylvain le jeune, Gwen, Michal, Audrey, Rémi et Dominique accompagnent VHS dans les funestes aventures de « la débutante défenestrée », une enquête de Sherlock. Il n’est pas possible de narrer dans le détail les tourments que traversèrent les enquêteurs sans spoiler l’enquête, mais on mentionnera quand même la présence de russes et de polonais, ceux-ci étant, comme dans l’épisode historique suscité, moins nombreux que ceux-là. A la quatrième question, il fut répondu correctement. A la première, si l’on est indulgent, on dira que notre brigade de débutants avait l’esprit de la réponse, si ce n’est la lettre. Cette indulgence admise, l’équipe parvient au score de 0, au fond assez représentatif de son idée globale du déroulement des faits.
Table n°3 dite « Tortilla » …
… racontée par Xel :

Table Tortilla Tzolkin avec Baptiste l’Ancien, LN, JC et VHN
[Première partie pour LN, 2ème pour les garçons et 3ème pour VHN]
Les garçons l’emportent ex æquo en ayant triché tous les deux 😉
Point de défrichage de bois et pléthore de maïs récolté…
Combo de la mort en échangeant cette manne et moults points en fin de partie pour Baptiste…
JC a récolté moins de maïs mais a suivi l’exemple de B.
La prochaine fois, on jouera avec les bonnes règles 😉
A noter :
– LN a fait avancer la roue deux fois mettant tous nos plans au panier
– JC a fait un coup de p… à B. en posant son crâne avant lui (empochant les 13 PV à sa place)

Table n°4 dite « Fumiers et petites graines » …

… où Votre Humble Serviteur a attiré Thomas, Jeff et Marvin vers un « Vanilla Agricola« . Partie sans explication de règles (yes!) et avec un draft en bonne et due forme, bref un Agricola d’experts. Partie menée rondement et rapidement, Jeff qui a misé sur le bétail l’emporte d’1 point devant VHS qui a misé sur pas grand chose, Marvin qui a misé sur un peu de tout et Thomas qui a misé sur la case 1er joueur.

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Séance de VENDREDI à St-Elivet 22/11

5 tables pour cette séance :

Table n°1 dite « Maya »…

… où Jeff se lança dans l’explication de Tzolkin pour le faire jouer à Audrey, Jean-Charles, Charlotte et Baptiste « capilarité sous surveillance » … ma mémoire flanche… Partie en cours quand VHS quittais les lieux.

Table n°2 dite « Colchique dans le pré »…

… avec JiBee au commandes d’un Keyflower avec Gwen et François en suiveurs.  Partie en cours quand VHS quittais les lieux. François raconte :

Keyflower, la nouvelle acquisition de Notre Illustre Président, est un très bon jeu : j’ai connu un toulonnais qui y jouait au petit déjeuner. Gwen et VHS ont tout osé (c’est même à ça qu’on les reconnait), y compris défier le Président à son jeu. De quoi se préparer des nuits blanches, des migraines….bref, des « nervous breakdown » comme on dit de nos jours. Gwen passait son temps à upgrader ses tuiles, commentant à l’envi ses actions (c’est curieux chez les étudiants ce besoin de faire des phrases). Il semblait s’acheminer vers une victoire glorieuse, mais c’est alors que JiBee s’écria: « Mais dis-donc, on n’est tout de même pas venu pour beurrer les sandwichs ! Moi les adversaires, j’les soigne, j’m’en vais vous faire une ordonnance, et une sévère ! J’vais vous montrer qui c’est le Président!  Aux quatre coins d’Lannion qu’on va vous retrouver, éparpillés par petits bouts façon puzzle. » Il reprit ses esprits, et on compta les points. Avec ses ouvriers verts, Jean-Baptiste toucha le jackpot. Et avec son village sans queue ni tête (grâce à un de ses bateaux), les tuiles upgradées furent légion. Il fut donc déclaré vainqueur avec 85 points, talonné par Gwen, 72 et suivi de loin par VHS, 49. Reprenant ses esprits, il conclut par une déclaration hautement présidentielle: « Aujourd’hui, les diplomates prendraient plutôt le pas sur les hommes d’action. L’époque serait aux tables rondes et à la détente. Hein ? Qu’est-ce que vous en pensez ? »

Table n°3 dite « Latina » …

… avec Marie-Anne, Xel et Rémy autour d’un Puerto Rico. Rémy prend sa revanche sur Agricola de mardi et gagne la partie. Table poursuivie par deux parties de 6 qui prend.

Table n°4 dite « mais pourquoi il n’est pas si méchant ? » …

… avec François-René qui mena une table de Descent en se frottant à une bande de soudards incarnés par Baptiste « cheveux dans les starting-blocks », Hélène la briochine,  MKS et David. Les méchants ont gagné.

Baptiste raconte la suite :

Suite à la descente victorieuse contre les vilains Gobelins, il y eut plusieurs parties de Nosferatu :

La première rassembla Hélène, Maud, Rémy, Xel, F-R et moi-même. J’Igorifiai tandis que Xel vampirisa. Malgré de nombreux soupçons concernant l’identité de Nosferatu, Xel et moi œuvrâmes en parfait tandem pour placer allégrement 5 morsures sur les chasseurs. Certains diront que je mélangeai mal l’horloge en y mettant toujours l’aube en bas de la pile. Moi j’appelle ça être un bon serviteur du Mal.

Dans une deuxième partie qui intégra François et Gwen à notre équipe, Xel et moi intervertîmes nos rôles de méchants. A nouveau, Maud orienta les soupçons vers le vrai Nosferatu, prouvant ainsi que son apprentissage à Essen auprès du créateur du jeu ne fus pas vain. Mais ayant défaussé des morsures à chaque tour, je parvins à semer le doute chez les chasseurs de vampires, ces derniers s’en prenant alors à Remy. Au moment de brandir le pieu fatidique, le bras de Gwen dévia néanmoins originalement vers F-R. Deuxième victoire pour l’équipe Xel-Baptiste.

La troisième partie vit un Remy-Vampire un peu fébrile, dont la langue fourcha malencontreusement. Grand prince, François mit fin au règne du monstre en révélant la carte de rôle de Remy. Un vampire non pas pieuté mais démasqué, voilà qui devrait intéresser Thomas…

Table n°5 dite « Cochons dans le pré » …

… avec Votre Humble Serviteur qui a prêché la bonne parole d’Agricola auprès de Nicolas et de Virginie avec Maud en comité de validation. Après une brève introduction aux règles la partie débuta. La course à la nourriture fut une constante, Virgine était plutôt orientée cultures, Nicolas l’élevage, Maud éclectique et VHS se tapissait en agrandissant sa maison tout en mangeant des pierres et des roseaux pour bondir dans la dernière ligne droite et atterrir premier sur la ligne d’arrivée.  Nicolas et Maud se partagent la 2e place, mention spéciale pour Nicolas qui n’a pas eu du mal à rentrer dans le vif du sujet malgré ses 2 cartes de mendicité contractés inopinément. Virgine hésita à développer sa famille chose qu’elle ne refera certainement pas lors des prochaines parties.

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Séance de MARDI à St-Elivet 5/11

Une session de mardi à 3 tables :

Table n°1 dite « Caylus-like ? » …

… Avec Baptiste 1er dit « hérisson », Jérôme, Audrey, Hélène et Gwen autour de la création de l’auteur de Caylus :  Spyrium. C’est un jeu de cartes semble-t-il léger mais la partie était toujours en cours quand les 2 autres tables quittaient les lieux. La partie est détaillée par Baptiste sur le forum.

Table n°2 dite « La roue de la fortune »…

… avec Jeff, Xel et Rémi autour de Tzolk’in. Il semblerait que Jeff soit râleur mais gagnant lors de cette partie.

Table n°3 dite « La clé des fleurs » …

… avec JiBee, Thomas et votre humble serviteur autour de Keyflower. Thomas découvre et n’a pas l’air de déprécier. JiBee joue et gagne, Votre Humble Serviteur joue, se vautre, et se place légèrement derrière le président. Le jeu est toujours aussi sympathique.

La séance fut poursuivie par la une partie de Hanabi, un astucieux jeu de coopération… Je n’aurais d’autre chose à y ajouter sinon que le jeu est rigolo mais Notre Inimitable Président s’est livré à un festival de … hmmm…  le mot juste est « mauvaise foi » mais j’utiliserai plutôt « pitrerie »  qui a instauré à table une ambiance joyeuse. On a appris que l’expression favorite de NIP est « le joueur expérimenté aurait … » avec des déclinaisons riches et mettant toujours en relief ce léger décalage entre son excellence et les roturiers qui l’accompagnent dans son périple ludique. NIP s’est employé à mettre en pratique la pédagogie de l’erreur, en montrant exactement comment il ne faut pas jouer afin que nous ne répétions pas les mêmes erreurs. Nous avons donc vu comment encaisser les points de pénalités et faire des déductions foireuses, tout ça dans un strict respect des principes d’éducation qu’il s’imposa. Au final nous nous en sortons pas mal, même on étant des mauvais élèves  n’ayant pas suivi la plupart des instructions de NIP. Je recommence quand vous voulez 😀

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