La séance racontée par Dom :
<A la façon de François> Je laisse les autres tables compléter
Le 25 mars 1973 sort l’album inoubliable des Pink Floyd « Dark side of the moon ». Exactement 42 ans plus tard, une douzaine de joueurs se retrouve dans un centre Saint Elivet éclairé par la pâleur d’un croissant de lune et constitue trois tables :
* Splendor avec Frank, Jeff, Audrey et JiBee (qui découvre). Il semble que 2 parties ait été jouées et emportées selon toute probabilité par un(e) sympathique adhérent(e)
* Dead of Winter avec François-René, Aurélie, Neox et Baptiste. On me dit que la colonie n’a pas résisté à la pression conjuguée des zombies et des traitresses.
* Jeux moyen-format avec Jérôme, David et VHN. Tout d’abord 2 parties de Koryo emportées successivement par VHN puis David (qui a su influencer à son profit le kingmaker du dernier tour), dans les deux cas avec 23 points. Note pour les suivants : la carte qui fait gagner est le 6.
Ensuite Jérôme nous fait découvrir La Havane, un jeu où on utilise des cubes en bois représentant des ressources pour acheter des bâtiments qui donnent des points de victoire. Derrière cette apparente caricature de jeu de gestion allemand se cache un mécanisme malin de choix de rôles et de résolution de l’ordre de jeu, avec une interactivité qui le rapproche de Citadelles. Inspiré par les cubes cubains, VHN joue un tour de (Baie des) cochons à ses deux collègues et plie la partie en moins de temps qu’il n’en faut pour fumer un habano.Les restants (Audrey, Aurélie, Dom, F-R et Jérôme) se regroupent pour enchaîner deux parties de Dungeon Raiders. Les multiples crocs en jambe et coups bas que se sont infligés les aventuriers dans leurs quête ont révélé la face cachée de la nature humaine. Comme le chantaient les Pink Floyd : « Money, so they say / Is the root of all evil today ». Je n’en dirai pas plus, mais qu’il soit consigné que par deux fois Audrey est ressortie en vainqueur du donjon.
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