Après Michael Douglas mardi, on se souvient de Marcello Mastroianni, né un 28 septembre, avec ce soir quelques titres de sa riche filmographie.
Table 1, dite « Le moment le plus beau » : Neox, Xel, Baptiste et François-René étrennent Aeon’s End, un jeu coopératif qui a eu de fort élogieux retours. Au point que nous avons reçu un CR détaillé :
« Les survivants d’une invasion se sont réfugiés dans la cité souterraine oubliée de Gravehold. Là, ils comprennent que l’énergie provenant de failles qu’ont utilisé les assaillants peut également leur servir ! Aeon’s End est un jeu de deck-building coopératif où l’on combat une Némésis avec un certain nombre de mécanismes innovants.
Ce soir, nos valeureux « mages de la brèche » sont en mode découverte et appliquent la mise en place conseillée pour une première partie en difficulté normale. Comme toujours dans ce genre de jeu coopératif, chacun part avec la même chance ! Ainsi la ville de Gravehold que nous devons sauver a 30 points de vie et quelques mages, alors que la Némésis en a 70 et une ribambelle de serviteurs.
Je crois qu’on peux dire que ce soir notre cité a souffert ! Et toutes les cartes permettant de lui redonner quelques points de vie supplémentaires ont été utilisées… Sans cela, le monde aurait définitivement sombré.
Après un passage a vide, la machine se lance enfin… On retiendra la nomination dans le rôle des DPS (Dégats par Seconde) de Neox et Xel, dans le rôle des soigneurs Xel et Baptiste, et enfin l’homme de l’ombre, celui qui permet aux autres de briller… F-R dans le rôle du soutien !
Dans ses 2 derniers tours, Neox était devenu une machine de guerre… en faisant tomber 30 PV au Nemesis. Le moment le plus beau, c’est quand ce dernier fut terrassé. Il était temps car il ne restait que 6 PV à Gravehold malgré nos 15 points de soin un peu plus tôt. On raconte que ces quatre là dansèrent sur le cadavre de la bête jusqu’au petit matin, d’autres disent encore qu’on les entendait rire jusqu’à la surface. » Heureusement que ce soir là nous étions seuls dans la salle de Servel !
Table 2, dite « Les camarades » : Tristan, Gabriel, Thibault et Sébastien embarquent ensemble pour le premier scénario (« les naufragés ») de Robinson Crusoe (je crois dans son édition la plus récente). Après quelques frayeurs, le petit groupe de camarades voit poindre sur l’horizon la voile salvatrice qui vient couronner leur succès collectif.
Table 3, dite « Ils vont tous bien ! » : partie de Pandémie avec son extension permettant de jouer en équipe (ici : Paul, Frédéric, Frank, Guillaume, Mickaël et Elouan). Victoire sur les maladies de la paire Paul Jr+Frédéric, les humains vont tous bien merci pour eux.
Table 4, dite « Par-delà les nuages » : Olive et Nicolas-2 accueillent Benjamin, un visiteur curieux et enthousiaste avec un penchant pour les cubes qui font mal à la tête (NDLR : selon nous, tout cube suffisamment gros et frappé suffisamment fort fait mal à la tête). Ils lui font découvrir Battle at Kemble’s Cascade, un jeu de plateau loin très loin dans l’espace et avec un parfum de jeu vidéo rétro. C’est le dernier arrivé qui s’impose après que le boss a bien dégusté.
Table 5, dite « Dommage que tu sois une canaille » : Michal (qui ne se lasse pas de jouer Jack) invite Armand, Eric et VHN à découvrir Whitehall Mystery, un dérivé des Lettres de Whitechapel qui se joue en 3 phases au lieu de 4, avec 3 policiers au lieu de 5, et sur une carte plus ramassée qui introduit les barques pour se déplacer sur la Tamise. Il ne savait pas qu’il aurait aux trousses la fine fleur de Scotland Yard. Armés d’un bel esprit d’équipe, de déductions solides et de manœuvres audacieuses (on passera rapidement sur les 11 innocents arrêtés successivement), il ont forcé l’assassin à utiliser ses deux fiacres dès la première phase où, après avoir pas mal tourné en rond, il finit par commettre son forfait sur l’autre rive de la Tamise. Las, le déploiement implacable des 3 bobbies qui bloquaient les ponts prit aussitôt la canaille dans une nasse. Il finit par prendre un youyou pour retraverser, mais à peine avait il débarqué que Armand lui mit la main au collet au milieu de la seconde phase.
Table 6, dite « Nuits blanches » : Tristan, bien décidé à passer une nuit blanche sur un vendredi noir, entraine dans un de ses favoris du moment, Schwarzer Freitag, Thibault, N2 et Gabriel. Tout commentaire au sujet de la partie sera bienvenu sur le forum.
Table 7, dite « Quatre New-Yorkaises » : fin de soirée joyeuse pour la petite bande (en fait ils étaient 7 : Michal, Xel, F-R, Eric, Elouan, Neox, Dom) qui découvre A fake artist goes to New York. C’est un jeu de dessin (style tac-o-tac où on complète ce qu’ont fait les précédents) qui rappelle Spyfall/Agent Trouble : tous sauf un(e) faussaire savent ce qu’il faut dessiner. 4 manches ce soir dont nous affichons les œuvres ci-dessous.
Oublions la première (« char ») qui fut un rodage. Dès la seconde, Michal bien que désigné comme faussaire sauva sa peau en devinant « bière ». Puis c’est au tour de Dom qui, ayant reconnu un volatile mais incapable d’identifier « autruche », réussit à semer le doute au sujet d’une Xel évoluant dans un univers bien à elle (« j’ai dessiné un réveil car il paraît que les autruches ça becte tout »). Enfin les joueurs firent assaut de créativité dans la dernière manche (« guitare ») : ils démasquèrent Elouan tout en composant un magnifique tableau déstructuré que n’auraient pas renié les cubistes il y a un siècle.
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