Séance racontée par Julien :
Hier soir, pas moins de 12 personnes pour 3 tables.
Table 1
Où Xel, Thomas, JiBee, Hélène et une cinquième personne dont j’a oublié le nom, jouèrent à « Lewis et Clark«
Table 2
Où Baptiste, Hélène, F-R et Jeff jouèrent à « Kingsburg«
Table 3
Où Franck, Jérôme et VHS jouèrent à « Tales of the Arabian Night« , un jeu d’aventure narratif dans l’univers des 1001 nuits. Le jeu est très plaisant, si on se laisse porter par l’histoire, le hasard des rencontres faisant qu’on n’est jamais sûr de son destin. Après tout, les contes des 1001 nuits sont faits de rebondissements, de revers de fortune et de découvertes inopinées de trésors légendaires non ? Résumé de la partie d’hier soir :
« Aladin (Franck), parti de Bagdad sans un sou à la recherche de sa promise, princesse d’un pays lointain, parcouru l’Asie à sa recherche, fût envoûté par une ensorceleuse, fût mis en prison, dépouillé mais finit par retrouver sa chère et tendre, l’épousat et du même coup devint Vizir. Il rentra alors à Bagdad, fort de sa destinée hors du commun et avec un paquet d’histoires à raconter.
Sinbad (VHS), parti à la recherche de son cousin, subit également quelques revers de fortune, passant également quelques temps en prison. Cela lui inculqua cependant un peu de sagesse et il finit par retrouver son cousin, à la grande joie de sa mère. Il rencontra également un Efrit qui l’envoya en pèlerinage à la Mecque, pèlerinage qu’il n’eut pas le temps de terminer.
Enfin, Zumurrud (Jérôme), partie chercher on ne sait quoi dans les îles de la Méditerranée, fut attaquée par un oiseau géant qui la laissa invalide, ternissant ainsi sa beauté légendaire (oui, Zumurrud est une femme !). Elle parvient ensuite jusqu’à Alexandrie et aux portes du Sahara où elle fut ensorcelée par un mage vengeur. Prise en folie, elle erra dans le désert pendant longtemps, jusqu’à finir dans les geôles d’une prison saoudienne.
Tout ne finit pas toujours bien au pays des 1001 nuits. »
A noter qu’en fin de soirée, les tables se regroupèrent pour quelques (au moins 2) parties de « Poilus« , où, comme dans tout bon jeu coopératif, nous sommes tous morts lamentablement au champ d’honneur.
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