Séance de VENDREDI à St-Elivet 31/05

Une séances à 3 tables pour ce vendredi :

Table n°1 dite « vénale » :

racontée par Baptiste 1er dit « en compétition de scalp pour le Livre Guiness » :

Il y eut une table d’Aquire menée par Ania qui enseigna les arts de la tractation immobilière à Xel, Maud, François, Jérôme et moi. Après plusieurs rapides fusions, le plateau fut dominé par les hotels Tower, Worlwide et Imperial. François ayant flairé les bons coups, il s’impose avec plus de 35000$. Je finis deuxième à 34000, talonné par Ania à 33000 et des brouettes. Xel, Jérôme et Maud ferment la marche.

Ayant dépensé tout notre argent dans ces tractations, la fin de soirée s’orienta vers des bouts de cartons. Ce fut donc un Skull & Roses qui démarra dans l’idée de « faire un petit jeu rapide ». François marque immédiatement le premier point de la partie, suivit par Ania qui découvrait le jeu. Ils sont ensuite rejoint par Jérôme, ce qui divisa la table entre « ceux qui en ont » et « ceux qui n’en ont pas ». Après de longues minutes je changeais de camp en remportant enfin une enchère. Ensuite, ce fut une déferlante de crânes. François fut le premier à sortir de la partie, je fus le second. Maud resta encore quelques tours en jeu jeu avant d’être également éliminée. Xel se retrouva alors en position de faiblesse, n’ayant marquée aucun point et affrontant Jérôme et Ania tous les deux vainqueurs d’une première enchère. Ils se débarrassèrent rapidement de la challenger, et ce fut Ania qui remporta le duel final, gagnant ainsi cette partie qui dura une bonne heure et quart.

Table n°2 dite « androgyne » :

… où MKS a expliqé puis a fait jouer à Android à JiBee et d’autres que je ne citerai pas (pour cause d’une mauvaise mémoire).

Table n°3 dite « le mal n’existe pas »…

michael jackson ne fait plus peur…

… ou plus : les séances de Descent V2 se suivent et se ressemblent, les héros tels une bande de nain joyeux partent leur équipement sur l’épaule en chantant « hey ha, hey ho, on va s’faire un donjon », et où qqs rats, des dragons mal nourris et autres seigneurs démons chétifs font de la figuration. Donc Marie-Anne aka « disciple », Laurent aka « dancer in the dark », François-Réné dit « zombie mais pas que » et Sly The Youngest dit « panzer dwarf » se sont fait une petite promenade dans 2 donjons que Votre Humble Serviteur a tenté de rendre résistants avec le cris « NO PASARAN » de qqs zombis en mal d’amour. Peine perdue, il sont passés, ils ont même emporté avec eux un Cardinal. C’est pas juste.

Pour discuter de cette session RDV sur le forum

Séance de VENDREDI ailleurs qu’à St-Elivet 3/08

Il n’y a pas si longtemps, dans une ville très proche… Les vacances font rage et la résistance s’organise grâce à l’Alliance Rebelle du Jeu et sa faction activiste Parties Civiles. La salle de réunion de St-Elivet est prise en otage par la fermeture annuelle du centre mais la résistance mène des actions coordonnées avec pour mission d’organiser les séances de jeu clandestines décentralisées. Xel, François & Co échouent dans une petite bourgade perdue sur la cote bretonne quelque part entre Beg Leguer et Trebeurden dans une base secrète tenue par Michal et Eliza. Là ils se lancent dans une quête d’Android. De son coté jeune Laurent rêve de conquérir la galaxie à coup de chars en plomb mais il est confiné aux travaux de peinture. Il se lance néanmoins à la recherche d’une table accompagné d’un mystérieux François-Réne. Ils retrouvent un couple ermite : Marie-Anne et Votre Humble Serviteur au coeur d’un village désertique ou déserté, peu importe. Leur quête aboutit à un Funkenschlag serré comme les fesses de Luc Skywalker quand celui-ci affrontait Darth Vador sur Dagobah.

Table n°1 « Les joueurs rêvent-t-ils des moutons électriques ? »

… avec un CR de François :

Au coeur du maquis breton, dans un lieu gardé secret, quatre résistants-détectives partent sur les traces d’un meurtrier dans le greater New Angeles (New Los Angeles et sa colonie lunaire Heilein).
Selon la devise d’Android, le monde a changé, pas le crime. Nous sommes donc confrontés à une longue liste de suspects et partons en quête du meurtrier.
Si nos moyens d’investigation sont sans limites avec nos vaisseaux spatiaux, la méthode est ancienne comme le crime (indices, alibis, contre-alibis), nous n’avons que deux semaines, nos journées n’ont que six heures et la plupart de nos actions prennent une heure. Le temps est donc compté, plus pour certains, affligés de lenteur congénitale (comme Rachel) que d’autres (Floyd), pour qui les journées font 7 heures.
D’autant qu’en plus du crime, il faut aussi déméler l’écheveau d’une vaste conspiration sous forme de labyrinthe. Participer à sa construction s’avère rentable, surtout si on possède les faveurs qui bonifieront le score final.
Particularité unique, chaque détective a son histoire personnelle contre laquelle, en plus, il doit lutter, et qui le mènera à sa perte ou à sa gloire.
Enfin, chaque investigateur peut acquérir des propriétés spéciales en triant des cartes claires (light cards), mais qui le tirent du côté obscur, contre lequel il lutte, d’autant que les autres investigateurs peuvent l’affecter en tirant des cartes sombres (dark cards).

A l’exercice, chacun se débrouille avec ses propriétés. Flic bionique, Floyd a une certaine sympathie pour les humains, mais doit régulièrement rentrer à la base faire son rapport. Très contraignant pour peu qu’on s’en éloigne un peu.

Son voisin de gauche, Caprice, est affecté d’une légère démence qui ne trouble pas sa voisine Louis, flic tourmenté par la culpabilité.
Les cartes sombres perturbent nos destins, le soupçon s’alourdit sur certains des suspects, et la conspiration se dévoile sous les coups de boutoir de Raymond, qui rafle les récompenses, pendant que Caprice accumule les faveurs politiques, que Rachel amasse des dollars, et Floyd des bagages.

Au dénouement, il s’avère que Floyd est le seul à avoir misé sur le coupable (grâce notamment à un usage maîtrisé des contre-alibis), ce qui lui procure un avantage décisif – alors que tout le monde voyait Raymond l’emporter haut la main, en guise de cadeau d’anniversaire.
François (Floyd) termine ainsi en tête avec 46 PV (15 pour l’identification du coupable, 5 pour celle d’un innocent, 14 pour avoir su régler son histoire personnelle, et 12 pour sa contribution au dévoilement de la conspiration, grâce à une double manoeuvre d’acquisition / conversion de faveurs le dernier jour). Suivent Michal (Raymond) 39 PV, Vincent (Caprice) 37 PV, Xel (Rachel) 24 PV, Eliza (Louis) 20 PV.

Table n°2 « L’Empire ne contre-attaque plus « …

… où le jeune padawan Laurent remporta la partie de Funkenschlag (carte d’Espagne) suivi de son non moins jeune compagnon et néanmoins padawan François-René sur lequel il a une trentaine de sous d’avance. VHS en vieux maître fatigué cède la place aux jeunes apprentis même s’il est pété de force à la fin tout comme l’impératrice Marie-Anne qui finit dernière mais pleine aux as.

Pour discuter de cette session RDV sur le forum