Le 18 décembre 1978, Deng Xiaoping (1904-1997) prononça un discours qui aller changer la face de la Chine. Lorsque Deng a pris le pouvoir, en 1978, il a trouvé un pays désespérément pauvre, en faillite et en chaos: écoles, hôpitaux, transports, services publics et système judiciaire étaient en plein désarroi. Les réformes économiques ont commencé une fois que Deng, ses alliés réformistes et l’Armée de Libération du Peuple (ALP) ont évincé la faction maoïste — la « bande des quatre ». En effet, la seule organisation fonctionnelle était l’ALP, soutenue par un système d’administration squelettique.
Deng a mobilisé un large soutien parmi les élites pour les réformes économiques urgentes, a rejeté les politiques maoïstes de l’autarcie – avec une réouverture audacieuse envers le commerce mondial, les investissements étrangers et la création de zones économiques spéciales.
Ce sera le début d’une politique de « porte ouverte » qui permettra de multiplier le PIB chinois par habitant par 8 en 30 ans, et de transformer la Chine en une super-puissance. Sa philosophie pragmatique de réforme se découvre dans ses phrases célèbres :
» Devenir riche est glorieux ! »
« Traverser la rivière en tâtonnant pour les pierres. »
« Peu importe que le chat soit noir ou blanc, pourvu qu’il attrape la souris ».
Le génie de Deng a été de savoir transformer une économie en faillite en « jouant avec deux mains dures »: stabilité politique (plutôt que démocratie) et ouverture économique extérieure (plutôt que libéralisation intérieure). Cette stratégie a permis un équilibre pragmatique, tout en encourageant une économie de marché compétitive et en conservant un état autoritaire — avec un parti unique qui favorise la croissance et la modernisation.
40 ans plus tard, à Lannion, Parties Civiles était sorti de l’autarcie, sous la houlette de dirigeants visionnaires qui ne cessent de conquérir les foules de ludopathes prêts à se sacrifier pour leur personne.
Table 1, dite « Parti unique » : Achtung ! Cthulhu, le JDR, revient en deuxième semaine, toujours avec Sylvain en guide suprême. Sous sa baguette, Nourdine, Guillaume, Maxime et Florian ont filé doux.
Table 2, dite « La bande des quatre » : de retour de la table de Gloomhaven, Dom raconte:
Pour cette dernière aventure de l’année, le groupe de Gloomhaven
accueille un barbu avec la tête d’un Jamie Lannister des mauvais jours,
plein de tours dans sa sacoche . Non ce n’est pas Santa Claus mais le
retour de Julien dans la peau d’un Sawbones, une sorte de médecin
médiéval avec une scie à la main et qui sait cogner. Le bizutage aura
lieu dans le Lair of the Unseeing Eye. Scénario court où la première
pièce est nettoyée sans coup férir ; tout le monde souffle un peu puis
Dom repart bille en tête, défonce la porte, balance 3 rochers au milieu
de l’assemblée d’ennemis … puis passe de 16 à 3 PV en encaissant
toutes les attaques. Au milieu, un boss à 44 PV entouré de petits êtres
à tentacules. Heureusement les autres la jouent collective en passant
devant pour prendre les coups et soigner. Les héros du jour sont Jack
qui ôte 16 PV avec sa méthode bien à lui puis Julien qui tire
opportunément un x2 sur une attaque de force 7. Juste le temps de faire
un détour par un coffre plein d’or avant que le scénario ne s’arrête à
la mort du boss.
Table 3, dite « Richesse et gloire » : à Formule Dé, le circuit italien de Monza s’offre à cinq pilotes intrépides. Deux grands timides commencent par caler au départ, et votre serviteur opère rapidement un tête-à-queue qui lui sera fatal. Une partie tout en toucher pour François-René, qui coupe la ligne le premier, devant Xel. Olive complète le podium, tandis que je coiffe Jérôme pour l’accessit.
Table 4, dite « Relativisme culturel » : à Black stories, on résout des énigmes macabres, issues d’histoires vraies et loin de chez nous, ce qui nous aène à réfléchir aux us et coutumes des peuples de par le monde. Parce qu’il n’y a pas que des Bretons sur la Terre.
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