Le 4 octobre 1945, une ordonnance créait la sécurité sociale, organisation destinée à « garantir les travailleurs et leurs familles contre les risques de toute nature susceptibles de réduire ou de supprimer leur capacité de gain, à couvrir les charges de maternité et les charges de famille qu’ils supportent. »
74 ans plus tard à Parties Civiles, aucune garantie sur la capacité de gain n’était disponible.
Table 1, dite « Le grand houblon » : pour ce classique revisité, Brass: Birmingham, Thomas a apporté de la bière, mais il est interdit de l’utiliser pour vendre ses marchandises. On apprend à ce propos que brass, en anglais, n’a rien à voir avec les brasseries, mais se traduit par laiton. Le houblon aidant, Thomas est survitaminé, et s’offre une victoire de prestige avec 176, juste devant Xel, 170. Votre serviteur termine à 132 sur un dernier tour splendide (2 aciéries retournées derechef à la suite !), et Eric fait un début honorable avec 109.
Table 2, dite « Couverture universelle » : à Root on s’encanaille à jouer avec deux vagabonds, et ce sont eux qui tinrent le haut du pavé, Doc Nico devançant Jérôme pour tirer à lui une couverture universelle. François-René, avec l’alliance de la forêt, Vivien, avec les chats, et Nicolas II, lézard de service, avaient un domicile fixe mais pas les points qui vont avec.
Table 3, dite « Humains, sinon rien » : voici Aristéia, un jeu de plateau type MOBA qui permet aux joueurs de devenir managers d’une équipe dans le plus grand show télévisé de la Sphère Humaine. Tout un programme, dont on ne sait malheureusement rien sinon que Frédéric et Olivier.L en furent les protagonistes.
Table 4, dite « Ombre déportée » : encore une découverte à cette table dans une soirée riche en surprises. Il s’agit de l’ombre de Kilforch – la réédition du jeu Gloom of Kilforth, de Tristan Hall, 3ème Kickstarter de la compagnie (la première édition de GoK donc, et un jeu de carte sur la bataille d’Hastings 1066, Tears to many mothers). Jouable en mode coopératif ou compétitif il permet aux joueurs de vivre une aventure épique, avec en prime les splendides illustrations de l’artiste polonaise Anna Kryczkowska. On meuble, on meuble, car, pour tout vous dire, de Mickaël, Frank et le petit Paul, nous ignorons qui a eu le dessus.
Table 5, dite « Mineur accompagné » : Dom initie à la Gloire de Rome Elouan, Frédéric, Audrey et Olive (le seul à déjà avoir joué). Le tuteur finit par sortir une combo de cartes typique de ce jeu : disposant d’une clientèle doublée, il recrute 11 clients d’un coup ! A 5 joueurs, la pioche descend vite : la partie prend fin juste après, et si Dom l’emporte c’est avec un modeste 14 PV devant 11 pour Frédéric (le seul à avoir une ressource dans sa chambre forte, qui lui rapporte 6 PV), puis 10, 9 et 7. Et en complément : les mêmes jouent ensuite à The Boss. Partie courte (en 3 manches) dominée par le retors Elouan suivi par Dom et Audrey à égalité. Il faudra garder un œil sur ce jeune-là.
Table 6, dite « Parcours de soin » : à Trône de fer Maxime le sauvageon a tant pris soin de Jeff Lannister qu’il l’a laissé, lui offrant une égalité alors que tout indiquait qu’il devait gagner.
Table 7, dite « Docteurs non conventionnés » : à Trône de fer encore, c’est Jacques – Stark qui joute avec Christophe le gardien de nuit. Deux docteurs en jeu certifiés, mais ne leur demandez pas de ticket modérateur, ce sont des passionnés ! L’un d’eux dévoilera-t-il l’issue sur le forum ?
Table 8, dite « Salle d’attente » :pour ce Codenames final nous retrouvons les Rouges (Doc Nico, Nicolas II, Thomas, Xel) affronter les Bleus (Dom, Vivien, François-René, et votre serviteur).
Rouges 1-0 : les Bleus foncent sur le mot assassin Cercle pour un pourtant indiscutable Militant 2 qui visait Colle et Route.Bleus 1-1 : les Bleus égalisent mais sont contestés dans leur choix douteux de l’indice Bonduelle visant Casse + Grain !
Rouges 2-1 : victoire à longue maturation des Rouges qui finissent par un petit digestif sur un Williams 1Pour discuter de cet événement, RDV sur le forum