Le 2 avril 1974, Georges Pompidou, atteint de la maladie de Kahler, meurt deux ans avant la fin de son mandat. Président de la République depuis le 20 juin 1969, le nouveau chef de l’Etat apprend, probablement quelques mois après sa prise de fonctions, qu’il est atteint de cette affection voisine du cancer des os. Dès le mois de mai 1968, alors qu’il était Premier ministre, Georges Pompidou avait dû suivre un traitement de vitamines et de corticoïdes.
Jusqu’au bout, le président de la République choisira de ne rien dire de son cancer. L’Elysée ne fera aucune déclaration officielle avant le communiqué du secrétariat général de la présidence, qui, le 2 avril à 22h05, annonce son décès. Avant ce jour, Georges Pompidou ne souffrait officiellement que d’épuisantes «grippes à rechutes».
45 années après, à Lannion, la grêle était de sortie pour un de ces fameux orages inattendus dont notre cité a le secret. De quoi prendre la grippe ! Espérons que ces épisodes de neige fondue n’auront pas de rechutes trop fréquentes…
Table 1, dite « Art moderne » : quatre visiteurs d’un soir se prennent à arpenter non pas les allées du centre Pompidou, mais celles de The gallerist – un choix osé pour un mardi au vu de la longueur du jeu, d’autant qu’une explication des règles, passablement touffue, eut lieu au préalable. La table se termina gentiment après minuit, et fut donc menée à bon train. Comme dans le fameux escalator du musée d’art moderne, les quatre galeristes firent un voyage parallèle à distance presque égale les uns des autres. Tout en haut, Doc Nico exulte avec le score mirifique de 191. Thibault est un fier deuxième avec 139. Votre serviteur a eu l’impression de bien s’en sortir, mais culmine à 83. Quant à Olive, il a passé le plus clair de son temps à l’obscurcir, et y réussit parfaitement, son score de 40 reflétant les heures les plus sombres de notre histoire.
Table 2, dite « Midnight express » : à cette table Dom propose la découverte de Bus. Neox rushe la fin de partie, selon notre envoyé spécial sur place, et, pour sortir avant minuit, l’emporte avec 8, devant Xel, 7, Dom, 6, et Tristan, 5. Tiens, encore cette image d’intervalles constants, comme des passagers immobiles d’un bus qui roule…
Table 3, dite « La part de l’ange » : à Celestia on change de véhicule, et, au bout de ce voyage en aéronef, c’est Xel qui coiffe sur le poteau François-René, 67 à 66. Un intervalle aussi ténu que la part des anges que le vainqueur a du croiser dans le ciel. Neox s’incline avec 56, un bon nuage derrière.
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