Il y a 101 ans naissait Danielle Darrieux. Nous dédions ce compte-rendu à ses beaux yeux et à son oeuvre.
Table 1, dite « Grande dame » : s’il est un jeu où les dames ont toute leur place, c’est bien Signorie – que Gérard nous fait découvrir. Un jeu qui semble complexe mais où tout s’emboîte parfaitement et qui révèle un grand classicisme. C’est le type de jeu où il faut faire les bons choix au début, car à trop s’éparpiller, on finit par sous-performer. Gérard, comme de juste, mena la danse avec 157, mais Xel (133), Dom (122) et votre modeste narrateur (107) n’en ont pas moins apprécié l’exercice.
Table 2, dite « Le bon Dieu sans confession » : cette table de 878 – Les Vikings vit une étonnante défaite de Jack, Pierre et Mickaël, trois garçons auxquels on donnerait pourtant le bon Dieu sans confession.
Table 3, dite « Le rouge et le noir » : à In Flanders field, c’est un baron rouge qui affrontait un prince noir. Thomas a évidemment triomphé de François-René.
Table 4, dite « Le jour des rois » : à Cartagena on enregistra une victoire de Pierre le grand, devant tHomas, François-René, Maïwenn & Co.
Table 5, dite « Jeux dangereux » : Pierre se retire en majesté, mais la table 4 enchaîne sur Burgle bros pour un résultat incertain.
Table 6, dite « Coup de soleil » : c’est à Munckin qu’Olivier bronze et brille, tandis que Vincent-2 et les autres marchent à l’ombre.
Table 7, dite « Ambassador » : Nathan reçoit ses lettres de crédit de King of Tokyo.
Table 8, dite « Ambassador » : ici, Neox jouait les orques, et comme de juste il dévora le trop humain Baptiste à l’impitoyable Blood bowl.
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