Retour vers une configuration de 3 tables :
Table n°1
Age de Pierre : regroupait Alex, Pierre et JiBee. Voici le commentaire de Pierre :
Alex, JB, et Pierre ont pris place autour de la table, suivi par Mathieu qui s’est retourné vers SmallWorld, puis par Pascal qui s’est également détourné vers Glory to Rome. Avec JB comme nouveau joueur à l’age de pierre, plein de fougue et d’énergie, il a fallu à Pierre toute sa ruse pour indiquer les « mauvais choix » (selon JB) à faire. En cours de partie, JB remarque que ses deux adversaires sont très aggressifs sur les cartes, JB préfèrant garder ses ressources pour une plus grande lattitude de choix ultérieur. La fin de partie est précipitée par JB qui achète toutes les maisons d’une pile. Les trois joueurs sont dans un mouchoir de poche, mais Pierre s’en sort un peu mieux avec son rush sur les cartes (et sans égalité cette fois)
Table n°2
Smallworld, avec Sebastien, Vincent, Mathieu, Jeff et Marie-Anne. C’est cette dernière qui remporte la partie. Comme quoi les filles peuvent panzerizer 😉 Je n’ai pas eu la connaissance du classement des autres …
Table n°3
Glory to Rome : Fanck, Pascal et Votre Humble Serviteur se sont penchés sur ce cas curieux d’un jeu de cartes assez original, « un mixe entre Race for the Galaxy et Puerto Rico » (qualification de Pascal). Le thème : reconstruction de Rome après l’incendie ayant eu lieu lors du règne de Néron. Le design est hmmm… artisanal, rien de « injouable » cependant (c’est une toute petite structure qui édite cela). A défaut d’être agréables aux yeux, les couleurs des cartes rendent le jeu accessible aux daltoniens 🙂 Un autre point : les cartes sont en anglais mais rien d’insurmontable. Le jeu est plutôt tordu car chaque carte possède 5 fonctions : un personnage, un bâtiment, un matériau, un effet de bâtiment et des points, les trois premiers s’excluant, le 4e est en toute logique associé au bâtiment et la 5e n’est compté que dans 1 cas particulier : quand la carte se retrouve dans le « coffre » du joueur. Les règles, assez simples somme toute, nécessitent d’être apprivoisées car elles ne sont pas intuitives – c’est cependant subjectif : Pascal trouvait le jeu plus simple que RFTG alors que Franck était parfois perdu même au milieu de la partie. En gros il s’agit de monter un moteur d’actions, puis par le biais des actions acquérir des points en construisant des bâtiments ou/et en remplissant son coffre. Les effets de bâtiments permettent de créer des « combos » puissantes – chose que Pascal a bien exploité en piochant des ressources, construisant des bâtiments et remplissant son coffre à toute vitesse. Franck s’est concentré sur le « pouillage » du moteur d’actions de VHS jusqu’à ce que Pascal fasse de même avec le sien en fin du jeu. En effet une action (Légionnaire) accompagné d’un bâtiment Colisée permet de confisquer des cartes action (dites « clients ») et de les mettre dans son coffre. Des bâtiments Palissade ou Mur permettent cependant se défendre contre cet effet – je n’ai pas eu le reflexe d’en construire un, puis après c’était un peu dur de tomber dessus… De plus on s’est trompés dans l’application de l’action Légionnaire au début de la partie ce qui m’a porté un petit préjudice au début 🙁 Le jeu ressortira et VHS sera encore plus méchant (pas dur, parce que là il ne l’était pas du tout… juste à la limite de la folie de se faire pouiller sans vergogne…). En principe c’est Pascal qui remporte la partie mais un léger cafouillage à la fin du jeu a empêché de départager la victoire entre lui et Franck.