De nombreux joueurs, « comme d’habitude » pourrait-on dire !
Cette séance fut marquée par la générosité de David, qui reversa des « gains personnels » à l’association sous forme de « bonbons », « biscuits » et « boissons ».
Il s’ensuit au moins quatre tables.
Table n°1, dite « d’interaction modérément chaotique »…
… où Jack « NHS », Mks et moi-même « Marvin », (re)découvrâmes Arcana. C’est un jeu de carte que je qualifierais de « assez léger » et de « modérément chaotique », mais aussi de « néanmoins sympathique ».
Il s’agit de « builder » un « deck » en réalisant des « enchères ». L’originalité tient au fait que les cartes achetées deviennent ensuite la « monnaie » de ces « enchères ».
La partie se déroula au milieu d’un « chaos bruyant mais convivial » généré par la table n°2, et à ce jeu de nerfs, c’est Jack qui remporta la mise.
Table n°2, dite « chaos bruyant mais convivial »…
… où plein de joueurs ont joué. Je crois y avoir vu au moins Baptiste, Hélène, François-René, Gwen « barbu », Ulysse et Audrey (il me semble). Il est possible que j’oublie quelqu’un ou que je commette une erreur, auquel cas, « tant pis ».
J’ignore le jeu qui fut pratiqué, mais vu le bruit généré, ça devait être « marrant ».
Table n°3, dite « planquons nous dans la bibliothèque, personne ne nous fera chier »…
… narrée par David, dit « le bienfaiteur de la soirée » :
Xel, François, Jonathan, notre président (qui commençait à nous manquer) et VHN s’attablent pour une partie de Bruxelles 1893, un jeu qui évoque les architectes promoteurs de l’Art Nouveau tout juste naissant. Pour devenir le plus célèbre, création et vente d’œuvres, constructions, influence de personnages connus… à l’époque en Belgique, et par des gens possédant une culture suffisante aujourd’hui encore.
Le jeu s’articule autour de deux plateaux et repose essentiellement sur le placement d’ouvriers. Sur le plateau Art Nouveau, le placement est payant et s’accompagne d’enchères et d’un troisième effet kiss-cool. Sur le plateau bruxellois, le placement est gratuit et toujours disponible, mais son usage coûtera un ouvrier à celui qui en abuse le plus. Ajoutez à cela la gestion de ressources et la vente d’objets d’art à la façon du marché de Puerto Rico, un petit plateau personnel… Et vous comprendrez deux choses.
D’abord la longueur des explications de VHN, car il fut aussi narrateur des règles, puisqu’il s’agissait d’une partie inaugurale chez Parties Civiles. Ensuite, et que l’opprobre retombe sur la tête du même, l’innocente et ridicule petite bourde qui s’immisça dans cette lecture, aux conséquences pourtant si importantes dans le résultat final.
Jonathan qui s’arroge la première place, distançant de très loin ses poursuivants, profitera donc rapidement de son
succès avant que ses opposants ne se précipitent dans le forum pour prendre connaissance des détails erronés ayant permis cette victoire. (Le suspense est insoutenable.)
Corrolaire de François :
Une table, dite « art nouveau », réunit David, JiBee, Johnattan, Xel et VHS, autour de Bruxelles 1893, dont David, son possesseur, expose avec brio les règles subtiles. Plongés dans un décor art nouveau fin de siècle, nous explorons les multiples possibilités: acheter et vendre des oeuvres d’art, construire des immeubles, forcément art nouveau, avec des matériaux dont l’utilité évolue au gré d’une horloge manipulée par les constructeurs successifs, influencer des notables, ou encore retirer des valeurs en bourse. Pour cette partie découverte, chacun affûta une stratégie différente: NIP multiplia les étages de ses constructions, Jonhattan s’improvisa collectionneur d’art, je lorgnai sur les notables, David fit fortune en bourse, et Xel se focalisa sur son placement sur le marché qui lui octroyait des bonus lucratifs. A l’arrivée, la stratégie extrême de Jonhattan lui permit d’asseoir une écrasante hégémonie sur le marché de l’art et de triompher, laissant ses poursuivants à distance d’une bonne station de métro.
Table n°4, dite « de l’autre côté de la porte »…
… où Jeff, Dominique et Marie-Anne ont joué à un « cubes en bois » de Martin Wallace : First Train to Nuremberg. Le jeu – excellent au demeurant mais trop peu sorti de sa boite – se solda par la victoire de Dominique.
Table n°1+2=5, dite « neuf joueurs ça fait beaucoup »…
… où les « survivants » des tables 1 et 2 se sont réunis autour de Nosferatu. Nous étions neuf pour ce jeu qui se pratique au plus à huit, donc Hélène « abdiqua » et se contenta du rôle de « spectatrice ».
Passée l’explication de règles, qui comme on peut l’imaginer autour d’une table aussi « densément peuplée » fut plutôt « laborieuse », nous fîmes deux parties. Les deux parties virent Nosferatu, dit « le Vampire », et son « acolyte » l’emporter. Notons un coup de « bluff » brillant de François-René qui lui fit emporter la seconde partie d’un cheveu. Ce jeu est « sympathique », mais ce jugement « personnel » n’engage que moi.
Je pense pouvoir affirmer qu’il n’y a pas eu d’autre table, mais si c’est le cas, les intéressés se manifesteront.
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