4 présidents américains ont, à ce jour, péri assassinés au cours de leur mandat. Si l’on se souvient facilement de JFK ou de Lincoln, l’histoire retient aussi le nom de William McKinley. Avocat originaire de l’Ohio, McKinley s’est signalé en 1890 par la loi protectionniste qui porte son nom, le « McKinley Tariff », qui porte à 50% les tarifs douaniers sur les importations. Elu une première fois à la présidence en 1896 sous l’étiquette républicaine, il engagea contre l’Espagne une guerre très profitable qui marque le début de l’impérialisme américain et lui valut une réélection triomphale.
C’est l’esprit serein, impeccablement vêtu comme à son habitude, qu’il se rend à Buffalo, le 6 septembre 1901, pour inaugurer la Pan-American Exposition. Après un discours d’inauguration, il assiste en fin d’après-midi à une fête au Temple de la Musique et serre des mains quand il tombe en arrière, frappé de deux balles en pleine poitrine. L’assassin est un ouvrier anarchiste au chômage d’origine polonaise, Leon Czolgosz, qui voyait dans le Président un « ennemi du peuple ». Le vice-président Théodore Roosevelt lui succède, et poursuivra sa « diplomatie du gros bâton » (Speak softly and carry a big stick).
Quant au nom du quatrième président, il se confond avec celui d’un matou célèbre (c) que vous n’aurez aucune peine à identifier avec l’indice contenu dans cette bande…
116 ans après cet événement tragique, Ti Koad sentait encore l’odeur de la poudre, qui allait bientôt parler….
Table 1, dite « d’un petit baton » : où Baptiste l’emporte d’un tout petit point (mais ce n’est pas la taille qui compte) à Alien Frontier devant Nicolas-Neox, tandis qu’Hélène complète le podium.
Table 2, dite « lost in translation » : où la fine équipe d’enquêteurs (Dom, FR, VHS, Thomas) s’essaie à une nouvelle énigme de Sherlock Holmes: Detective conseil. Une partie déroutante que traduit le score pathétique de 15, plombé par une indigestion de visites et malgré l’effort louable de Thomas de dessiner une timeline des événements comme dans les meilleurs polars. On y croisa, paraît-il, des personnages de Blade Runner, film au mérite discutable (comme le dit fort bien FR, « déjà la version courte me paraît longue »), on y discuta des méfaits de la vitamine A à haute dose (selon Dom qui s’était documenté sur le sujet), d’une équipée folle sur la 4-voies Lannion-St-Brieuc qui se termina dans un fossé sur une embardée du chauffeur pour éviter une herse, bref autant de sujets légèrement périphériques à l’action centrale.
Table 3, dite « népotique » : où une partie de Descendance tint en haleine jusqu’au bout de la nuit Paul (71), Xel (57), et Nicolas II (51).
Table 4, dite « Un Codenames et puis au lit » : malgré l’heure tardive, les derniers motivés (Rouge : F-R, Paul et Nicolas-2 / Bleu : Dom, Xel et VHS) s’attaquent à un Codenames en 2 sets gagnants.
La première manche vit une victoire sur le fil des bleus, plombés par un départ laborieux sur un Berger 4 (Mouton, Défense, Nuit, Canne) mal interprété, mais sauvés par les incompréhensions mutuelles des rouges, ce qui se confirma dans le second set, où VHS, étant maître-espion réussit à faire tout deviner, malgré un débat nourri sur les Avalanches, et concluant sur un joli « Feuilleter 2 » (Canard, Main), tandis que les rouges n’avaient pas la victoire dans la peau, comme en témoigne un audacieux « Jason Bourne 2 » (Volet, Carton) qui suscita une incompréhension totale. Il n’y eut donc pas de troisième set….
Pour discuter de cet événement, RDV sur le forum.