Table n°1 dite « féodale », racontée par Jeff :
François-René Stark, Pierre Baratheon, Jeff Martell, Nicolas Tyrell, Justine Lannister et Leo Greyjoy se sont affrontés pour le contrôle de Westeros et du Trône de Fer.
Des le début, la cavalerie Martell anéantie la cavalerie Baratheon qui venait de prendre Accalmie.
Les Martell s’y installeront et y resteront en défense jusqu’à la fin de la guerre.
La perte de sa cavalerie dès le début va mettre un coup d’arrêt à l’expansion des Baratheon qui stagneront avant de disparaître à la fin de la guerre.Les Tyrell et Martell passent un pacte de non agression qui sera étonnamment tenu jusqu’au bout.
Le premier tournant du jeu est l’attaque des Jumeaux tenu par les Greyjoy par les Lannisters depuis Vivesaigues. Le soutien de la flotte des fers-nés est décisive et les Lannisters sont repoussés. Les Greyjoy en profite pour envoyer des troupes à Vivesaigues et ainsi anéantir les troupes qui venaient de s’y replier.
Les Tyrell en profitent peu après et grâce à Loras Tyrell, ils prennent Port-Lannis. Les Lannisters se réfugient à Harrenhal qu’ils fortifient.Le second tournant du jeu commence par une descente de navires Stark au large des îles de fer. Les Martell dénoncent l’expansionnisme des hommes du Nord et attaquent. Soutenus par les navires Greyjoy et Lannister, la flotte Martell met en fuite ses adversaires. Grâce à Doran Martell, les Stark sont désavoués et se retrouvent à la dernière place à la Cour du Roi. Place qu’il garderont jusqu’au bout. Ce second tournant intervient quand, les navires martell brisent le soutien des navires Greyjoy grâce à un raid. Ils en profitent pour prendre Pouce Flint aux greyjoy.
Pendant ce temps Greyjoy et Stark se font la guerre. Moat Calin et les Jumeaux changent plusieurs fois de propriétaires. Les Martell, eux,prennent Port-Réal tranquillement.
La guerre finit à la 8° année (au lieu de 10). L’alliance entre Jeff Martell et Nicolas Tyrell contrôle Westeros, chacune des deux chefs de famille ayant 6 châteaux.
FR Stark et Leo Greyjoy n’en ont que 4, Justine Lannister n’a plus que Harrenhal.
Pierre Baratheon ne possède plus que quelques troupes disséminées. Plus de châteaux, plus de navires mais il est toujours sur le trône.
Table n°2 dite « shintoïste » autour de Takenoko avec Audrey, Dom & Co.
Le plus humble a gagné.
Table n°3 dite « impériale » racontée par François :
Table d’Imperial réunit David, Xel, Christophe et VHS. Dans cette version vintage, je contrôle rapidement l’Autriche-Hongrie et m’étends au centre sans réelle concurrence. David m’arrache la Russie, qui se déploie, mais a fort à faire avec l’Allemagne, son voisin, cerné par l’Angleterre, pilotée par Christophe. Xel contrôle la France et l’Italie, enfin surtout l’Italie, dont les enchères s’affolent au-delà du raisonnable. La bataille de la Russie fait rage entre David et moi, et je l’arrache au dernier tour de jeu moyennant une dépense de 30 Millions, aussi osée qu’opportune, puisqu’au tour suivant je mettrai fin au jeu. Entretemps, la France, longtemps alliée à son voisin transalpin, est remontée en flèche et son trésor a gonflé hors de tout contrôle. Au centre, la Germanie s’est effondrée, et j’ai sabordé l’empire du milieu après une dernière taxation, au profit de la Russie. L’Angleterre a prospéré sur les décombres de l’empire Germanique, et a fait profiter l’Italie d’une alliance contre nature en fin de partie. Derrière la Russie (valeur 5), la France, l’Italie et l’Angleterre font un tir groupé (4), les deux autres fermant la marche à 3.
Les positions finales sont resserrées: David l’emporte avec 202 grâce à un tableau équilibré, un score canon en Russie (80), des achats opportuns (contrôle d’un pays juste avant sa taxation, razzia de titres anglais sur la fin). Malgré un score survodkaminé à l’Est (100 en Russie, 39 en Autriche-Hongrie), je termine seulement deuxième (194), plombé par mon impasse anglaise. Suivent Xel à 178, bien partout mais mirifique nulle part, devançant d’une paille Christophe, bon sur la France et l’Italie mais totalement absent sur le front de l’Est. Le plus opportuniste a gagné, comme souvent à ce jeu.
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