Séance de MARDI 06/08/2019 à Servel

Le 6 août 1806, date de l’abandon par François II de sa qualité d’empereur des Romains, peut être considéré comme l’acte de décès légal du Saint-Empire romain, un regroupement politique de terres d’Europe occidentale et centrale au Moyen Âge, dirigé par l’empereur des Romains. Il se considérait comme le continuateur légitime de l’empire d’Occident des Carolingiens, mais également de l’Empire romain. L’adjectif Saint est attesté en 1157 pour légitimer le pouvoir de manière divine.

L’étendue et les frontières du Saint-Empire ont été considérablement modifiées au cours des siècles. Au temps de sa plus grande extension, l’Empire comprend presque tout le territoire de l’actuelle Europe centrale, des Pays-Bas, de la Belgique, du Luxembourg, de la Suisse ainsi que des parties de la France et de l’Italie. Son histoire et sa civilisation sont donc un héritage partagé par de nombreux États européens actuels.

Afficher l’image source

L’époque moderne marque pour l’Empire l’impossibilité structurelle de mener des guerres offensives, d’étendre son pouvoir et son territoire. Dès lors, ses principales missions sont la défense du droit et la conservation de la paix. L’Empire doit assurer la stabilité politique et la résolution pacifique des conflits en endiguant la dynamique du pouvoir : il offre protection aux sujets contre l’arbitraire des seigneurs et aux ordres moins importants contre toute infraction au droit commis par les ordres plus importants, et par l’Empire même. À partir de 1648, des États voisins sont intégrés comme États impériaux. L’Empire remplit alors également cette fonction de paix dans la constellation des puissances européennes.

À partir du milieu du XVIIIe siècle, l’Empire ne peut plus protéger ses membres de la politique d’expansion des puissances intérieures et extérieures. C’est une des causes de son effondrement. Les conquêtes napoléoniennes et la création de la confédération du Rhin démontrent la faiblesse du Saint-Empire et auront raison de lui.

A Parties Civiles, 213 ans après, nous avons revisité l’histoire sous toutes ses formes réelles et imaginaires.

Table 1, dite « Deux ex machina » : Le seigneur des anneaux accueille Armand, Eric, Elouan, Olivier, Franck et le petit Paul, qui se font submerger par une centaine d’orques et de gobelins. Mais, deus ex machina, ils parviennent in extremis s’en dégager et remporter la victoire.

Table 2, dite « Saint-Nicolas des Chardonnets » : Nouvelle expédition dans la forêt « enchantée » de Root, cette fois avec Neox-Chat, F-R-Loutres, Nicolas2-Vagabond, Dom-Oiseaux et DocNico-AllianceSylvestre. On découvre le peuple de la rivière qui est animé d’un certain esprit d’entreprise puisqu’il vend ses services (cartes supplémentaires, guerriers mercenaires, déplacements par les rivières) aux autres factions en échange de guerriers qui lui servent à faire ses propres actions. Et il est libre de moduler les prix à chaque tour, à la Container. Alors que 5 joueurs cohabitaient sur le plateau, cette partie a vu moins de combats que la fois précédente à 4. Neox a ainsi pu largement se consolider sur une moitié de plateau devenue peu à peu imprenable, et à la fin ses 25 guerriers avaient été déployés. F-R a choisi en milieu de partie de partir sur une condition de victoire alternative (contrôle de 2 coins opposés), que les autres se sont ingéniés à lui refuser. Dom a eu du mal à construire un moteur efficace (on dira que c’est la faute à la pioche) et a pas mal subi les coups de force de l’Alliance qui s’est déployée dans la même zone. N2 (avec le Bricoleur) a pu se fabriquer des objets avec son marteau, le rendant assez peu dépendant des autres joueurs. La victoire s’est jouée entre les 3 Nicolas, et c’est Doc qui finit le premier à 30 points. Bon, il y a eu un oubli de règle, mais au moins il a fait mentir ceux qui avaient prédit la victoire du Vagabond.

Table 3, dite « Révolution de palais » : à Brass: Birmingham, nous retrouvons trois baroudeurs de ce Wallace historique, revisité ici dans va version kickstartée avec des changements de règles non négligeables, et ses célèbres et incontournables brasseries. La partie fut riche et dense, en attestent les scores: avec 139, votre serviteur repart bronzé, tandis qu’en haut du podium, c’est Xel, 163, qui coiffe l’empereur Thomas, 157, pour une petite révolution de palais.

Table 4, dite « In aqua veritas » : à Deep sea adventure la vérité (et ses trésors) se trouve au fond de l’eau, mais tout l’art consiste à remonter à la surface au bon moment et sans s’en être trop lesté. A cet exercice, c’est Thomas qui s’en sort le mieux (39), avec Sophie juste derrière (34). Xel et votre narrateur ont fini noyés trois fois de suite et échouent à 0.

Pour discuter de cet événement, RDV sur le forum

Séance de VENDREDI 02/08/2019 à Servel

Afficher l’image source
1914

Le dimanche 2 août 1914, à Joncherey, sur le territoire de Belfort, le caporal français Jules Peugeot, du 44e RI, et le sous-lieutenant allemand Albert Mayer, du 5e régiment de chasseurs à cheval, basé à Mulhouse, échangent des coups de feu.

Ils tombent l’un et l’autre avant même la déclaration du lendemain. Ce seront les premiers morts de la grande guerre. Les deux jeunes hommes avaient presque le même âge, 21 et 22 ans.

Monument de Joncherey
(bas-relief)

En 1922, l’ancien président Raymond Poincaré inaugurera devant 5 000 personnes à Joncherey le monument érigé au caporal Peugeot. Dans son discours, il explique qu’il a été « assassiné », car tué un jour avant la déclaration de guerre avec l’Empire allemand, argument développé sur le monument lui-même dans un grand bas-relief allégorique intitulé Violation du droit et représentant Germania, qui poignarde dans le dos une personnification du droit.

En juillet 1940, le monument de Joncherey sera détruit par l’occupant. Mais en 1959, reconstruit sous la forme d’un mur souvenir.

A Parties Civiles, 105 ans après, c’était une soirée de grandes batailles, où beaucoup sont tombés au feu. Mais, avant les combats, nous avons eu le temps de sympathiser avec Lucas et Alice, deux estivants de passage qu’on qualifiera sans hésitation de ludopathes fort sympathiques, en attestent les brownies qu’ils avaient confectionnés pour l’occasion. Enfin, il y a des jours comme ça où la claviste a autant à faire qu’aux belles années de Libération (repérez les NDLC) pour remettre les choses à l’endroit (c’est son travail après tout).

Table 1, dite « Avant la bataille » : Le seigneur des anneaux déploie son univers, une table coopérative où chacun s’entraide dans une quête fraternelle d’avant la bataille. Ce fut donc gagné à l’aise par l’armée des ombres, Armand, Eric, Elouan, Olivier (NDLC: mais lequel ?) et Franck, ce dernier, sous le masque de Legolas, s’en tirant même sans une égratignure.

Table 2, dite « Avant l’heure c’est pas l’heure » : exilé loin de son paternel, le petit Paul s’est vu vainqueur à cette partie homérique de Mythic battle – un poil trop tôt pour exulter, car, à l’issue d’un suspens terrible, Axel, lui aussi en vacances, lui inflige une défaite aussi cuisante que le coup de soleil qu’il ramenait de la plage. Mickaël, olympien dans la victoire comme dans la déroute, a joué l’arbitre des élégances: on retient surtout de sa prestation son magnifique travail d’orfèvre de la peinture des figurines !

Table 3, dite « Violation du droit » : Les mythes sont encore à l’honneur dans cette table de Mythotopia, jeu apporté par Thomas sur la suggestion légèrement appuyée de votre serviteur. Avec deux débutants à la table, Camille et Gilles, la bataille a été beaucoup plus serrée qu’on n’eût pu le croire. Elle restera malheureusement pour l’histoire entachée d’une indiscutable violation du droit, Gilles faisant usage par deux fois d’une propriété du diplomate qui n’est pas dans les règles (un diplomate peut en effet mettre fin à une bataille en deuxième action, mais uniquement en position de défenseur, pas d’attaquant !). La chose vérifiée, il était trop tard et votre narrateur spolié de deux territoires qu’il détenait. Habilement concentré sur une zone de montagnes, et équipé des attributs du ranger, je fis mieux que me défendre pour pallier à ce coup du sort, terminant à 37. C’est Thomas qui l’emporte avec 42, devant Gilles, 39, mais surtout grâce à Camille, 35, qui lui donna l’opportunité de mettre fin au jeu. Un sacrilège de plus pour cette partie: à ce jeu, le final doit se mener comme une partie d’échecs, et donner à une adversaire l’occasion de conclure sans raison valable est définitivement contre l’étiquette (NDLC: narrateur ou procureur ? Il se prend pour Poincaré !).

Table 4, dite « Portrait de groupe avec drame » : L’espace de Warhammer 40 000 se déploie toujours avec majesté, et, entre Benjamin, Julien, Steven et Romain, nous avions affaire à un beau portrait de groupe qui mériterait qu’on lui érige un monument. Le drame viendrait plus tard, car c’est la guerre après tout. Mais son issue est restée enveloppée par la nuit (NDLC: ne faudrait-il pas que les participants à ces tables nocturnes envoient un câble pour donner le résultat avant le bouclage ?).

Afficher l’image source
Divines figurines

Table 5, dite « Brun, Blanc, Jaune » : une interminable partie de Cthulhu Wars (NDLC: attention les rédacteurs, j’ai vu des tags de ce jeu mal orthographiés ! ) opposa nos deux visiteurs, Alice et Lucas, à Xel, F.-R., Neox, Olivier-L, Olivier-3 (NDLC: il y a trop d’Olivier dans cette soirée, on s’y perd). Une partie gagnée par François-René avec les jaunes, et, selon lui, c’est la première fois que ça arrive à ce jeu, car les jaunes passent normalement le plus clair de leur temps à se faire taper dessus (NDLC: un peu comme les gilets jaunes), sauf que là, personne ne m’a attaqué, et comme cette race (NDLC: ce mot est-il approprié ?) regagne du pouvoir à la fin, et que la partie a duré comme une nuit blanche, j’ai pu gagner, mais ce n’est pas vraiment pas facile avec les jaunes, heureusement que j’ai pu carburer aux brownies pour durer (NDLC: faut-il voir un message politique dans cette alliance des jaunes et des bruns ?).

Table 6, dite « Bleue horizon » : la table 3 se reconstitue pour une plongée dans le grand bleu de Deep sea adventure. Une partie où Thomas resta cruellement à la porte d’entrée, faisant un improbable double 1 en fin de deuxième manche ! Mais il se rattrapa magnifiquement dans la troisième et l’emporte avec 45 ! Gilles, 27, et Camille, 25, montent sur le podium. Quant à votre narrateur il poussa le role play (NDLC: il existe un équivalent français !) à saigner du nez comme victime d’un accident de décompression, et échoue à 19 !

Table 7, dite « Déjà trop tard » : réunis de nouveau pour un Mythic battle, Axel et Mickaël ont livré un duel inégal, le second massacrant le premier, qui déclara après coup « quand j’ai compris, il était trop tard » (NDLC: un peu comme son coup de soleil ?).

Pour discuter de cet événement, RDV sur le forum

Séance de VENDREDI 19/07/2019 à Servel

Le 19 juillet de l’an 64 après Jésus-Christ, sous le règne de l’empereur Néron, la Ville éternelle est ravagée par un incendie. L’empereur, après avoir supervisé les secours, se hâte d’engager les travaux de reconstruction avec l’objectif d’embellir la ville, se dotant d’un palais encore plus grandiose que le précédent. Ce nouveau palais, la Maison dorée (Domus aurea), s’étendra sur 80 hectares, débordant la colline du Palatin pour rejoindre celle du Caelius. Sa splendeur émerveille les contemporains. Entre les deux collines, les jardins et un lac sont agrémentés d’une statue colossale de l’empereur lui-même : 44 mètres de hauteur !

La rumeur le soupçonne d’avoir lui-même provoqué l’incendie dans cette intention de remodeler la ville. Pour s’en défendre, il laisse accuser les chrétiens d’en être à l’origine. C’est ainsi que débuter la première persécution de l’ère chrétienne. Parmi ses victimes, des Juifs dénommés Pierre et Paul, jetés comme d’autres dans la fosse aux lions.

Afficher l’image source
Néron

Table 1, dite « Sur la terre comme au ciel » : à cette partie de Saint Seiya, trois joueurs calmes comme des anges. François-René triomphe avec 59, dans les habits du chevalier du cygne, devançant un élégant chevalier du dragon incarné par Olivier L., et la gracieuse Andromède campée par Neox.

Table 2, dite « Colossale » : pour la première fois, nous essayons Richard cœur de lion avec un nombre de joueurs impairs, ce qui crée la position du joueur Neutre. Celui-ci, incarné par Xof, prend au gré des tours parti pour l’une ou l’autre des factions: celle du roi Richard (Thomas et VHS), ou celle de Jean sans Terre (Xel et Mickaël). A ce jeu où les conditions de fin de partie et de victoire sont multiples, la subtilité s’impose. Et c’est encore plus vrai avec le joueur Neutre, qui a des pouvoirs redoutables, notamment celui d’influer sur le sort des campagnes, et qui bénéfice en plus d’objectifs caché pouvant être explosifs. A cette partie, Richard commet l’erreur fatale de faire trop galoper son armée, qui se détache irrémédiablement à la grande joie du Neutre, dont c’était l’un des objectifs, et qui se paie le luxe d’en remplir un autre, le retour précipité du roi: pas moins de 9 PV de bonus pour un total de 16 et la messe est dite sur une victoire colossale. Des autres membres de la faction victorieuse, Thomas (10) a plutôt bien mené sa barque tandis que votre serviteur (4) s’est laissé porter par les événements au lieu d’agir sur eux, erreur fatale à ce jeu.

Table 3, dite « Urbanisme débridé » : La table de Warhammer 40 000 met en scène, comme toujours, un urbanisme campagnard aussi débridé que foisonnant. Julien, Benjamin et Romain furent les protagonistes de cette page d’histoire dont le grand livre reste à écrire..

Table 4, dite « Eternelle jeunesse » : la jeunesse est venue prêter main forte à cette table, Le seigneur des anneaux, regroupant Paul, Erwan, Olivier, Armand et leurs progénitures. Le résultat importe peu. La roue des ans tourne: les petits joueurs d’aujourd’hui seront les grands de demain, et en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire. Amusez-vous les enfants, il est plus tard que vous croyez.

Table 5, dite « Incendies volontaires » : pas de Codenames pour finir la soirée, la boîte a été empruntée: on jette donc son dévolu sur un Time bomb. Big Ben a été incendiée deux fois par les rouges, et chacun eut sa part de victoires dans cette partie où votre serviteur eut une main vide bien plus souvent qu’à son tour, avant de sortir du bois dans la dernière manche.

Pour discuter de cet événement, RDV sur le forum

Séance de MARDI 16/07/2019 à Servel

Insigne de la mission
La mascotte

Le 16 juillet 1969, Apollo 11 décollait, pour une destination lunaire: la mer de la tranquillité. Près d’un million de personnes ont fait le déplacement à Cap Canaveral pour assister à cet événement. Après une phase propulsée sans incident, le troisième étage de la fusée Saturn V, le module de commande et de service (CSM) et le module lunaire (LEM) se placent en orbite basse autour de la Terre pour attendre que le positionnement relatif de la fusée, de la Terre et de la Lune permettent d’arriver à proximité de la Lune au moment prévu. Deux heures trente plus tard, alors que le vaisseau Apollo a effectué une révolution et demi autour de la Terre, le troisième étage est rallumé durant six minutes pour permettre au « train spatial » de s’arracher à l’attraction terrestre et le placer sur une trajectoire qui doit le conduire à proximité de la Lune.

50 ans plus tard, à Lannion, Parties Civiles était dans la lune, rendant hommage à Saturne, le seigneur des anneaux, à Mars avec moult terraformations, mais pas à notre satellite préféré.

Table 1, dite « Moon walk » : Le seigneur des anneaux reçoit la visite de Neox, LN, Baptiste et François-René. Les visiteurs sont repartis victorieux de cette lointaine expédition lestés de quelques grains de poussière, en esquissant un moon walk empreint de joie.

Table 2, dite « Terre de cratères » : Le Trône de fer voit la rencontre fratricide des Stark (Jack) et des Lannister (Jeff). Un affrontement propre à creuser des cratères, mais qui resta fraternel.

Table 3, dite « Rivière de tranquillité » : Victoire tranquille de Vincent (57) le long de The river. Benjamin (47) souffle l’accessit à Olivier-3 (44), Yannick, dont le score ne nous est parvenu que sous forme d’équation (n7 – 10n), ferme la marche, victime d’avoir été trop fréquemment le dernier joueur.

Table 4, dite « Un peu plus près des étoiles » : à cinq, à la recherche d’un jeu pas-trop-long-c-est-mardi-no-new-rules-mais-on-n-est-pas-non-plus-venus-pour-beurrer-les-sandwichs, le choix se porte sur Terraforming Mars, un jeu dit moyen mais quand même plutôt costaud, surtout avec des piliers de comptoirs. Une lutte en haute altitude opposa Dom et Mickaël, avec une belle opposition de styles: le premier faisant l’impasse sur la colonisation, misa tout sur son niveau de Terraformation – NT (42 de ses 57 PV), passant son temps à faire monter température et GES, un rôle de composition certainement. Le second, à l’inverse, misa tout sur la carte et échoua d’un jet d’asteroïde (56). Derrière, Xel (50) et Thomas (48) ont donné le change, tandis que votre serviteur, qui s’épuisa à accorder des cartes mal assorties, culmine à 44, mais ceint de l’écharpe du maire.

Pour discuter de cet événement, RDV sur le forum

Séance de MARDI 07/05/2019 à Servel

Ce mardi, Thomas Piketty fêtait son anniversaire. Cet économiste engagé, spécialiste des inégalités, s’est attaqué à des monuments de l’économie, comme la courbe de Kuznets, (selon laquelle l’évolution des inégalités de revenu devait prendre, sur une longue période, la forme d’une courbe en cloche du fait du déversement sectoriel lié à la révolution industrielle), l’effet Laffer (voulant que des taux marginaux d’imposition élevés sur les hauts revenus poussent ceux-ci à moins travailler), et même le fameux théorème de Schmidt (Les profits d’aujourd’hui sont les investissements de demain et les emplois d’après-demain). Un monument, il en produisit un lui-même, son Capital au XXIème siècle, vendu 150 000 exemplaires en France, un tour de force pour un ouvrage de recherche économique de plus de 1000 pages, cependant écrit dans une langue accessible et visant le grand public. Son entrée en politique, dans le rôle de chantre de l’impôt progressif sur le revenu (il fut l’auteur d’une proposition de fusion avec la CSG aboutissant à une progressivité d’autant plus forte qu’il formulait l’idée iconoclaste de taxer les propriétaires occupants d’un loyer fictif), si elle eut le mérite de susciter le débat, n’a jusqu’à présent pas été couronnée du même succès. Il est vrai qu’en se mettant au service de Ségolène Royal, Jeremy Corbyn ou Benoît Hamon, il se créa probablement pour lui-même une forme d’inégalité de destin dont on se demande s’il en avait une conscience aussi aiguë que ses théories.

Résultat de recherche d'images pour "thomas piketty cartoon"
Thomas Piketty

Évolution de la part du revenu des 10 % les plus riches dans le revenu total aux États-Unis

Table 1, dite « Monnaie hélicoptère » : La théorie économique prend toute sa force à Container – ce jeu où un mécanisme en apparence simple (je produis des ressources, j’achète celle des autres, et je les vends au marché aux enchères) se double de règles retorses sur le décompte des points, qui introduisent ce que les économistes appelleraient des asymétries d’information. On admire toujours la livrée maison du jeux fabriqué des mains habiles de maître Dom, avec notamment les fameux bateaux en découpe laser, tout comme le marqueur premier joueur, d’une inutilité ironique. Cette partie montra que les théories les plus subtiles peuvent être entravées par les erreurs humaines, à l’image de Dom qui prit un jeton bleu pour un rouge, ou de votre serviteur qui crut qu’un container bleu lui appartenait, une erreur qui lui coûta 25 points au décompte final. Les scores furent impressionnants, surtout celui de Dom qui ne gagna qu’une seule enchère de la partie, celle où justement il s’était trompé, mais finit à 175 ! Christophe le talonne fièrement avec 160 et la stratégie inverse, son entrepôt regorgeant de marchandises, Olive, 133, Thomas, 122, et votre modeste serviteur, 105, fermant la marche. Une partie riche en points donc (lors de la dernière fois, le vainqueur culminait à 103), mais, autant que l’habileté des joueurs, on doit aussi ce résultat à la banque, généreuse pourvoyeuse de monnaie hélicoptère !

La boîte du jeu
The river

Table 2, dite « Inégalités de destin » : Dans The River, les joueurs s’affrontent dans le but de posséder la plus belle colonie du nouveau monde et de poser la première pierre d’une inégalité de destin pour des générations. Camille fut le premier à bâtir sa dynastie avec 42, Benjamin l’imita ensuite dans une seconde partie avec 39. Laurent et Olivier3 furent pour leur part appelés à rester à la place que la destinée leur assigna: la dernière.

Table 3, dite « Sous le pavé, la plage » : Starcraft c’est un livret de jeu épais comme un pavé de Thomas Piketty, au point qu’au bout de deux heures de temps, Florian, Nicolas II, Vincent-2 et Joseph en étaient encore à boire les paroles du Doc. Une plage de temps tout aussi considérable s’est ensuite ouverte à eux pour mettre les paroles en actes. Un résultat sera peut-être publié sur le forum.

Table 4, dite « Corruption passive » : à cette quête du Seigneur des anneaux, Neox, FR, Baptiste et LN ont enchaîné deux échecs, victimes passives à chaque fois d’un mauvais spectre. Le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument, apprirent-ils à leur contact. Ils auront donc le temps de méditer cette autre maxime de lord Acton: « La liberté n’est pas le pouvoir de faire ce que l’on veut, mais le droit de faire ce que l’on doit. « 

Table 5, dite « Dernier décile » : votre serviteur vidant les lieux de sa personne, la table 1 se reconfigure pour The Boss avec Olive, FR, Dom, Thomas, autant dire le dernier décile des fidèles quand approchent les laudes. Partie courte en 3 manches que FR remporte grâce à une belle première manche à 6 points. Dom réussit à envoyer 2 de ses gangsters à l’infirmerie !

Table 6, dite « Premiers de cordée » : trois joueurs ont disputé deux parties de 7 Wonders. A la première, Laurent l’emporte largement avec 59 PV. A la seconde, Olivier3 l’emporte de peu avec 57 PV. Le troisième de cordée, CamilleB, finit corde tranchée.

Pour discuter de cet événement, RDV sur le forum

Séance de MARDI 30/04/2019 à Servel

30 avril, journée de la tolérance ! Ainsi, le 30 avril 311, l’empereur Galère publiait un édit de tolérance qui met un terme aux violentes persécutions engagées par Dioclétien, son prédécesseur, contre les communautés chrétiennes de l’empire romain. Deux ans plus tard, son édit sera confirmé et élargi à Milan par son successeur, Constantin. Le christianisme devient dès lors la religion dominante de l’empire. Et le 30 avril 1598 était publié l’Édit de Nantes. Cet édit de pacification, qui marque la fin des guerres de religion, vise à l’établissement d’une bonne paix et tranquille repos selon les propres mots du roi Henri IV. Il est habituel de qualifier cet ensemble de textes : « édit de tolérance ». L’expression est à vrai dire anachronique: au temps d’Henri IV, le mot tolérance désigne simplement la capacité individuelle de résister à la douleur ! Les contemporains du roi préfèrent parler de concorde et pacification pour qualifier l’Édit de Nantes.

A Lannion, la tolérance est un principe sacro-saint de Parties Civiles: on y accepte les petits, les grands, les forts, les cubistes, les barbus, et même les sportifs. Et nous avons une maison pour cela: celle du quartier de Servel, où il nous arrive de nous étaler dans ses nombreuses alcoves. Il faut dire qu’avec nous, cette maison de tolérance, c’est souvent un joyeux bordel !

Table 1, dite « Venez comme vous êtes » : La tolérance est de mise à cette table où prennent place, sans façons ni carton, Doc Nico, Xel, Tristan, Olive et Florian, attablés come à l’apéritif devant un Las Vegas dont ils savourent quelques opus, avant de passer aux choses plus sérieuses, un 7 Wonders en guise de mise en bouche.

Résultat de recherche d'images pour "impulse jeu chudyk"
Impulse

Table 2, dite « Je suis timide, mais je me soigne » : Les grands timides sont acceptés à cette table de Impulse. Mais on n’est pas dans la publicité culte des années 1980: ici, ce n’est pas un inconnu qui vous offre des fleurs, c’est un croiseur qui vient vous envahir sans façons, et accessoirement, couler votre cargo. On n’en attendait pas moins de ce jeu déjà ancien du prolifique Carl Chudyk, qui a été republié en version Print n’Play sous une nouvelle livrée, et que Dom a fabriqué de main de maître (la droite) avec le soutien d’une grande banque d’affaires. De sa main gauche, il pilota ses croiseurs et gagna haut la main avec les 20 points requis. Thomas et Xof (8) ainsi que votre serviteur (7) ont été trop tolérants avec le maître du jeu, qu’ils ont laissé s’étendre plus que de raison. Trop timides, donc, mais, promis, ça se soigne !

Sans transition, cette même table enchaîne sur un Las Vegas qui voit Dom plonger à 200.00 $, loin derrière Thomas, 340.000 $, VHS, 360.000 $, et Xof, 380.000 $, dans un joli tir groupé !

Table 3, dite « Tolérance d’usage » : A cette table de Clans of Caledonia, Benjamin (144) s’offre une victoire en douceur, tolérant la présence à une heure avancée de Eric (129) et Elouann (119), qui grimpent sur le podium (en même temps, ils n’étaient que trois, notez).

Table 4, dite « Tolérance zéro » : Death angel ne tolère aucune marge d’erreur et cette partie en fut la preuve: Vincent, Olivier-3 et Nicolas II sont morts dès le départ, mais, assurent-ils, avec brio !

Table 5, dite « Win the “yes” needs the “no” to win against the “no” » : Le seigneur des anneaux accueille à sa table en grand équipage LN, Baptiste, Neox et François-René. La tolérance fut encore de mise, avec une première partie perdue, la seconde réussie. Un peu comme le vote sur le traité de 2005 en somme.

Table 6, dite « Modeste vie » : un Century voit s’affronter les protagonistes de la table 1 avec un changement d’importance: Nicolas II à la place de Xel. Une table dont le résultat ne saurait être dévoilé ici: comme l’a proclamé un célèbre amateur de boutades, la modestie, ça ne se proclame pas, ça se vit.

Table 7, dite « La maison des tolérances » : Codenames c’est un peu la maison des tolérances, sémantiques et linguistiques. On vit jouter les Rouges (Dom, Vincent et Xel), et les Bleus (VHS, Thomas, François-René, Thibault).

Rouges 1-0: des chaussures mirent le pied à l’étrier d’une longue marche, initiée par un mot que nous tairons ici et qui fut toléré malgré son cousinage évident avec un mot de la grille – mais, nous expliqua doctement le Doc, lingus et langue ce n’est pas la même racine !
Bleus 1-1: les Bleus réagissent avec un splendide Témoin 2 (Course, Lien) pour finir un relais bien engagé.
Bleus 2-1: victoire implacable, illustrée par le joli Calvaire 2 (Crêpe, Croix), contesté par Nicolas, qui attesta avec force de la présence de calvaires en Alsace.

Pour discuter de cet événement, RDV sur le forum

Séance de VENDREDI 11/12/2015 à St-Elivet

Séance racontée par Dominique :

Le 12 décembre 1915 naissait à Hoboken (New Jersey) Frank Sinatra qui incarna les faces lumineuses et sombres du rêve américain et du monde du show business. Un siècle moins un jour plus tard, cela swinguait à Lannion où Parties Civiles ne pouvait faire moins que de rendre hommage à The Voice. On put voir et écouter notamment ce vendredi soir :

Table 1 dite « I’m Not Afraid »
Neox, Baptiste-aux-poches-pleines, Frank et F-R jouent à Blood Rage, un jeu tout récent avec plein de bruit, de fureur et de figurines. Cela avait l’air bien mais nous n’avons pas pu interviewer les participants.

Table 2 dite « Strangers in the night »
Julien du Goélo et Jacques s’isolent dans la bibliothèque pour tester Deadzone, un jeu avec des dés et des figurines. A minuit et demi ils y étaient encore.

Note de Jacques :

Partie n°1 : « quelque part sur la 3e planète du système Nexus Zeta, 2e section de reconnaissance des Enforcers :

– Soldat Vince mouvement massif vers vous, repliez vous… Soldat Vince ?! Soldat Vince repondez !!! Sol…

– Chef ! Deux Phases 2 et un Phase 1 dans ces bâtiments !!!

– Repli !!! Repli !!!  Bordel, où  est la couverture aérienne !!!???

– Chef il est sur moi !! Je ne pe… BUAAAAAAAAAAAAARGRBL…

– Soutien arme lourde qu’est-ce que vous foutez !? Oh merd.. 

(dernières paroles enregistrés, 2e section a été déclarée perdue)

Partie n°2 : « quelque part sur la 3e planète du système Nexus Zeta, section « search and rescue » des Enforcers :

– Soldat Reiss au commandant : je suis sur le toit, je procède à l’installation de la tourelle de déf… il y a quelque chose qui cloche… Des Cerbères !!!

– Reiss, laissez la tourelle et descendez vers nous. Reiss ?! Reiss répondez : à vous ?! Reiss !??

– Chef j’ai vu 2 clebs foncer vers la tour où se trouvait Reiss !

– Je connais Reiss, il ne se ferait pas avoir par des clebs… Qu’est-ce… AAAAAAAAAAAAAAAAARGH !!!

(suite à l’échec de la mission la planète a été classée « définitivement contaminée » et soumise à la procédure de stérilisation totale)

« Petite » erreur de règles a probablement fait perdre aux Enforcers : « nettoyeurs invincibles » (joués successivement par les 2 joueurs) les 2 parties face à des Plague (sorte de zombies intelligents). La prochaine fois ça ira mieux… sûrement.

Table 3a dite « Languedoc on my mind »
Axel, Michal, Franck et Dom commencent par une partie de Carcassonne (victoire d’une courte tête de Dom) puis enchaînent avec De Stijl (les 4 joueurs finissent avec 13 territoires, Axel ayant le plus gros). Reconnaissons que c’est un jeu où rien ne peut se planifier et où on tend à s’en prendre au leader perçu du moment.
Table 3b dite « Night and day »
Après le départ de Michal et Franck, recherche d’un jeu à 2 (configuration rare à PC !) pour Axel et Dom : Baptiste propose le Seigneur des Anneaux-La confrontation. Recommandation appréciée : dans la première partie, Axel avec les forces de l’ombre offre sur un plateau dans le dernier combat la victoire qui lui était acquise. Il se rattrape dans la deuxième partie après échange des rôles. C’est le genre de jeu qui doit être très agréable à jouer régulièrement, une fois que l’on connaît par cœur les deux séries de personnages et de cartes d’action.

Table 4 dite « Fly me to the moon »
Jeff, Julien du Trégor, Thierry et Laurent (y eut-il un cinquième astronaute ?) se lancent avec 1969 dans la course à la lune. Selon certaines rumeurs circulant sur le pas de tir, ce serait Julien qui aurait porté le plus haut les couleurs de l’industrie spatiale tricolore.

Table 5 dite « The way you look tonight »
Les restants des tables 1, 3 et 4 se regroupent pour un joyeux Shadow Hunters. Il semblerait que certains avaient des airs de Shadows tandis que d’autres avaient des comportements de Neutres tandis que Thierry proposait des services de relookage. François-René, avec son catalogue Manufrance d’objets magiques, démontre qu’un Neutre peut damer le pion à 6 Shadows et Hunters occupés à s’intimider et se massacrer. On ne se méfie jamais assez de lui.

Table 6 dite « In the wee small hours of the morning »
Deux dernières tournées avant la route au Beasty Bar (dans sa version proposée par le DUC) pour Thierry, F-R et Dom.

Pour discuter de cet événement, RDV sur le forum

Séance de MARDI à Ti Koad 20/01

Séance racontée par Xel :
Présents : Dom, Jeff, Maud, Grand Pierre, Néox, Jérôme, Audrey, Léo, Justine, Xel et Hélène (n°3)
Table 1 : Le seigneur des anneaux (collaboratif) : Néox, Hélène, Léo, Grand Pierre et Xel
Où une fois de plus Sauron l’emporte en tuant un à un les gentils hobbits *>:) Démon*;) Clin d’œil
Table 2 : les autres autour d’un Citadelles (?) puis d’un Saboteur (?)
Les noctambules : Maud, Jérôme, Grand Pierre, Jeff et Xel
Chinatown : Maud l’emporte
Les aventuriers du rail : Grand Pierre l’emporte
6 qui prend : Xel l’emporte

Pour discuter de cet événement RDV sur le forum.

Séance de MARDI à St-Elivet 29/01

CR tardif pour la séance d’il y a 5 jours :

Table unique dite « Opération suicidaire » …

… racontée par Xel :

Petite table (Jeff, Frank, Baptiste dit Toison-de-jais et VHN) autour d’un Seigneur des Anneaux
Version bisounours avec Sauron en bout de piste
Explication des règles et début de jeu chaotique : cartes non distribuées, deck franchement défavorable et Sauron qui nous mate de moins en moins loin
Nous arrivons quand même au Mordor – avec l’haleine fétide de Sauron en live – où les évènements nous font tomber de Charybde en Scylla : le porteur de l’Anneau succombe à sa rencontre forcée avec Sauron et le jeu, une fois de plus, gagne !
C’est promis la prochaine fois on l’aura !!

Pour discuter de cette session RDV sur le forum

Séance de VENDREDI à St-Elivet 25/05

3 tables lors de cette soirée :

Table n°1 dite « oui mais non » …

… racontée par Marvin :

Nous nous attablâmes, François, Sly dit « le vieux » dit aussi « qui ne peut compter que dans le silence complet », notre Président et moi-même autour de Megawatts. Après quelques minutes d’explications de règles, François découvrit avec stupeur que ce jeu n’était autre que Funkenschlag, auquel il avait déjà joué. Ce quiproquo nous fit sourire. Oh oh oh.

Lors du placement, Jibee, Sly et moi-même prîmes Paris et l’Ouest de la France, tandis que François s’installa seul dans le Sud. Cette stratégie lui permit de faire la course en tête toute la partie.

Alors qu’il ralentissait quelque peu sur la fin et que Jibee et Sly se préparaient à un assaut final, François parvint à franchir la ligne en tête et l’emporta. Sly et Jibee comptaient sur un tour supplémentaire pour le coiffer au poteau, et l’herbe leur fut donc coupée sous le pied.

François l’emporta donc avec 17 villes, toutes alimentées.
J’en avais 17 également, mais seulement 15 alimentées (plus une petite réserve de cash), tandis que Sly avait 15 villes et Jibee 14.

Cette fin heureuse et cette victoire méritée de François ont toutefois déclenché un débat inattendu, mais néanmoins vigoureux. En effet, je déclarai (un peu hâtivement peut-être) que si François n’avait pas fait sa 17ème ville, mettant fin à la partie, je l’aurais fait moi-même juste après (je construisais en dernier), tout en sachant que ça ferait gagner François tout de même.

Le sujet de la polémique fut donc :
« Est-il ludiquement acceptable de provoquer la fin d’une partie quand on sait qu’on n’est pas le vainqueur ? »
Il semble que nos points de vue divergent (mais heureusement la situation n’arriva pas, donc toute accusation relève du procès d’intention 😉

Je fis remarquer qu’en terminant la partie à ce tour-ci, je terminais 2ème, alors qu’un tour de plus aurait été catastrophique pour moi (j’ai très mal acheté mes centrales, j’avais une capacité de 15 et j’aurais fini bon dernier), et que vu l’heure tardive j’avais eu mon compte de plaisir ludique. Mais je comprends aussi que Jibee et Sly espéraient bien manger François tout cru dans un ultime tour (Jibee pouvait alimenter 19 villes) s’il avait eu lieu. Cela dit, la règle est la règle et la partie peut se terminer parfois abruptement. Je ne compte plus le nombre de parties (tous jeux confondus) où je me suis dit « si j’avais eu un tour de plus, j’aurais pu faire mieux ».

Je laisse ceux qui le souhaitent développer ce débat, en ce qui me concerne je crains que j’aurais bel et bien mis fin à la partie si j’avais eu ce choix à faire… Cela dit, il est évident que j’y réfléchirais à deux fois car je ne tiens pas spécialement à m’attirer les foudres de deux joueurs éminents… 😛

Table n°2 dite « non mais oui » …

… avec François-René, Xel, Yann et Michal autour d’un Seigneur des Anneaux. Il semblerait que les règles ont eu du mal à être respectées 😉 Peut-être qu’ils ont changé de jeu après ?

[Ajout de Marvin] Oui, il y a eu plusieurs parties de Pandémie, et oui il y a encore eu « viol » des règles ;)[/Ajout de Marvin]

Table n°3 dite « courte mais intense » …

… avec Jeff, Sly The Young et Votre Humble Serviteur qui se sont mesurés dans un Endeavor à 3 donc purement bisounours. Malgré cela 2 ou 3 guerres ont éclaté mais rien de grave, pas plus que quelques centaines de milliers de morts au total. Au bout d’une heure de jeu, VHS (qui n’a jamais dégainé) distance ses 2 belliqueux adversaires qui finissent à 1 point l’un de l’autre.—

Pour discuter de cette session RDV sur le forum